OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2017 > Septembre 2017 > Révolution numérique : Le président d’OPTIC veut que l’Afrique prenne le (…)

Révolution numérique : Le président d’OPTIC veut que l’Afrique prenne le train en marche

vendredi 29 septembre 2017

Economie numérique

Le président de l’Organisation des Professionnels des Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal (OPTIC), Antoine Ngom, a appelé avant-hier les leaders africains à prendre en main la transformation digitale, pour ne pas subir la révolution numérique. Il s’exprimait au cours d’un panel sur le sujet, en marge du 3ème forum Investir en Afrique.

‘’Aujourd’hui, si l’Afrique ne prend pas en main la transformation digitale, celui-ci va transformer le continent et ce sont les grands acteurs du digital qui vont le faire. On la subira encore, comme on a eu à le faire avec les autres révolutions.’’ Cette affirmation est du président de l’Organisation des Professionnels des Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal (OPTIC), Antoine Ngom qui prenait part, avant-hier, à un panel sur le thème, à l’occasion du 3ème forum Investir en Afrique ouvert lundi à Dakar. Pour ce spécialiste des TIC, la révolution digitale ‘’est une réalité’’ qu’il faut prendre par ‘’le bon bout en Afrique’’. ‘’C’est l’une des révolutions qui aura le plus d’impact sur l’humain et sur nos économies. Pour une fois, l’Afrique a l’opportunité de pouvoir s’approprier ces technologies et d’être un acteur plein dans leur mise en œuvre. Il y a beaucoup d’initiatives qui sont prises par les pays africains. Ils se sont dotés de leurs propres stratégies de développement du numérique. Mais ce n’est pas suffisant’’, a dit Antoine Ngom.

Ainsi, il a indiqué qu’il y a deux phases dans la transformation digitale. La première, c’est la modernisation. ‘’C’est-à-dire comment aujourd’hui utiliser les TIC pour améliorer la performance de nos organisations pour booster l’économie, influer positivement sur la croissance. Il s’agit d’améliorer la performance des procédures existantes’’, a-t-il fait savoir. La seconde phase qui est ‘’aussi importante’’, d’après le président de l’OPTIC, consiste ‘’non seulement à moderniser ce qui se fait, mais à penser au monde de demain. C’est-à-dire de transformer les usages, les expériences clients, les process, etc.’’.

Cependant, dans beaucoup de pays africains, un des freins au développement de l’économie numérique réside, selon le président de l’OPTIC, dans la gouvernance de TIC. ‘’Si les partenaires au développement et ceux traditionnels peuvent aller plus vite dans la mise en place d’un environnement approprié pour le développement du secteur, dans le cadre de la mondialisation, ce serait formidable. Car on ne dit pas qu’on va la faire seule, mais il y aura des partenaires avec qui travailler. On a notamment la Banque mondiale et la Chine qui sont là’’, a-t-il soutenu. L’autre point essentiel dans ce processus, a ajouté Antoine Ngom, c’est également la connectivité, c’est-à-dire les infrastructures. ‘’Il faut une réglementation et une mise en place d’opérateurs d’infrastructures. Il faut certes mûrir la transformation digitale, mais c’est sur la base d’infrastructures solides’’, a-t-il plaidé.

Il a tout de même reconnu qu’au Sénégal, des ‘’pas très importants’’ ont été faits avec la stratégie Sénégal numérique 2025 pour ce qui concerne l’environnement juridique et réglementaire. ‘’C’est ce qui va permettre de donner une énergie nouvelle au développement du digital’’, a-t-il affirmé. Il faut rappeler que ce forum initié par la Chine, en partenariat avec la Banque mondiale, a regroupé plus de 400 participants dont de nombreux chefs d’entreprises chinoises et africaines. Et le thème choisi pour cette édition, c’est : « Accélérer le développement de l’Afrique par l’innovation ».

Mariama Diémé

(Source : Enquête, 29 septembre 2017)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2083/2250 Régulation des télécoms
  • 174/2250 Télécentres/Cybercentres
  • 1574/2250 Economie numérique
  • 799/2250 Politique nationale
  • 2250/2250 Fintech
  • 262/2250 Noms de domaine
  • 823/2250 Produits et services
  • 697/2250 Faits divers/Contentieux
  • 365/2250 Nouveau site web
  • 2250/2250 Infrastructures
  • 820/2250 TIC pour l’éducation
  • 92/2250 Recherche
  • 126/2250 Projet
  • 1396/2250 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 903/2250 Sonatel/Orange
  • 780/2250 Licences de télécommunications
  • 133/2250 Sudatel/Expresso
  • 475/2250 Régulation des médias
  • 602/2250 Applications
  • 503/2250 Mouvements sociaux
  • 767/2250 Données personnelles
  • 63/2250 Big Data/Données ouvertes
  • 299/2250 Mouvement consumériste
  • 181/2250 Médias
  • 324/2250 Appels internationaux entrants
  • 723/2250 Formation
  • 51/2250 Logiciel libre
  • 849/2250 Politiques africaines
  • 419/2250 Fiscalité
  • 83/2250 Art et culture
  • 287/2250 Genre
  • 754/2250 Point de vue
  • 490/2250 Commerce électronique
  • 731/2250 Manifestation
  • 158/2250 Presse en ligne
  • 64/2250 Piratage
  • 104/2250 Téléservices
  • 417/2250 Biométrie/Identité numérique
  • 152/2250 Environnement/Santé
  • 160/2250 Législation/Réglementation
  • 169/2250 Gouvernance
  • 852/2250 Portrait/Entretien
  • 72/2250 Radio
  • 343/2250 TIC pour la santé
  • 132/2250 Propriété intellectuelle
  • 29/2250 Langues/Localisation
  • 548/2250 Médias/Réseaux sociaux
  • 925/2250 Téléphonie
  • 96/2250 Désengagement de l’Etat
  • 516/2250 Internet
  • 57/2250 Collectivités locales
  • 191/2250 Dédouanement électronique
  • 517/2250 Usages et comportements
  • 514/2250 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 279/2250 Audiovisuel
  • 1402/2250 Transformation digitale
  • 192/2250 Affaire Global Voice
  • 76/2250 Géomatique/Géolocalisation
  • 222/2250 Service universel
  • 337/2250 Sentel/Tigo
  • 87/2250 Vie politique
  • 730/2250 Distinction/Nomination
  • 17/2250 Handicapés
  • 338/2250 Enseignement à distance
  • 321/2250 Contenus numériques
  • 304/2250 Gestion de l’ARTP
  • 90/2250 Radios communautaires
  • 809/2250 Qualité de service
  • 214/2250 Privatisation/Libéralisation
  • 67/2250 SMSI
  • 224/2250 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1281/2250 Innovation/Entreprenariat
  • 663/2250 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2250 Internet des objets
  • 85/2250 Free Sénégal
  • 207/2250 Intelligence artificielle
  • 98/2250 Editorial
  • 9/2250 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous