OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2019 > Juillet 2019 > Trois questions à Christophe Lwanga, Directeur général Software Partnership (…)

Trois questions à Christophe Lwanga, Directeur général Software Partnership chez Microsoft : « une de mes principales missions consiste à faire bénéficier les startups sénégalaises des programme de Microsoft »

lundi 29 juillet 2019

Portrait/Entretien

Christophe Lwanga, directeur général Software Partnership chez Microsoft était à Dakar en fin de semaine dernière pour rencontrer des partenaires prêts à accompagner le géant américain des logiciels dans ses programmes à destinations des startups d’Afrique francophone. Entretien.

Directeur général Software chez Microsoft, vous venez d’arriver au Sénégal. Quel est le but de votre visite ?

Parmi mes fonctions chez Microsoft, l’une concerne l’accompagnement d’étudiants et de développeurs en Afrique. Nous avons commencé avec l’Afrique du Sud, l’Afrique de l’Est et le Nigeria. A partir de cette année, je me consacre principalement à l’Afrique francophone. Et le Sénégal est le premier pays de cet espace que je visite dans ce sens. Alors je suis venu pour rencontrer des potentiels partenaires, des acteurs de l’écosystème sénégalais, qui est particulièrement bouillonnant et innovant.

Comment les startups sénégalaises peuvent-elles bénéficier de l’accompagnement de Microsoft ?

La majeur partie des fonds de Microsoft proviennent de ses partenaires. Alors, c’est de la même façon que l’on opère pour les startups. Microsoft s’attache à trouver des partenaires qui apportent de l’argent. C’est pourquoi le but principal de mon voyage au Sénégal concerne la recherche de partenaires qui mettront la main à la pâte pour accompagner les startups.

Chez Microsoft, nous avons déjà un budget de 250 millions de dollars dédiés aux startups dans le monde. Nous voulons que celles du Sénégal bénéficient également de ce pactole à l’instar des autres qui se trouvent un peu partout dans le monde. Une de mes principales missions consiste justement à ce que que les startups sénégalaises soient bien informées des programmes d’accompagnement de Microsoft et qu’elles puissent en tirer profit, et ainsi développer leurs activités.

Comparées à leurs homologues anglophones, les startups d’Afrique francophone ne partent pas à chance égale dans vos programmes d’accompagnement. Y a-t-il chez Microsoft des initiatives pour corriger cela ?

Actuellement, nous réfléchissons à des programmes spécialisés pour les entrepreneurs africains francophones. C’est ainsi que l’on parviendra à hisser les startups d’Afrique francophone au niveau de leurs homologues anglophones. Je crois, par ailleurs, qu’elles se valent, mais la non-maîtrise de l’anglais constitue pour elles un grand handicap.

L’une de mes missions est justement de trouver des partenaires dans cette partie du continent pour développer des initiatives pour lesquelles les startups francophones d’Afrique auront les mêmes chances que celles anglophones, nonobstant la maîtrise l’anglais.

J’en discutais d’ailleurs aujourd’hui (26 juillet 2019, Ndlr) avec des partenaires. Il y a vraiment la maîtrise de la langue anglaise qui constitue un grand obstacle pour les startuppers et entrepreneurs africains francophones. Microsoft et ses partenaires organisent plusieurs concours et compétitions où nombre d’entre eux sont recalés. Ils présentent de très bonnes idées, mais ne parviennent tout simplement pas à bien les expliquer et répondre aux questions posées par des jurys de sélection.

Propos recueillis par Amadou Ba

(Source : InnovAfrica, 29 juillet 2019)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2509/3061 Régulation des télécoms
  • 220/3061 Télécentres/Cybercentres
  • 1993/3061 Economie numérique
  • 1218/3061 Politique nationale
  • 3061/3061 Fintech
  • 300/3061 Noms de domaine
  • 1077/3061 Produits et services
  • 851/3061 Faits divers/Contentieux
  • 421/3061 Nouveau site web
  • 2731/3061 Infrastructures
  • 1035/3061 TIC pour l’éducation
  • 142/3061 Recherche
  • 145/3061 Projet
  • 2121/3061 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1097/3061 Sonatel/Orange
  • 953/3061 Licences de télécommunications
  • 184/3061 Sudatel/Expresso
  • 551/3061 Régulation des médias
  • 734/3061 Applications
  • 624/3061 Mouvements sociaux
  • 934/3061 Données personnelles
  • 75/3061 Big Data/Données ouvertes
  • 367/3061 Mouvement consumériste
  • 210/3061 Médias
  • 390/3061 Appels internationaux entrants
  • 999/3061 Formation
  • 57/3061 Logiciel libre
  • 1194/3061 Politiques africaines
  • 563/3061 Fiscalité
  • 102/3061 Art et culture
  • 328/3061 Genre
  • 966/3061 Point de vue
  • 614/3061 Commerce électronique
  • 889/3061 Manifestation
  • 215/3061 Presse en ligne
  • 77/3061 Piratage
  • 116/3061 Téléservices
  • 549/3061 Biométrie/Identité numérique
  • 185/3061 Environnement/Santé
  • 190/3061 Législation/Réglementation
  • 199/3061 Gouvernance
  • 1050/3061 Portrait/Entretien
  • 85/3061 Radio
  • 507/3061 TIC pour la santé
  • 162/3061 Propriété intellectuelle
  • 36/3061 Langues/Localisation
  • 598/3061 Médias/Réseaux sociaux
  • 1143/3061 Téléphonie
  • 110/3061 Désengagement de l’Etat
  • 633/3061 Internet
  • 70/3061 Collectivités locales
  • 236/3061 Dédouanement électronique
  • 653/3061 Usages et comportements
  • 614/3061 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 333/3061 Audiovisuel
  • 1879/3061 Transformation digitale
  • 224/3061 Affaire Global Voice
  • 89/3061 Géomatique/Géolocalisation
  • 198/3061 Service universel
  • 388/3061 Sentel/Tigo
  • 115/3061 Vie politique
  • 894/3061 Distinction/Nomination
  • 21/3061 Handicapés
  • 467/3061 Enseignement à distance
  • 547/3061 Contenus numériques
  • 358/3061 Gestion de l’ARTP
  • 119/3061 Radios communautaires
  • 1030/3061 Qualité de service
  • 265/3061 Privatisation/Libéralisation
  • 86/3061 SMSI
  • 298/3061 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1633/3061 Innovation/Entreprenariat
  • 777/3061 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 26/3061 Internet des objets
  • 101/3061 Free Sénégal
  • 392/3061 Intelligence artificielle
  • 119/3061 Editorial
  • 14/3061 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous