OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2014 > Septembre > Dr Hamadoun Touré, Secrétaire général de l’Union internationale des (…)

Dr Hamadoun Touré, Secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications : « Si on néglige l’enseignement des sciences, le continent sera toujours à la traîne »

lundi 1er septembre 2014

Recherche

Donnant son point de vue sur ce sujet d’actualité, le Docteur Hamadoun Touré, Secrétaire général de l’Union internationale des télécommunications (UIT) n’a pas manqué d’insister sur ces urgences, interpellant les dirigeants politiques d’Afrique subsaharienne.

Faisant la remarque que même s’il y a des raisons économiques qui font que les priorités sont données à d’autres secteurs, il voudrait que l’on sache que si l’enseignement des sciences est négligé, le continent sera toujours à la traine.

C’est d’ailleurs pour cela que l’institution qu’il dirige s’intéresse à ce programme très important qui donne l’occasion aux jeunes chercheurs africains d’être outillés en technologie de pointe.

« C’est pour cela que nous avons sponsorisé un certain nombre d’étudiants dans ce programme, pour que l’Afrique se concentre sur l’enseignement des mathématiques, la science et la physique surtout.

Parce que dans ce troisième millénaire, il est important que l’Afrique apporte sa contribution », a-t-il encore précisé, avant de résumer sa présentation qui stipule que la recherche est fondamentale pour le progrès et que le cerveau humain est son seul moteur équitablement distribué au monde entier. Il n’y a pas une race ou une nation qui a en a plus ou moins.

De quoi lui permettre d’inciter les gouvernants à continuer à former les cerveaux afin que le continent africain puisse apporter sa contribution. Il a également soutenu que les technologies de l’information et de la communication ont besoin de la recherche fondamentale, de la physique des particules et sont au service de tous.

Elles sont la base pour les OMD en santé, éducation, commerce, etc. C’est aussi une base pour un développement durable et pour combattre le changement climatique.

Autrement dit, de nombreux challenges que l’humanité a devant elle peuvent être résolus à travers les technologies de l’information et de la communication.

Le haut fonctionnaire de l’Union internationale des télécommunications a dans ce sens fait remarquer que le continent africain a fait de grands progrès au cours des dernières années.

En téléphonie mobile, l’Afrique est le continent où il ya la plus forte croissance ces dix dernières années, avec un taux de pénétration de plus de 70 %. Mais, a-t-il fait savoir, il y a des lacunes concernant notamment Internet, dont le haut débit constitue un des outils importants pour le développement socio économique.

Lettres mortes, projets sans lendemain...

Les promoteurs de cette école scientifique invitent à une plus forte connexion entre les autorités publiques et le corps professoral, qui n’est peut être pas bien écouté.

Tout en renouvelant leur disponibilité à contribuer au défrichage de cette voie, ils ont avoué avoir déjà essayé de partager leur passion avec les autorités sénégalaises. Mais la concrétisation de leurs projets pose toujours problème.

Le Pr Ka de citer en exemple un programme très ambitieux qu’ils avaient présenté au président Wade, à l’époque très enthousiaste et qui leur a adressé des lettres de soutien avec son accord pour la construction par l’Etat du Sénégal d’une structure de dimension internationale de recherche et applications.

Dix ans après, ce projet n’a toujours pas vu le jour et de nombreuses opportunités pouvant avoir un grand impact sur l’avenir des sciences au Sénégal n’ont pu être saisies.

Il dit qu’il est encore temps de prendre des mesures permettant de ne pas rater la prochaine opportunité, qui est le projet naissant « African Light Source », qui correspond à un outil de dimension internationale utilisé dans des domaines appliqués extrêmement variés (science des matériaux, biophysique, spectroscopie, etc.).

(Source : Sud Quotidien, 1er septembre 2014)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2167/2260 Régulation des télécoms
  • 175/2260 Télécentres/Cybercentres
  • 1563/2260 Economie numérique
  • 820/2260 Politique nationale
  • 2260/2260 Fintech
  • 253/2260 Noms de domaine
  • 844/2260 Produits et services
  • 722/2260 Faits divers/Contentieux
  • 366/2260 Nouveau site web
  • 2200/2260 Infrastructures
  • 815/2260 TIC pour l’éducation
  • 92/2260 Recherche
  • 121/2260 Projet
  • 1434/2260 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 869/2260 Sonatel/Orange
  • 791/2260 Licences de télécommunications
  • 132/2260 Sudatel/Expresso
  • 480/2260 Régulation des médias
  • 627/2260 Applications
  • 512/2260 Mouvements sociaux
  • 770/2260 Données personnelles
  • 60/2260 Big Data/Données ouvertes
  • 297/2260 Mouvement consumériste
  • 180/2260 Médias
  • 324/2260 Appels internationaux entrants
  • 768/2260 Formation
  • 54/2260 Logiciel libre
  • 878/2260 Politiques africaines
  • 439/2260 Fiscalité
  • 84/2260 Art et culture
  • 286/2260 Genre
  • 812/2260 Point de vue
  • 488/2260 Commerce électronique
  • 728/2260 Manifestation
  • 156/2260 Presse en ligne
  • 65/2260 Piratage
  • 105/2260 Téléservices
  • 450/2260 Biométrie/Identité numérique
  • 151/2260 Environnement/Santé
  • 159/2260 Législation/Réglementation
  • 167/2260 Gouvernance
  • 872/2260 Portrait/Entretien
  • 72/2260 Radio
  • 345/2260 TIC pour la santé
  • 133/2260 Propriété intellectuelle
  • 29/2260 Langues/Localisation
  • 507/2260 Médias/Réseaux sociaux
  • 946/2260 Téléphonie
  • 95/2260 Désengagement de l’Etat
  • 497/2260 Internet
  • 57/2260 Collectivités locales
  • 189/2260 Dédouanement électronique
  • 510/2260 Usages et comportements
  • 527/2260 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 277/2260 Audiovisuel
  • 1436/2260 Transformation digitale
  • 191/2260 Affaire Global Voice
  • 79/2260 Géomatique/Géolocalisation
  • 151/2260 Service universel
  • 333/2260 Sentel/Tigo
  • 87/2260 Vie politique
  • 747/2260 Distinction/Nomination
  • 17/2260 Handicapés
  • 345/2260 Enseignement à distance
  • 326/2260 Contenus numériques
  • 294/2260 Gestion de l’ARTP
  • 91/2260 Radios communautaires
  • 851/2260 Qualité de service
  • 214/2260 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2260 SMSI
  • 224/2260 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1302/2260 Innovation/Entreprenariat
  • 655/2260 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2260 Internet des objets
  • 85/2260 Free Sénégal
  • 190/2260 Intelligence artificielle
  • 99/2260 Editorial
  • 11/2260 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous