OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2022 > Octobre 2022 > “Transferts d’argent transfrontaliers : Wave repousse les frontières de (…)

“Transferts d’argent transfrontaliers : Wave repousse les frontières de l’inclusion financière en Afrique de l’Ouest”

lundi 31 octobre 2022

Fintech

Wave vient de lancer le transfert d’argent transfrontalier entre le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso et la Côte d’Ivoire. Toujours fidèle à sa politique de services financiers digitaux, radicalement inclusifs et extrêmement abordables, Wave plafonne les frais de transferts internationaux à 1,5% quel que soit le montant transféré. Tout comme pour les transferts domestiques, la facilité et l’accessibilité du service restent les mêmes : à partir de l’application ou avec une carte QR.

Les échanges de biens et de services ont longtemps été un des grands enjeux des politiques économiques sur le continent africain ; toutefois avec la mise en oeuvre de l’ambitieuse Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF) ces dernières années, le commerce intra-africain pourrait être stimulé d’environ 40%, selon les dernières estimations de la Commission économique pour l’Afrique.

En plus des biens et services, il faut aussi noter que la plus importante présence de la diaspora africaine est sur le continent africain, avec 80% des migrations africaines qui sont intra-africaines. Ce qui donne de réelles opportunités aux entreprises de différents secteurs dont l’ambition est de construire des services à forte valeur ajoutée pour les Africains. C’est le cas pour le secteur du Mobile Money où les flux de transferts en Afrique sub-saharienne battent des records ces dernières années.

Dans son rapport « State of the Industry Report on Mobile Money 2021 », l’Association mondiale des opérateurs de téléphonie (GSMA) révèle que 490 milliards de dollars US ont transité par Mobile Money en Afrique subsaharienne en 2020.

Wave, devenue en 2021 la première licorne en Afrique francophone et la première fintech à qui la BCEAO a octroyé une licence d’Émetteur de monnaie électronique en avril 2022, a pour ambition de faire disparaître le cash en Afrique. En offrant depuis 2018 des services financiers digitaux radicalement inclusifs et extrêmement abordables, la fintech a réussi à imposer un nouveau paradigme dans la finance digitale dans l’espace UEMOA : améliorer le quotidien grâce à la finance digitale.

En plus des transferts de personne-à-personne et des paiements marchands devenus aussi faciles qu’envoyer un sms pour des millions de Sénégalais, d’Ivoiriens, de Burkinabés et de Maliens, Wave permet également à des centaines d’entreprises de gérer leurs paiements de salaires et de fournisseurs.

Et aujourd’hui, la société de finance digitale offre le service de transfert transfrontalier à ses clients. C’est la vie de millions de personnes qui au quotidien ont besoin d’envoyer de l’argent à leurs parents, proches ou partenaires d’affaires entre ces différents pays qui est ainsi impactée.

L’avantage de ce type de transactions, qui sont dans la majeure partie des cas adressées à des ménages, est qu’elles viennent au final augmenter les capacités des bénéficiaires à se prendre financièrement en charge et donc à améliorer leurs conditions de vie.” dit Katier Bamba, Directeur Général de Wave Côte d’Ivoire.

Au Burkina Faso, Palm Arnaud étudiant à l’Université Joseph Ky Zerbo de Ouagadougou et employé d’une agence immobilière a découvert Wave sur recommandation d’un ami ivoirien. “Je ne m’en passe plus depuis. Les coûts très abordables et la facilité des transactions me permettent de faire de bonnes marges dans mon business. J’utilise beaucoup ce service car je travaille avec des gens au Sénégal et en Côte d’Ivoire, en plus l’application de Wave est très facile à utiliser.

Devant le comptoir de sa boutique de produits cosmétiques à Bamako, Mahamoudou Diallo témoigne de l’utilité du service de transfert à l’international de Wave pour son business.

“ Cela fait environ 6 à 7 mois que j’utilise Wave pour payer mes fournisseurs qui sont au Sénégal, en Côte d’Ivoire et au Burkina Faso. Avant, lorsque je passais mes commandes, je leur envoyais l’argent par d’autres moyens qui étaient très chers. Maintenant, j’utilise mon compte Wave avec des frais d’envoi à moindre coût et une bonne facilité d’utilisation de l’application. Cela me facilite vraiment mes activités, j’utilise également le service pour d’autres opérations d’achat ou de paiement tels que les abonnements télé, les paiements de factures d’eau, d’électricité, etc.”

Selon la BCEAO, les transferts rapides d’argent entre pays membres de l’Uemoa atteignent des niveaux records avec des volumes de transactions qui ont augmenté à plus de 8,6 millions de transferts transfrontaliers intra-UEMOA en 2021.

Pour Wave, dont l’ambition est de développer la plateforme de services financiers digitaux la plus abordable et la plus radicalement inclusive, ce nouveau service de transfert d’argent transfrontalier est également une opportunité pour ses partenaires. Comme le souligne, Gnagna Koné, Directrice des relations publiques de la fintech pour la zone Uemoa, “Avec notre obsession pour l’inclusion financière dans la région, c’est une évidence pour nous, d’offrir le transfert transfrontalier. Lorsqu’on connaît les liens économiques et socio-culturels qui existent entre le Sénégal, le Mali, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso, on ne peut aspirer à améliorer le quotidien des populations sans leur permettre d’envoyer vers et de recevoir de l’argent à partir de ces pays. Il est important de noter que c’est également une opportunité pour Wave de renforcer les revenus de nos agents comme nous le leur avons toujours promis. Car pour nous, l’inclusion financière, c’est à la fois des services à juste prix et une évolution des revenus pour les agents avec lesquels nous évoluons et grandissons dans la diversification de nos offres.”

(Source : Dakar Actu, 31 octobre 2022)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2194/2463 Régulation des télécoms
  • 180/2463 Télécentres/Cybercentres
  • 1720/2463 Economie numérique
  • 849/2463 Politique nationale
  • 2463/2463 Fintech
  • 292/2463 Noms de domaine
  • 847/2463 Produits et services
  • 762/2463 Faits divers/Contentieux
  • 393/2463 Nouveau site web
  • 2420/2463 Infrastructures
  • 854/2463 TIC pour l’éducation
  • 92/2463 Recherche
  • 122/2463 Projet
  • 1554/2463 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 885/2463 Sonatel/Orange
  • 795/2463 Licences de télécommunications
  • 132/2463 Sudatel/Expresso
  • 477/2463 Régulation des médias
  • 659/2463 Applications
  • 518/2463 Mouvements sociaux
  • 784/2463 Données personnelles
  • 63/2463 Big Data/Données ouvertes
  • 302/2463 Mouvement consumériste
  • 186/2463 Médias
  • 353/2463 Appels internationaux entrants
  • 891/2463 Formation
  • 55/2463 Logiciel libre
  • 962/2463 Politiques africaines
  • 673/2463 Fiscalité
  • 83/2463 Art et culture
  • 289/2463 Genre
  • 874/2463 Point de vue
  • 498/2463 Commerce électronique
  • 746/2463 Manifestation
  • 163/2463 Presse en ligne
  • 64/2463 Piratage
  • 106/2463 Téléservices
  • 462/2463 Biométrie/Identité numérique
  • 154/2463 Environnement/Santé
  • 175/2463 Législation/Réglementation
  • 179/2463 Gouvernance
  • 879/2463 Portrait/Entretien
  • 76/2463 Radio
  • 390/2463 TIC pour la santé
  • 133/2463 Propriété intellectuelle
  • 32/2463 Langues/Localisation
  • 547/2463 Médias/Réseaux sociaux
  • 1040/2463 Téléphonie
  • 96/2463 Désengagement de l’Etat
  • 494/2463 Internet
  • 60/2463 Collectivités locales
  • 223/2463 Dédouanement électronique
  • 540/2463 Usages et comportements
  • 523/2463 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 279/2463 Audiovisuel
  • 1515/2463 Transformation digitale
  • 231/2463 Affaire Global Voice
  • 80/2463 Géomatique/Géolocalisation
  • 175/2463 Service universel
  • 332/2463 Sentel/Tigo
  • 87/2463 Vie politique
  • 780/2463 Distinction/Nomination
  • 18/2463 Handicapés
  • 345/2463 Enseignement à distance
  • 331/2463 Contenus numériques
  • 295/2463 Gestion de l’ARTP
  • 90/2463 Radios communautaires
  • 883/2463 Qualité de service
  • 215/2463 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2463 SMSI
  • 245/2463 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1306/2463 Innovation/Entreprenariat
  • 658/2463 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2463 Internet des objets
  • 85/2463 Free Sénégal
  • 218/2463 Intelligence artificielle
  • 101/2463 Editorial
  • 14/2463 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous