OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2009 > Mai > Vente des actions de la Sonatel aux privés sénégalais Niasse dépose sa (…)

Vente des actions de la Sonatel aux privés sénégalais Niasse dépose sa candidaturele

samedi 9 mai 2009

Mouvements sociaux

Le secrétaire général de l’Alliance des Forces du Progrès, Moustapha Niasse a exprimé sa volonté, dans le devoir de protection de la richesse nationale que constitue la Sonatel, d’ailleurs en proie à une cessation des actions (9,87%) de l’Etat Sénégalais à des privés Français (France Telecom), d’acheter des actions. Il l’a manifesté hier, jeudi 07 Mai, à l’issue de la rencontre qu’une délégation des Travailleurs de la Sonatel comprenant des représentants de l’Intersyndicale, du Syndicat des Cadres et des représentants des Actionnaires, a eu avec son parti, l’Alliance des forces de progrès (Afp).

Le personnel de la société nationale des télécommunications du sénégal (Sonatel), qui a démarré une tournée d’information et de sensibilisation sur les méfaits de la vente des actions de l’Etat de cette même société à France Télécom, prône pour la défense du patrimoine national. Ceci au grand bénéfice des privés nationaux qui se sont déjà intéressés, à commencer par le secrétaire général national de l’Alliance des Forces de Progrès (Afp), Moustapha Niasse.

Le personnel de la Sonatel l’a fait savoir, hier alors qu’il rencontrait le secrétaire général de l’(AFP). Selon lui, la vente des actions de l’Etat à l’étranger supposerait d’une part que le contrôle du système national de communication du Sénégal se fera de l’extérieur et de l’autre part, non seulement la perte des emplois sera sans précédant, mais surtout, l’Etat et le peuple Sénégalais perdront toutes les actions de la Société implantées dans la sous- région (Mali, Guinée Bissau, Guinée Conakry.

C’est le 08 Avril que l’Etat du Sénégal avait signé un Protocol d’accord avec France Telecom pour la vente de ses actions de 9, 87% à l’entreprise de télécommunication française. Du coup, la société étrangère est l’actionnaire majoritaire avec 42% transformant ainsi la société nationale en une succursale de France Télécom, en une filiale qui se trouve à Paris, dont le grand perdant serait le Sénégal « En 1993, quand le capital de la Sonatel a été ouvert, j’étais ministre des affaires étrangères et je ne voulais pas entrer dans une situation juridique difficile. Je ne suis pas encore actionnaire à la Sonatel.

Mais je suis prêt si l’actionnariat est ouvert aux nationaux, justement pour ramener à la maison(Sénégal) l’entreprise. Je suis prêt à entrer dans un cadre global et institutionnalisé tel que le patronat. C’est un devoir, puisque la Sonatel emploie près de 2500 employé, c’est très important » a affirmé Moustapha Niasse.

Le personnel de la Sonatel a soulevé cela en termes de clameur, il considère cela comme une « insurrection économique » parce que, soutient-il, c’est la première fois que l’ensemble du patronat se retrouve à la chambre de commerce pour attirer l’attention de l’Etat de l’urgence à s’orienter vers des solutions nationales.

« Vous savez qu’une filiale ne peut pas porter des ambitions nationales. C’est la société mère qui définit les stratégies et encaisse également l’essentiel des revenus. L’accepter c’est aussi admettre que 52% des richesses que nous avons créés dans ce pays, que la société française sort du circuit bancaire économique, 570 milliards du chiffre d’affaires réalisé au Sénégal à travers la société nationale » a expliqué Ibrahima Konté, président d’honneur du syndicat des travailleurs de la.

Société de télécommunication du Sénégal. La Sonatel est pratiquement la seule société nationale qui est cotée en bourse. Elle participe pour 8,7% des recettes d’exportations du Sénégal dans le Pib, elle génère 12,7% de ressources fiscales de l’Etat une moyenne de 100 milliards par an. Ces quatre dernières années, l’Etat a reçu au moins 400 milliards de cette même société.

Youssouph Badji

(Source : Sud Quotidien, 9 mai 2009)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2168/2270 Régulation des télécoms
  • 176/2270 Télécentres/Cybercentres
  • 1575/2270 Economie numérique
  • 822/2270 Politique nationale
  • 2270/2270 Fintech
  • 255/2270 Noms de domaine
  • 842/2270 Produits et services
  • 745/2270 Faits divers/Contentieux
  • 474/2270 Nouveau site web
  • 2235/2270 Infrastructures
  • 817/2270 TIC pour l’éducation
  • 92/2270 Recherche
  • 124/2270 Projet
  • 1499/2270 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 896/2270 Sonatel/Orange
  • 816/2270 Licences de télécommunications
  • 134/2270 Sudatel/Expresso
  • 509/2270 Régulation des médias
  • 608/2270 Applications
  • 514/2270 Mouvements sociaux
  • 772/2270 Données personnelles
  • 61/2270 Big Data/Données ouvertes
  • 304/2270 Mouvement consumériste
  • 183/2270 Médias
  • 325/2270 Appels internationaux entrants
  • 739/2270 Formation
  • 58/2270 Logiciel libre
  • 891/2270 Politiques africaines
  • 438/2270 Fiscalité
  • 84/2270 Art et culture
  • 290/2270 Genre
  • 777/2270 Point de vue
  • 513/2270 Commerce électronique
  • 762/2270 Manifestation
  • 157/2270 Presse en ligne
  • 62/2270 Piratage
  • 102/2270 Téléservices
  • 432/2270 Biométrie/Identité numérique
  • 154/2270 Environnement/Santé
  • 162/2270 Législation/Réglementation
  • 175/2270 Gouvernance
  • 849/2270 Portrait/Entretien
  • 73/2270 Radio
  • 347/2270 TIC pour la santé
  • 138/2270 Propriété intellectuelle
  • 30/2270 Langues/Localisation
  • 527/2270 Médias/Réseaux sociaux
  • 951/2270 Téléphonie
  • 101/2270 Désengagement de l’Etat
  • 492/2270 Internet
  • 59/2270 Collectivités locales
  • 190/2270 Dédouanement électronique
  • 527/2270 Usages et comportements
  • 529/2270 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2270 Audiovisuel
  • 1434/2270 Transformation digitale
  • 195/2270 Affaire Global Voice
  • 77/2270 Géomatique/Géolocalisation
  • 151/2270 Service universel
  • 335/2270 Sentel/Tigo
  • 88/2270 Vie politique
  • 776/2270 Distinction/Nomination
  • 17/2270 Handicapés
  • 341/2270 Enseignement à distance
  • 338/2270 Contenus numériques
  • 298/2270 Gestion de l’ARTP
  • 91/2270 Radios communautaires
  • 864/2270 Qualité de service
  • 217/2270 Privatisation/Libéralisation
  • 70/2270 SMSI
  • 226/2270 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1360/2270 Innovation/Entreprenariat
  • 663/2270 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2270 Internet des objets
  • 87/2270 Free Sénégal
  • 276/2270 Intelligence artificielle
  • 98/2270 Editorial
  • 11/2270 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous