OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2014 > Octobre > “ Un Salon du E-Commerce à Dakar pour créer un Déclic et relever les défis (…)

“ Un Salon du E-Commerce à Dakar pour créer un Déclic et relever les défis d’une économie numérique montante au Sénégal ! ”

jeudi 9 octobre 2014

Manifestation

Ce sont les mêmes complaintes qui se lèvent un peu partout en Afrique : faible accès à internet, prédominance des paiements en espèces, soucis logistiques, manque de confiance des consommateurs, comportements des commerçants et des consommateurs en déphasages ! Nonobstant tout ces blocages, l’Afrique reste néanmoins une belle terre pour l’avenir des transactions électroniques ! La bataille fait déjà rage ! Sur le continent, la vente en ligne peut faire jeu égal avec le commerce moderne physique. De la même manière que la téléphonie mobile a bouleversé le marché des télécommunications en Afrique, le commerce sur le web pourrait changer la donne rapidement. Il est plus que probable qu’il se développera beaucoup plus vite qu’ailleurs. Quand on regarde le continent dans sa globalité face à ces nouveaux enjeux, force est de constater que le Sénégal est un peu en retard !

La forte progression des TIC sur le continent africain et l’émergence d’une classe moyenne dans les grandes villes, une manne pour le e-commerce. Durant cette dernière décennie, la forte croissance économique en Afrique a permis la naissance d’une classe moyenne. Celle-ci devrait passer de 355 millions d’individus à 1,1 milliard d’ici 2060 soit 42 % de la population du continent. De plus selon l’Union internationale des télécommunications (UIT), de plus en plus d’Africains utilisent Internet et la téléphonie mobile. Le taux de pénétration des téléphones portables sur le continent serait supérieur à 45% et celui de l’Internet dépasserait les 10%. En conséquence, la vente en ligne est en passe de devenir la tendance forte des prochaines années en Afrique selon un rapport publié par Research and Markets. Une augmentation de 40% au cours de la décennie à venir selon ses estimations.
Pour l’heure l’Afrique du Sud fait figure de pionnière mais d’autres pays africains lorgnent le potentiel du secteur. Le marchand en ligne de livres et d’électronique Kalahari et le détaillant de mode Zando dominent le secteur sud-africain. Encouragés par la montée en puissance de la téléphonie mobile , l’Egypte, le Maroc, le Nigeria, le Kenya et la Tunisie sont lancés dans la course du e-commerce. Par exemple, au Maroc, l’achat en ligne et les transactions bancaires sur internet se démocratisent. La Tunisie dispose déjà de 500 plateformes de vente en ligne. Quelques bémols tout de même, en Egypte, le boom de la téléphonie mobile favorise certes les sites d’e-commerce mais aussi la concurrence. Les sites régionaux tels que Souq.com ou Jumia.com affrontent sur le marché de la vente en ligne des acteurs internationaux comme Alibaba ou Amazon.

Au Sénégal quand on pose la question au sénégalais lambda, il n’est pas certain que l’on est la réponse ! Pourtant il faut dire que le Sénégal a tout ce qu’il faut pour se positionner à la perfection sur le créneau du e-commerce ! Le mobile explose au Sénégal ! Un Le régulateur signale que le secteur des télécommunications a contribué pour près de 6,5% à la formation du Produit intérieur brute(PIB) du pays, à hauteur de 681,3 milliards de FCFA.

Face à tous ces enjeux et opportunités, l’idée d’un salon vient à point nommé ! Le tout premier salon du e-commerce à Dakar et en Afrique de l’ouest. Surun marché en pleine croissance soutenu par la stratégie nationale de la grappe TIC, le salon a pour objectif de réunir l’ensemble des acteurs clés qui participent au développement du E-commerce, de la logistique commerce, du Paiement Electronique et du Digital Marketing au Sénégal afin de contribuer à l’essor de ce secteur à très fort potentiel pour l’économie sénégalaise.

En matière d’E-commerce, le Sénégal, bien qu’ayant un important réservoir de consommateurs, est largement en retard. L’asie, l’Amérique, l’Europe ont pu saisir l’occasion et l’exploitent merveilleusement. Plusieurs sociétés telles Alibaba, Ebay, etc... y ont vu le jour et prospéré sur des plate-formes Internet. L’E-commerce peut permettre de réduire le chômage endémique des jeunes en Afrique. Il a également l’avantage d’intensifier les échanges commerciaux entre le nord et le sud en rendant possible une présence permanente, bien que virtuelle, des produits africains sur le marché mondial. Cependant, cela reste une chimère à cause de la fracture numérique. Les moyens de paiement numériques sont moins développés et très peu de personnes ont accès à l’Internet et aux banques. Mais il y a une véritable volonté politique et de véritables acteurs dévoués au Sénégal et particulièrement du secteur privé s’exprimant par l’entrepreneuriat.
Avec plus de 300 sociétés informatiques recensées au Sénégal, au niveau du secteur privé, sur un échantillon de 275 entreprises et organisations implantées au Sénégal, 270 d’entre elles seraient informatisées soit 98%. Ce qui témoigne de l’informatisation rapide des entreprises sénégalaises.

Cette année, pendant 3 jours, E-Commerce Dakar sera le lieu incontournable pour ces acteurs du retail : plus de 3 000 enseignes et e-marchands viendront trouver les bons prestataires parmi une centaine de sociétés participantes et se nourrir d’une vision globale des enjeux du secteur.

Le thème de cette année étant : « Les défis du e-commerce Sénégalais : enjeux et perspectives ».
E-Commerce Dakar est bien plus qu’un simple salon. C’est le mix parfait entre un salon, un congrès, et un lieu d’échange et de partage de l’innovation.

Un programme diversifié et riche en contenu sur trois jours : les 20, 21, 22 novembre 2014.
Deux conférences :

  • 1ére conférence : Théme : « Les défis du paiement électronique dans
  • 2éme conférence : Théme : « La formation et l’entrepreneuriat TIC »
  • 15 ateliers de formations et masterclass
  • 50 exposants
  • 4000 visiteurs
    … pour créer un Déclic !

(Source : Seneweb, 9 octobre 2014)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2060/2200 Régulation des télécoms
  • 174/2200 Télécentres/Cybercentres
  • 1533/2200 Economie numérique
  • 790/2200 Politique nationale
  • 2200/2200 Fintech
  • 253/2200 Noms de domaine
  • 813/2200 Produits et services
  • 691/2200 Faits divers/Contentieux
  • 361/2200 Nouveau site web
  • 2155/2200 Infrastructures
  • 800/2200 TIC pour l’éducation
  • 90/2200 Recherche
  • 121/2200 Projet
  • 1370/2200 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 863/2200 Sonatel/Orange
  • 773/2200 Licences de télécommunications
  • 132/2200 Sudatel/Expresso
  • 469/2200 Régulation des médias
  • 600/2200 Applications
  • 496/2200 Mouvements sociaux
  • 758/2200 Données personnelles
  • 60/2200 Big Data/Données ouvertes
  • 299/2200 Mouvement consumériste
  • 181/2200 Médias
  • 321/2200 Appels internationaux entrants
  • 699/2200 Formation
  • 48/2200 Logiciel libre
  • 836/2200 Politiques africaines
  • 408/2200 Fiscalité
  • 83/2200 Art et culture
  • 284/2200 Genre
  • 694/2200 Point de vue
  • 478/2200 Commerce électronique
  • 697/2200 Manifestation
  • 162/2200 Presse en ligne
  • 62/2200 Piratage
  • 102/2200 Téléservices
  • 415/2200 Biométrie/Identité numérique
  • 149/2200 Environnement/Santé
  • 156/2200 Législation/Réglementation
  • 167/2200 Gouvernance
  • 828/2200 Portrait/Entretien
  • 72/2200 Radio
  • 337/2200 TIC pour la santé
  • 132/2200 Propriété intellectuelle
  • 29/2200 Langues/Localisation
  • 507/2200 Médias/Réseaux sociaux
  • 916/2200 Téléphonie
  • 98/2200 Désengagement de l’Etat
  • 489/2200 Internet
  • 57/2200 Collectivités locales
  • 189/2200 Dédouanement électronique
  • 497/2200 Usages et comportements
  • 512/2200 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2200 Audiovisuel
  • 1347/2200 Transformation digitale
  • 191/2200 Affaire Global Voice
  • 75/2200 Géomatique/Géolocalisation
  • 210/2200 Service universel
  • 332/2200 Sentel/Tigo
  • 88/2200 Vie politique
  • 726/2200 Distinction/Nomination
  • 17/2200 Handicapés
  • 338/2200 Enseignement à distance
  • 318/2200 Contenus numériques
  • 296/2200 Gestion de l’ARTP
  • 89/2200 Radios communautaires
  • 801/2200 Qualité de service
  • 212/2200 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2200 SMSI
  • 224/2200 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1268/2200 Innovation/Entreprenariat
  • 654/2200 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2200 Internet des objets
  • 85/2200 Free Sénégal
  • 171/2200 Intelligence artificielle
  • 97/2200 Editorial
  • 8/2200 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous