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Signature de convention de concession pour la production et la gestion des titres de transports routiers biométriques : L’Etat valide les permis à points

vendredi 23 juin 2017

Transformation digitale

Malgré le refus constant des syndicats de transports, l’Etat du Sénégal est décidé à instaurer les permis à points pour lutter contre les nombreux accidents et l’indiscipline sur les routes. En signant hier, jeudi 22 juin, la Convention de concession pour la production et la gestion des titres de transports routiers biométriques sécurisés ainsi que la productions et la pose de plaques d’immatriculation sécurisées, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Elimane Kane, a fait état de la décision de l’Etat du Sénégal de mettre un terme à l’anarchie sur les routes.

La recrudescence des accidents de la route, avec leur lots de pertes en vies humaines entrainant pauvreté, précarisation et dislocation de familles et de dégâts matériels énormes, coûte au Sénégal prés de 2% de son Produit intérieur Brut (Pib), par an.

Pour inverser la tendance et cerner la problématique de la sécurité routière, l’Etat du Sénégal est décidé à réformer les titres de transport. Car, a dit Mansour Elimane Kane, le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, « la production des titres de transport, telle qu’elle est prise en charge actuellement, pose d’importants problèmes et ne répond pas à l’enjeu de réduction de l’insécurité routière ».

Les autorités en charge du transport dénoncent, entre autres, la non sécurisation des supports utilisés pour la production des titres de transport et l’absence d’interconnexion des différents acteurs entrainant d’importantes pertes de recettes pour l’Etat, l’absence d’un dispositif de centralisation et de vérification de l’intégrité des données et l’impossibilité de produire des statistiques fiables. Eu égards à tous ces problèmes, le ministère des infrastructures, des transports terrestres et du désenclavement, a entrepris un certain nombre de réformes portant, en particulier, sur le contrôle technique, l’immatriculation des véhicules, le traitement et la délivrance des titres de transport.

L’objectif est donc, selon Mansour Elimane Kane, « d’assainir et d’augmenter la performance du processus de mise à la consommation et d’immatriculation des véhicules, l’amélioration de l’état du parc de véhicules automobiles par la modernisation des contrôles techniques périodiques en s’appuyant sur l’extension et la modernité de l’activité et l’amélioration du processus d’examen de délivrance et de gestion du permis de conduire avec la mise en place du permis à points ». Il est aussi attendu une meilleure sécurité des recettes fiscales de l’Etat.

Les premiers titres de transport biométriques disponibles dans 6 mois

A signaler que le démarrage de la confection des nouveaux titres de transport est fixé dans 6 mois. En attendant, cette période de six mois avant la production des premiers titres sera mise à profit pour dérouler une campagne de communication en vue d’une sensibilisation des acteurs de la route, annonce Mansour Elimane Kane.

Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, a aussi saisi l’occasion pour répondre à ceux qui fustigent l’octroi des marchés de son département à des entreprises étrangères. Selon le ministre, il n’y pas de sociétés sénégalaises compétentes dans les domaines cibles. Il a, par la même occasion, appelé les Sénégalais au culte de l’excellence.

Fatou Ndiaye

(Source : Sud Quotidien, 23 juin 2017)

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