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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Janvier 2018 > Sciences, société de l’information, internet - Les réseaux sociaux sont-il (…)

Sciences, société de l’information, internet - Les réseaux sociaux sont-il en train de tuer le journalisme ?

mercredi 10 janvier 2018

Médias/Réseaux sociaux

Le Journal en papier est-il en danger ici au Sénégal et un peu partout dans le monde ? Oui, serait-on tenté de dire, avec la montée en puissance et sans contrôle, des applications nouvelles issues de la toile qui ne cesse de s’affiner tous les jours.

Face à la tyrannie facebook, Whatsapp, Twitter, instagram, et les sites web, le monde dans son ensemble, n’a pas encore trouvé la prouesse pour protéger le livre, le journal et les informations issues des dépêches d’agences du pillage.

Au Sénégal, où nombre de magazines et de journaux sont au bord du gouffre, Internet est partout, parfois sans normes, ni règle. Pendant que les productions journalistiques dans les journaux, radios et télévisions cherchent par tous les moyens de s’adapter à ces nouveaux outils, leur sphère d’influence ne cesse de grandir.

Une presse et des médias en pleine crise... Images ordinaires du monde d’aujourd’hui. Et pendant que le blog, You Tube, Google, facebook sont tous accessibles à tous, (petits et grands, instruits ou analphabètes), les journaux et Magazines ferment à tour de rôle avec la question terrible de savoir qui sera le prochain sur la liste.

Dans un univers qui semble se construire autour des visuels et des images et désormais des selfies, toute la finesse du journalisme semble ne plus rien dire à l’opinion. Un contexte presque de folie dans lequel, un bon ou très bon journal qui disparaît ne laissera dans la nostalgie que quelques lecteurs qui accrochent encore à la chose.

La chose ? La lecture pour dire. Et, dans ce même monde, les nouveaux « laboratoire d’idées » sont des fous qui s’amusent sur facebook, You tube ou Twitter avec un acteur de nom comme Donald Trump, un bout imité par le nouveau Président français, le jeune Emmanuel Macron, qui a tourné le dos aux journalistes et aux critiques venant de la presse depuis son arrivée au pouvoir.

Autre personnage de ce nouveau monde de l’information brute, Logan Alexander Paul, plus communément appelé Logan Paul, né le 1 avril 1995 à Westlake (Ohio, États-Unis), vidéaste américain devenu célèbre sur Internet à partir de 2013.

Sa dernière sortie sur You Tube au cours d’une course dans une forêt, et le défoulement sur un cadavre soi dit sur un prisonnier au Japon, qui s’en est suivi, ont montré les limites à ne pas franchir en matière de partage de l’information.

Le jeune homme de 22 ans, riche de ses 6,5 millions de dollars annuels gagnés à travers cette farce et d’autres encore plus suggestives, se targue d’avoir aujourd’hui un niveau d’abonnés de plus de 15 millions de personnes (plus que la population sénégalaise). Terrible nouvelle et images ordinaires d’un métier saboté de toutes parts, le journalisme.

Si comme on dit dans la profession, « une mauvaise publicité reste une publicité », le jeune garçon milliardaire et youtubeur, comme on l’appelle, a pu se retrouver avec quelque 100.000 nouveaux abonnés depuis sa dernière vidéo lancée sur le thème, « Nous avons trouvé un cadavre dans la forêt japonaise des suicides. » Une véritable méprise qui ne saurait être qualifiée.

Toute la planète n’y échappe pas et avec elle, le Sénégal, pays où le journalisme semble être condamné, s’il ne se renouvelle pas ses méthodes, à une mort certaine.

A Dakar, où parait l’essentiel des journaux et magazines au Sénégal, la mort de cette forme d’inertie qui a usé les publications journalistiques et de l’édition est venue du fait de la disparition de tous ces magazines et hebdomadaires qui donnaient à chacune de leur parution au lecteur, l’impression de voyager et de découvrir autre chose.

Dans ce cadre des gens comme Mass Less Dia, avec son journal « Le Politicien », mais encore avec Laye Bamba Diallo, avec Le Cafard Libéré, énorme hebdomadaire satirique, avaient donné le ton pour changer.

Mais faute de moyens, ces journaux ont disparu du paysage médiatique au moment où s’amorce le bug de l’an 2000. Au moment où le magazine Nouvel Horizon, un des derniers hebdomadaires qui résistaient encore à la crise, vient de fermer ses portes, la question est là...

Où va le journal en version papier ? La question est posée au moment où tous ou presque vivent une crise réelle sans en voir les véritables solutions. Comme les radios du reste, qui usent aussi de l’écrit pour travailler sur une information, le temps est aux difficultés et partout.

Difficultés qui malgré l’élaboration d’un nouveau code de la presse même adoptée ne saurait cacher. Le malaise est perceptible dans certaines rédactions sans moyens ni aucun outil de travail significatif (Ordinateur Pc, Machine Imprimante laser, atelier de montage moderne etc.) Choses qui faisaient le charme des directeurs de publication, chaque fois qu’un étranger ou un lecteur admiratif, venait visiter leur salle de rédaction.

Aujourd’hui, tout cela semble bien loin. Le vide dans les ateliers et salles de rédaction est terrible à décrire. Pendant que les grandes chaînes de télé comme Al Jazeera, traînent avec deux voire trois Pc sur un même bureau, ici en Afrique et au Sénégal en général, il est difficile de trouver un seul Pc aux normes pour tout un service.

Chacun y va de son petit ordinateur portable avec le risque de se bousiller les yeux dans un délai bien court. Chose qui arrive forcément pour tous les journalistes qui atteignent la quarantaine avec l’impossibilité dans le privé de se trouver une paire de lunette adéquate ; celle-ci n’étant pas prises dans les charges (moins de 10.000 Fcfa de subvention pour de bonnes lunettes qui coûtent entre 300.000 et 350.000 Fcfa), la paire. A la pauvreté du journaliste, se mêle désormais l’absence de plan de carrière et d’avenir. Mais encore l’expression d’une joie quelconque dans le rendu et de conviction.

Comment donc faire face à tant de contraintes quand on n’a pas les moyens de mettre sur la table des liasses de billets pour sauver ce qui reste du journalisme et de la publication ? Avec quels moyens faudrait-il faire face et réinventer le nouveau journalisme et les publications de demain ? Ce sont autant de questions à surmonter assez rapidement si on ne veut pas laisser la place aux amateurs et aux youtubeurs en tout genre.

Difficultés en tous genres, faillittes, crise... : Même Le quotidien Le Monde...

Le mal n’est pas seulement sénégalais. Même de grands quotidiens comme le Monde, ont connu à une époque où il n’y avait ni Internet, ni facebook et You Tube, les mêmes difficultés. Il fallu tout réorganiser. Dans ce même espace, à commencer par l’Europe et les Etats Unis, depuis la fin des années 1980, beaucoup de journaux ont connu des difficultés de survie.

Le Monde, Le Figaro, Le Matin, L’Aurore, et France Soir pour la France. Si certains ont disparu définitivement du paysage (L’aurore et Le Matin), d’autres comme France Soir ont arrêté la version papier pour devenir un Journal Online. Mais, de toutes, l’expérience du Monde a été la plus intéressante. Dans les années 1980, le journal est un peu à bout de souffle.

Et, c’est ainsi que le Groupe des actionnaires du quotidien français le plus connu dans le Monde, confie la Direction du Journal de 1991 à 1994, à un ancien de Polytechnique, Economiste de son état, Jacques Lesourne. Ancien élève de l’École polytechnique (promotion 1948, dont il est sorti major), et de l’École des mines de Paris (sorti en 1953, major sur dix élèves), Jacques Lesourne n’était pas n’importe qui.

Dans le Quotidien Les Echos, daté du 9 janvier 1991, on lira ces mots, « Le cinquième directeur gérant du « Monde » ne sera pas, comme ses prédécesseurs, issu du sérail de la rédaction.

Face aux difficultés financières du journal et à la fronde d’une majorité des porteurs de parts, le collège des rédacteurs a dû lâcher du lest. » Il lui fallait, selon le même journal, désormais obtenir 75% des suffrages des porteurs de parts de la Sarl. Une formalité puisque Jacques Lesourne avait d’abord été pressenti par les autres actionnaires.

Ainsi, à l’exception de Jacques Fauvet désigné en 1969 par Hubert Beuve-Méry, fondateur du quotidien « Le Monde » pour lui succéder, les changements de direction à la tête du quotidien se sont toujours effectués dans la douleur.

L’élection du cinquième directeur-gérant après Hubert Beuve-Méry, Jacques Fauvet, André Laurens et André Fontaine n’aura pas failli à cette tradition désormais solidement ancrée dans l’histoire du journal. Il aura fallu plus d’un an, depuis l’ouverture officielle de la succession d’André Fontaine en novembre 1989 pour que le quotidien élise son patron.

La situation financière du quotidien « Le Monde » a implicitement modifié les rapports de force au sein de l’actionnariat. Une chose était sûre : le quotidien se devait de « serrer les boulons » en 1991 et plus encore que par le passé mettre l’accent sur la gestion. La chose était dite. Selon les premières estimations, le déficit pour 90 devrait se situer aux environs de 10 à 20 millions de francs et non plus 40 comme prévu au premier semestre pour un chiffre d’affaires de 1,2 milliard de francs français.

Et, pourtant, pour l’époque, il n’y avait ni Internet, encore moins facebook et autres réseaux sociaux. Le journal devait faire face à un endettement de l’ordre de 290 millions de francs.

Aujourd’hui, malgré quelques difficultés, le journal est sorti de cette crise sauvée par la société des rédacteurs. Autre histoire, celle de France Soir qui a traversé les mêmes eaux à l’orée d’Internet et de facebook sous la direction de l’inamovible Phillipe Bouvard, son directeur. 14 octobre 2011, on peut lire ces mêmes phrases sur le site de la radio RTL qui invite Bouvard, « La messe est dite pour France-Soir : le titre va disparaitre des kiosques et n’existera plus que sur Internet.

Le jour de son départ, il dira ces mots pleins d’émotions, "Ce serait dramatique s’il n’y avait plus de France Soir papier. » Et, pourtant, depuis 2011, c’est bien le cas. Et, Phillipe Bouvard, aussi talentueux qu’il fut, n’hésitera à aller signer des chroniques dans un quotidien du sud de la Provence, Nice Matin qu’il vient d’ailleurs de quitter en ce début d’année 2018.

Le visuel contre le toucher - Le Smartphone peut-il remplacer le livre ou le journal ?

Il y a quelques jours, dans le Journal de 20 heures de France 2, un document présentant les préparatifs des fêtes de fins d’années est revenu sur l’un des cadeaux préférés des adultes et de certains jeunes : le livre.

Avec tout ce que les réseaux permettent de faire, grâce à Internet, ses supports et outils, les ouvrages de librairies semblaient ; comme les journaux et magazines, voués à une mort certaine. Que non, s’est empressé de dire le reporter, car l’un des cadeaux préférés des français, pour le nouvel an, se trouve encore être le livre ; avec sa couverture, ses pages, son parfum...

Le livre a un coté magique, pour celui qui sait l’ouvrir et le découvrir. L’apprécier aussi comme au bon vieux temps. Online et sur un écran, certains n’ont pas hésité à dire que tous les éléments qui font l’unicité du livre et sa beauté, ne sont pas dans le rapport qu’on peut avoir avec un Smartphone, un Ipad et un ordinateur portable. On veut en faire un phénomène de civilisation et de mode, mais le visuel et le toucher sont encore au coude à coude selon qu’on est un enfant, un adolescent, ou un adulte.

Sans leurs journaux (quotidien, magazine, livre de chevet), certains ont du mal à trouver le sommeil. Pour d’autres, passer une journée l’oreille et les yeux rivés sur un appareil, n’est pas la chose la plus conseillée pour protéger les yeux et l’ouïe.

L’équation du management et des innovations

S’adapter, s’équiper, innover intelligemment et aller au devant des enjeux... Voilà les défis que les médias et la presse surtout écrite en général devraient relever pour l’avenir si on ne veut pas voir tous plonger dans le systèmes sites web et online. L’autre défi à relever nul doute se trouve pour toutes ces sociétés est dans le mode de management et d’organisation.

La gestion des effectifs, la sécurisation professionnelle, et encore la mise sur pied de véritables plans de carrières sont une exigence majeure quand on a une bonne équipe. L’essentiel est aussi dans la capacité de l’entreprise à améliorer le niveau de connaissances des jeunes, histoire d’assurer de manière pérenne, l’avenir des sociétés de presse.

Comme dans les sociétés d’assurances et autres compagnies, dont le titre et les éléments de contenu sur le marché sénégalais et même africain sont souvent liés au nom du fondateur, les médias aussi ont cette tare. Souvent tout semble relever du ou des fondateurs. Sur cette seule tête, reposent des fois, les salaires, le budget de fonctionnement, mais encore la gestion des périodes de crise.

C’est à la fois la marque d’un manque d’ambition et de vision. Le risque face à un tel contexte qui ne cesse de généraliser, étant qu’avec toutes ces charges cumulées, et sans contrôle, le risque est grand de constater que quand çà marche, le seul à pouvoir le dire reste le propriétaire et non, le gestionnaire.

Dans ce contexte, il arrive souvent que les journalistes dénoncent leur situation de précarité, et jouent la dénonciation au lieu d’offrir ce qu’ils ont de meilleur.

L’Etat ou les Etats en Afrique ne sont pas exempts de tout reproche. Dominateur au sein des quotidiens nationaux, mais encore des médias dits publics, le principal souci des hommes et femmes de médias appelés conseillers ou pays, est tout le temps rivé sur l’image du président.

D’ailleurs, toute stratégie au niveau de la télévision publique tourne autour de l’image du Président de la République. Le Sénégal est un bel exemple dans la chose avec son Président Macky Sall. Télévision ici et là, Télévision et caméra partout. On peaufine, on nettoie tout ce qui peut gêner à la télé au détriment de l’information pour le peuple. Exit les journaux, les agences de presse ; la presse privée n’en parlons pas. Tout pour la télé.

Dans un tel contexte quel avenir s’offre au journaliste ou au photojournaliste même sorti des plus grandes écoles d’ici et du monde ? C’est le cas, récemment des équipes rédactionnelles de l’Agence de Presse Sénégalaise, qui ont cumulé trois mois d’arriérés de salaires et l’ont crié à l’attention de l’Etat et du Président Macky Sall, leur ras-le-bol. Ils ne sont pas seuls sur le marché, car même des entreprises de presse bien plus nanties, selon certaines sources, ont traversé ces moments difficiles.

Le pire est que face à la concurrence d’Internet et de facebook, que valent aujourd’hui les journaux, radios et télévisions dans des pays où le niveau de lecteurs ne cesse de baisser ? Entre les Fake news (fausses nouvelles), les rumeurs souvent infondées, il est arrivé que le superflu devienne le cœur même de l’information au détriment du travail savant et méticuleux que le journaliste sort de la bouche d’un expert ou d’un spécialiste.

Le Président Macron ( malgré son boycott des journalistes) semble l’avoir bien compris quand il a demandé en ce mois de janvier lors de ses vœux à la presse, un contrôle et une restriction de certains accès à Internet. Le mythe des réseaux sociaux ( expression dont tout le monde s’est accommodé), est entrain, sans contrôle ni censure (utile), de faire en sorte que même le Journal radio ou télévisé, en dépit des efforts gigantesques d’une rédaction, est devenu bien banal.

De tous, c’est la presse écrite et le livre qui en souffrent le plus. Si l’on se battait dans les années d’avant à écouter un journal, ou à lire, Le Monde, Le Soleil, Sud Quotidien, ou encore Wal Fadjr, c’est parce que l’on savait qu’il y avait au bout, un travail de réflexion et de partage en équipe qui se faisait. Aujourd’hui, regrettent certains, tout cela ne semble pas payer.

A bout de souffle, les organes de presse végètent. Dans ce paysage médiatique fait autour de You tube et ses saletés en tout genre, le meilleur des journaux, (en dehors des faits divers), n’est ni lu, acheté ou vendu à son prix. Un casse-tête pour les Directeurs de publication, les administrateurs et la société des actionnaires si elle existe encore.

Mame Aly Konté

(Source : Sud Quotidien, 10 janvier 2018)

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