OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2019 > Mars 2019 > Radiodiffusion en Afrique : Le basculement au numérique en débat

Radiodiffusion en Afrique : Le basculement au numérique en débat

vendredi 29 mars 2019

Télévision/Radio numérique terrestre

La 12e assemblée générale de l’Union africaine de radiodiffusion, ouverte mercredi dernier à Marrakech, est l’occasion de faire le point de la mise en œuvre de ce projet sur le continent.

Pour la douzième fois depuis sa création, l’Union africaine de radiodiffusion (UAR), que dirige le Camerounais Grégoire Ndjaka, a réuni tous ses membres en Assemblée générale depuis mercredi 27 mars à Marrakech au Maroc.

Objectif, faire le bilan des activités annuelles de l’institution panafricaine qui rassemble les chaines de télévision publiques, mais aussi quelques privées à vocation panafricaines, et évaluer la mise en œuvre du basculement de la radiodiffusion de l’analogique vers le numérique.

Pour cette session, les participants planchent sur le thème « Les nouveaux médias et leur influence sur l’industrie audiovisuel africain ». Un thème d’actualité quand on sait sous le ciel africain, il subsiste une bataille entre les médias traditionnels et les médias sociaux, les premiers pensant que les seconds pourraient leur ravir la vedette. Mais comme a tenu à la préciser Marc Sakaili, directeur de France 24 et partenaire de l’UAR, « dans la mouvance actuelle, tout va ensemble. Il n’y a pas un média qui soit contre un autre. Tous les médias doivent juste être capables de mettre des contenus certifiés et vérifiables à la portée de tous les publics et en temps réel, tant ceux qui choisissent les canaux linéaires que ceux qui vont sur les réseaux sociaux. Chacun doit avoir le choix », a-t-il déclaré.

Différents autres intervenants ont été d’accord sur le fait que chaque acteur doit donner du sien pour que tous les médias vivent ensemble et de façon complémentaire. Mais pour que les médias traditionnels suivent le cours de l’évolution technologique le basculement de l’analogique vers le numérique est indispensable.

C’est ainsi durant la cérémonie d’ouverture que présidait Mohamed Al Aaraj, ministre marocain de la Culture et de la Communication, en présence de ministres de plusieurs autres pays ou des représentants, l’état d’avancement du basculement a été présenté par quelques-uns. Et beaucoup reste à faire, surtout pour de nombreux pays au sud du Sahara.

Au Cameroun, quatre ans après la mise sur pied du projet de Télévision numérique terrestre (TNT), seules Yaoundé et Douala sont concernées par la phase pilote. « Ces villes sont alimentées par un centre de multiplexage d’une capacité de 50 programmes », a indiqué Charles Atangana Manda, chef de la division de l’observatoire des médias et de l’opinion publique, représentant le ministre de la Communication.

Si on peut déplorer la lenteur dans la réalisation de ce projet, il faut noter que de l’avis des experts, l’infrastructure TNT est assez onéreuse. Au Niger par exemple, cela a nécessité environ 30 milliards de F. D’ailleurs, en prélu à l’Assemblée générale, il s’est tenu, le 26 mars, un forum sur l’apport des régulateurs dans le processus du passage de l’analogique au numérique.

Toujours pour rester dans l’air du temps, les dégâts des fake news ou infox ont été abordés. Les participants ont également réfléchi sur les droits de retransmission des événements sportifs.

(Source : Ccmeroon Tribune, 29mars 2019)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2172/2346 Régulation des télécoms
  • 175/2346 Télécentres/Cybercentres
  • 1606/2346 Economie numérique
  • 829/2346 Politique nationale
  • 2346/2346 Fintech
  • 257/2346 Noms de domaine
  • 859/2346 Produits et services
  • 719/2346 Faits divers/Contentieux
  • 396/2346 Nouveau site web
  • 2259/2346 Infrastructures
  • 843/2346 TIC pour l’éducation
  • 91/2346 Recherche
  • 121/2346 Projet
  • 1526/2346 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 911/2346 Sonatel/Orange
  • 815/2346 Licences de télécommunications
  • 134/2346 Sudatel/Expresso
  • 486/2346 Régulation des médias
  • 637/2346 Applications
  • 531/2346 Mouvements sociaux
  • 794/2346 Données personnelles
  • 62/2346 Big Data/Données ouvertes
  • 306/2346 Mouvement consumériste
  • 181/2346 Médias
  • 325/2346 Appels internationaux entrants
  • 813/2346 Formation
  • 51/2346 Logiciel libre
  • 875/2346 Politiques africaines
  • 410/2346 Fiscalité
  • 85/2346 Art et culture
  • 288/2346 Genre
  • 794/2346 Point de vue
  • 502/2346 Commerce électronique
  • 726/2346 Manifestation
  • 159/2346 Presse en ligne
  • 62/2346 Piratage
  • 103/2346 Téléservices
  • 443/2346 Biométrie/Identité numérique
  • 156/2346 Environnement/Santé
  • 164/2346 Législation/Réglementation
  • 170/2346 Gouvernance
  • 847/2346 Portrait/Entretien
  • 73/2346 Radio
  • 364/2346 TIC pour la santé
  • 137/2346 Propriété intellectuelle
  • 31/2346 Langues/Localisation
  • 532/2346 Médias/Réseaux sociaux
  • 942/2346 Téléphonie
  • 96/2346 Désengagement de l’Etat
  • 494/2346 Internet
  • 57/2346 Collectivités locales
  • 188/2346 Dédouanement électronique
  • 521/2346 Usages et comportements
  • 539/2346 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2346 Audiovisuel
  • 1442/2346 Transformation digitale
  • 193/2346 Affaire Global Voice
  • 78/2346 Géomatique/Géolocalisation
  • 262/2346 Service universel
  • 334/2346 Sentel/Tigo
  • 88/2346 Vie politique
  • 764/2346 Distinction/Nomination
  • 19/2346 Handicapés
  • 358/2346 Enseignement à distance
  • 352/2346 Contenus numériques
  • 297/2346 Gestion de l’ARTP
  • 90/2346 Radios communautaires
  • 842/2346 Qualité de service
  • 218/2346 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2346 SMSI
  • 225/2346 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1321/2346 Innovation/Entreprenariat
  • 665/2346 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2346 Internet des objets
  • 85/2346 Free Sénégal
  • 179/2346 Intelligence artificielle
  • 101/2346 Editorial
  • 12/2346 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous