OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2014 > Septembre > Passage au numérique : un expert préconise de repenser le cadre juridique

Passage au numérique : un expert préconise de repenser le cadre juridique

mardi 30 septembre 2014

Télévision/Radio numérique terrestre

Le passage de l’analogique au numérique nécessite de repenser un cadre juridique pour sauvegarder le service de l’information, en vue de promouvoir un nouveau paysage audiovisuel, a indiqué, mardi à Dakar, Mamadou Baal, membre du Comité exécutif du comité national de pilotage du passage de l’analogique ver le numérique (CONTAN).

‘’Le basculement de la diffusion des chaînes de télévision en mode numérique est tout à fait normal. Nous parlons des infrastructures techniques à mettre en place mais aussi des opportunités qui se présentent à l’Afrique pour mettre à niveau le système de fonctionnement des chaînes de télévision’’, a fait noter M. Baal.

Il s’exprimait au cours d’un atelier de partage sur les ‘’les défis du secteur de l’audiovisuel au Sénégal à l’ère numérique’’.

‘’L’Etat doit réorganiser les chaînes de télévision et mettre une infrastructure qui fasse que toutes les fréquences soient transportées, multiplexées et diffusées’’ ,selon M. Baal, expert en audiovisuel. Il a toutefois affirmé que le gouvernement est ’’prêt pour le faire à temps’’.

‘’Depuis une trentaine d’années le chaînes de télévision africaines fonctionnent a priori de manière atypique’’, a relevé M. Baal, rappelant qu’auparavant les télévisions publiques étaient des multinationales qui faisaient tout en même temps.

’’Elles faisaient l’archivage, la production, la diffusion, l’édition entre autres alors que depuis, longtemps, les chaînes de télévision ont fini par ne s’occuper que d’édition en faisant travailler d’autres sociétés sur les autres aspects’’, a-t-il encore dit..

’’Maintenant, a-t-il expliqué, avec le passage au numérique, les chaînes de télévision perdent le bénéfice d’avoir une fréquence à elles toutes seules car elles seront obligées de partager une fréquence d’autant plus que la technologie permet de mettre sur une seule fréquence, une vingtaine de chaines télévision’’.

‘’Les chaînes de télévision vont être mutualisées. Il faut donc en profiter car, à partir du moment où elles ne s’occuperont que de diffusion, de les encadrer pour qu’elles produisent autrement ou qu’elles fassent produire autrement pour le bénéfice des populations’’, a fait valoir Mamadou Baal.

’’Ce faisant, on pourra disposer d’une production utile, éducative, une production de développement. Nous demanderons aussi à l’Etat de venir en aide non pas aux chaînes de télévision dans la production, mais aux populations qui reçoivent le contenu’’ ,a-t-il indiqué, ajoutant que ’’la télévision n’existe que par le contenu qu’elle véhicule’’.

Selon Mamadou Baal, ’’il s’agit aussi de réfléchir sur comment faire de sorte que les populations soient à niveau pour entrer dans l’ère du numérique’’.

‘’Tout va changer. La télévision sera interactive. Cela veut dire que les chaînes de télévision et les populations s’y préparent’’, a indiqué M. Baal.

’’Cette gestion de l’interactivité ne doit pas surprendre, car on entre dans le monde de l’information. Tout se passera sur l’internet ce qui signifie que les chaînes de télévision vont abandonner les fréquences’’, a-t-il encore averti.

‘’L’Etat va les récupérer pour faire de telle sorte que l’internet à haut débit puisse circuler sur ces fréquences en or qui porteront loin. Ces fréquences récupérées appelées des dividendes numériques doivent servir à l’économie numérique’’, a expliqué le technicien.

(Source : APS, 30 septembre 2014)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4254/4588 Régulation des télécoms
  • 350/4588 Télécentres/Cybercentres
  • 3129/4588 Economie numérique
  • 1598/4588 Politique nationale
  • 4588/4588 Fintech
  • 603/4588 Noms de domaine
  • 1650/4588 Produits et services
  • 1402/4588 Faits divers/Contentieux
  • 727/4588 Nouveau site web
  • 4366/4588 Infrastructures
  • 1632/4588 TIC pour l’éducation
  • 180/4588 Recherche
  • 249/4588 Projet
  • 2819/4588 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1729/4588 Sonatel/Orange
  • 1565/4588 Licences de télécommunications
  • 268/4588 Sudatel/Expresso
  • 957/4588 Régulation des médias
  • 1222/4588 Applications
  • 994/4588 Mouvements sociaux
  • 1519/4588 Données personnelles
  • 124/4588 Big Data/Données ouvertes
  • 599/4588 Mouvement consumériste
  • 364/4588 Médias
  • 649/4588 Appels internationaux entrants
  • 1413/4588 Formation
  • 104/4588 Logiciel libre
  • 1823/4588 Politiques africaines
  • 821/4588 Fiscalité
  • 168/4588 Art et culture
  • 568/4588 Genre
  • 1454/4588 Point de vue
  • 983/4588 Commerce électronique
  • 1503/4588 Manifestation
  • 319/4588 Presse en ligne
  • 125/4588 Piratage
  • 206/4588 Téléservices
  • 842/4588 Biométrie/Identité numérique
  • 300/4588 Environnement/Santé
  • 317/4588 Législation/Réglementation
  • 338/4588 Gouvernance
  • 1722/4588 Portrait/Entretien
  • 146/4588 Radio
  • 678/4588 TIC pour la santé
  • 269/4588 Propriété intellectuelle
  • 58/4588 Langues/Localisation
  • 1036/4588 Médias/Réseaux sociaux
  • 1860/4588 Téléphonie
  • 192/4588 Désengagement de l’Etat
  • 971/4588 Internet
  • 115/4588 Collectivités locales
  • 387/4588 Dédouanement électronique
  • 994/4588 Usages et comportements
  • 1032/4588 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 554/4588 Audiovisuel
  • 2716/4588 Transformation digitale
  • 387/4588 Affaire Global Voice
  • 155/4588 Géomatique/Géolocalisation
  • 292/4588 Service universel
  • 666/4588 Sentel/Tigo
  • 176/4588 Vie politique
  • 1467/4588 Distinction/Nomination
  • 34/4588 Handicapés
  • 678/4588 Enseignement à distance
  • 642/4588 Contenus numériques
  • 592/4588 Gestion de l’ARTP
  • 178/4588 Radios communautaires
  • 1659/4588 Qualité de service
  • 431/4588 Privatisation/Libéralisation
  • 135/4588 SMSI
  • 454/4588 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2665/4588 Innovation/Entreprenariat
  • 1322/4588 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 47/4588 Internet des objets
  • 170/4588 Free Sénégal
  • 329/4588 Intelligence artificielle
  • 198/4588 Editorial
  • 18/4588 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous