OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2019 > Juin 2019 > Recensement biométrique dans la Fonction publique au Gabon : Les (…)

Recensement biométrique dans la Fonction publique au Gabon : Les clarifications du gouvernement

vendredi 28 juin 2019

Biométrie/Identité numérique

Le Conseil des Ministres du 29 mars 2019 a entériné la décision portant recensement biométrique au sein de la Fonction publique. Cette décision suscite des interrogations chez le grand public. Le gouvernement, par le biais du ministère en charge de la Fonction publique dirigé par Madeleine Berre, apporte des clarifications sur ce projet.

« Le fonctionnement du recensement …

Il s’agit d’un recensement biométrique général de la Fonction publique. Il concerne à la fois les ministères régaliens, les ministères sectoriels, les institutions, les organes de régulation, les corps de défense et de sécurité, donc toutes les composantes de l’administration publique.

Le recensement concerne tous les agents publics émargeant au budget de l’Etat et payés par la Solde, tous secteurs confondus : fonctionnaires, contractuels, institutionnels et main d’œuvre non permanente (MONP). Contrairement aux recensements précédents « manuels », qui n’ont pas permis d’obtenir des informations précises sur la main d’œuvre dans les administrations, celui-ci s’appuie sur la « biométrie » (photos et empreintes digitales) qui permet d’éviter la manipulation humaine et d’assurer ainsi la fiabilité du processus. A la différence du recensement « manuel » de 2018, ce nouveau processus s’appuie sur une méthodologie affinée qui permettra de disposer des données précises tant sur le plan quantitatif « combien d’agents dans chaque administration » que qualitatif « quel profil, à quel poste, dans quelle administration et pour quelle productivité ».

A l’issue de ce recensement, le ministère de la Fonction publique disposera d’une cartographie précise de tous les agents de l’administration gabonaise. Cette cartographie contribuera à terme, à optimiser le fonctionnement des administrations et d’assurer l’adéquation entre le profil de l’agent, le poste d’affectation, les tâches à accomplir et son rendement.

Employabilité des agents …

Ce recensement placé sous le sceau « Le capital humain au cœur de la démarche » a pour objectif principal de fiabiliser le fichier des agents publics de l’Etat aux fins d’améliorer l’employabilité des agents.

Il permettra l’affectation d’hommes et de femmes aux postes qui correspondent aux besoins réels de fonctionnement optimal des administrations. C’est une forme de justice pour les nombreux agents qui demeurent sans affectation depuis des mois, voire des années. Il aboutira, à terme, au redéploiement d’une partie de la main d’œuvre pour doter les administrations d’agents dont les compétences cadrent avec les besoins pour plus de cohérence dans le service public. « Plus d’agronomes à la Santé, plus de psychologues aux Hydrocarbures ou de nutritionnistes aux Impôts, mais plutôt où leurs compétences peuvent être utiles. » Avec l’appui du privé, certains agents pourraient se reconvertir dans le privé.

La connaissance optimale des ressources humaines qui découlera de ce recensement permettra d’avoir une identification précise des postes non pourvus et de mettre en place des plans de gestion de carrières justes et équitables en phase avec les objectifs de rendement de chaque administration. Au même titre qu’elle contribuera à la régularisation des agents en présalaire.

Amélioration de la qualité du service …

Le recensement devra aboutir à des décisions allant dans le sens d’un « agent, un poste et un rendement » et permettre plus d’efficacité dans le service public proposé aux citoyens afin de répondre à leurs attentes.

Sa mise en œuvre se déroulera en 3 étapes : renseignement du formulaire avec l’appui des DCRH, prélèvement des données biométriques, traitement et analyse des données collectées.

Le recensement biométrique et la distribution de la fiche unique d’identification s’effectueront simultanément sous la supervision des DCRH. A l’intérieur du pays, il se fera au sein des gouvernorats et des mairies.

Le fonctionnement du recensement …

Il s’agit d’un recensement biométrique général de la Fonction publique. Il concerne à la fois les ministères régaliens, les ministères sectoriels, les institutions, les organes de régulation, les corps de défense et de sécurité, donc toutes les composantes de l’administration publique.

Le recensement concerne tous les agents publics émargeant au budget de l’Etat et payés par la Solde, tous secteurs confondus : fonctionnaires, contractuels, institutionnels et main d’œuvre non permanente (MONP). Contrairement aux recensements précédents « manuels », qui n’ont pas permis d’obtenir des informations précises sur la main d’œuvre dans les administrations, celui-ci s’appuie sur la « biométrie » (photos et empreintes digitales) qui permet d’éviter la manipulation humaine et d’assurer ainsi la fiabilité du processus. A la différence du recensement « manuel » de 2018, ce nouveau processus s’appuie sur une méthodologie affinée qui permettra de disposer des données précises tant sur le plan quantitatif « combien d’agents dans chaque administration » que qualitatif « quel profil, à quel poste, dans quelle administration et pour quelle productivité ».

A l’issue de ce recensement, le ministère de la Fonction publique disposera d’une cartographie précise de tous les agents de l’administration gabonaise. Cette cartographie contribuera à terme, à optimiser le fonctionnement des administrations et d’assurer l’adéquation entre le profil de l’agent, le poste d’affectation, les tâches à accomplir et son rendement.

