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Régulation et économie des télécommunications : Ouagadougou accueille la première conférence africaine

jeudi 27 octobre 2011

Politiques africaines

A la faveur de la première Conférence africaine sur la régulation et l’économie des télécommunications (CARET), Ouagadougou est depuis ce mercredi 26 octobre 2011, le point de convergence des principaux acteurs de télécommunication. Acteurs du monde universitaire, des télécommunications et de la communication vont se pencher pendant 72h autour de « la régulation et l’économie des télécommunications ». Objectif : parvenir à l’harmonisation des méthodes de régulation et inciter le monde universitaire à s’impliquer davantage.

Les conférences sur la régulation sont des choses courantes dans le monde anglophone. Par contre, elles sont quasi-inexistantes dans l’espace francophone. C’est pour offrir ce cadre d’échanges et de partage d’expériences que l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP) du Burkina, en partenariat avec l’école supérieure des télécommunications de Paris, a décidé d’organiser la première Conférence africaine sur la régulation et l’économie des télécommunications (CARET). Cette rencontre qui se tient du 26 au 28 octobre 2011 permettra aux « régulateurs francophones de discuter des questions communes que nous avons dans notre secteur des télécommunications », espère Mathurin Bako, le président de l’ARCEP.

« Les questions rencontrées au Mali, au Sénégal, en Guinée, en Côte d’Ivoire... sont pratiquement les mêmes que celles rencontrées au Burkina, donc, on peut s’inspirer des meilleures pratiques que les régulateurs ont mis en place pour la gestion des secteurs dans leurs pays respectifs », ajoute-t-il, L’objectif étant de parvenir à une harmonisation des méthodes de régulation.

Télécoms : vecteur de développement mais aussi des dangers

« Tout progrès technologique introduit des choix, des dilemmes, des interrogations » selon le Pr Laurent Gilles de Paris Tech co-organisateur de la présente conférence. Il en est ainsi des technologies de l’information et de la communication qui modifient et transforment profondément les sociétés africaines. L’impact des télécoms sur le développement économique est certain mais ils peuvent également comporter des dangers. Les sociétés africaines entrent rapidement et pleinement dans la société de l’information et « il faut réfléchir à ces transformations et imaginer comment un secteur d’activité de plus en plus dynamique peut apporter sa contribution à la société de demain, et comment ceux qui sont en charge des équilibres de marché, les régulateurs peuvent soutenir cet effort collectif » a ajouté le Pr Laurent Gilles.

Cette rencontra vise également à permettre au monde universitaire africain de rejoindre cette communauté qui existe entre les opérateurs, les régulateurs, voire la société civile. Ils pourront ainsi se saisir non seulement des problématiques qui se font jour, mais également y apporter leur concours.

Environ 200 participants de 23 pays de l’Afrique francophone et d’ailleurs vont pendant ces 72 h passer en revue les principales questions qui s’imposent aux régulateurs, aux opérateurs et aux consommateurs afin « d’aider les Etats dans leur volonté d’affronter avec succès et perspicacité les questions des télécommunications d’un point de vue juridique et économique » a signifié M. Mathurin Bako, président de L’ARCEP.

Le premier ministre burkinabè Luc Adolphe Tiao, en présidant l’ouverture officielle des travaux de la CARET, a réaffirmé « l’engagement de son gouvernement à appuyer l’édification d’une société de l’information juste et équitable pour le grand bénéfice des populations ».

Cheik Tiga Sawadogo et Moussa Diallo

(Source : Faso-tic, 27 octobre 2011)

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