Employabilité des agents …

Ce recensement placé sous le sceau « Le capital humain au cœur de la démarche » a pour objectif principal de fiabiliser le fichier des agents publics de l’Etat aux fins d’améliorer l’employabilité des agents.

Il permettra l’affectation d’hommes et de femmes aux postes qui correspondent aux besoins réels de fonctionnement optimal des administrations. C’est une forme de justice pour les nombreux agents qui demeurent sans affectation depuis des mois, voire des années. Il aboutira, à terme, au redéploiement d’une partie de la main d’œuvre pour doter les administrations d’agents dont les compétences cadrent avec les besoins pour plus de cohérence dans le service public. « Plus d’agronomes à la Santé, plus de psychologues aux Hydrocarbures ou de nutritionnistes aux Impôts, mais plutôt où leurs compétences peuvent être utiles. » Avec l’appui du privé, certains agents pourraient se reconvertir dans le privé.

La connaissance optimale des ressources humaines qui découlera de ce recensement permettra d’avoir une identification précise des postes non pourvus et de mettre en place des plans de gestion de carrières justes et équitables en phase avec les objectifs de rendement de chaque administration. Au même titre qu’elle contribuera à la régularisation des agents en présalaire.

Amélioration de la qualité du service …

Le recensement devra aboutir à des décisions allant dans le sens d’un « agent, un poste et un rendement » et permettre plus d’efficacité dans le service public proposé aux citoyens afin de répondre à leurs attentes.

Sa mise en œuvre se déroulera en 3 étapes : renseignement du formulaire avec l’appui des DCRH, prélèvement des données biométriques, traitement et analyse des données collectées.

Le recensement biométrique et la distribution de la fiche unique d’identification s’effectueront simultanément sous la supervision des DCRH. A l’intérieur du pays, il se fera au sein des gouvernorats et des mairies. »

(Source : Digital Business Africa, 28 juin 2019)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4237/4554 Régulation des télécoms
  • 350/4554 Télécentres/Cybercentres
  • 3128/4554 Economie numérique
  • 1621/4554 Politique nationale
  • 4554/4554 Fintech
  • 507/4554 Noms de domaine
  • 1660/4554 Produits et services
  • 1423/4554 Faits divers/Contentieux
  • 734/4554 Nouveau site web
  • 4530/4554 Infrastructures
  • 1636/4554 TIC pour l’éducation
  • 182/4554 Recherche
  • 244/4554 Projet
  • 2952/4554 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1742/4554 Sonatel/Orange
  • 1587/4554 Licences de télécommunications
  • 269/4554 Sudatel/Expresso
  • 948/4554 Régulation des médias
  • 1217/4554 Applications
  • 1017/4554 Mouvements sociaux
  • 1542/4554 Données personnelles
  • 164/4554 Big Data/Données ouvertes
  • 594/4554 Mouvement consumériste
  • 360/4554 Médias
  • 643/4554 Appels internationaux entrants
  • 1446/4554 Formation
  • 106/4554 Logiciel libre
  • 1775/4554 Politiques africaines
  • 878/4554 Fiscalité
  • 167/4554 Art et culture
  • 572/4554 Genre
  • 1553/4554 Point de vue
  • 970/4554 Commerce électronique
  • 1428/4554 Manifestation
  • 314/4554 Presse en ligne
  • 125/4554 Piratage
  • 208/4554 Téléservices
  • 907/4554 Biométrie/Identité numérique
  • 306/4554 Environnement/Santé
  • 321/4554 Législation/Réglementation
  • 335/4554 Gouvernance
  • 1720/4554 Portrait/Entretien
  • 144/4554 Radio
  • 688/4554 TIC pour la santé
  • 270/4554 Propriété intellectuelle
  • 59/4554 Langues/Localisation
  • 1012/4554 Médias/Réseaux sociaux
  • 1885/4554 Téléphonie
  • 192/4554 Désengagement de l’Etat
  • 983/4554 Internet
  • 115/4554 Collectivités locales
  • 383/4554 Dédouanement électronique
  • 1023/4554 Usages et comportements
  • 1035/4554 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 557/4554 Audiovisuel
  • 2846/4554 Transformation digitale
  • 382/4554 Affaire Global Voice
  • 153/4554 Géomatique/Géolocalisation
  • 300/4554 Service universel
  • 663/4554 Sentel/Tigo
  • 179/4554 Vie politique
  • 1494/4554 Distinction/Nomination
  • 34/4554 Handicapés
  • 678/4554 Enseignement à distance
  • 704/4554 Contenus numériques
  • 586/4554 Gestion de l’ARTP
  • 178/4554 Radios communautaires
  • 1633/4554 Qualité de service
  • 428/4554 Privatisation/Libéralisation
  • 133/4554 SMSI
  • 458/4554 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2599/4554 Innovation/Entreprenariat
  • 1314/4554 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/4554 Internet des objets
  • 170/4554 Free Sénégal
  • 369/4554 Intelligence artificielle
  • 199/4554 Editorial
  • 22/4554 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous