OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2024 > Mai 2024 > Pour 81% des PME africaines le cloud computing est essentiel pour leur (…)

Pour 81% des PME africaines le cloud computing est essentiel pour leur compétitivité

mardi 7 mai 2024

Innovation/Entreprenariat

Le rapport souligne qu’un certain nombre de PME africaines tardent encore à se convertir au numérique, en raison du coût élevé d’implémentation des technologies, de l’accès limité à Internet ou encore des préoccupations liées à la cybersécurité.

Plus de quatre petites et moyennes entreprises (PME) africaines sur cinq (81,3%) estiment que le cloud computing constitue le plus important outil numérique capable d’améliorer leur compétitivité, selon un rapport publié le 27 mars 2024 par les opérateurs télécom Vodacom Group, Vodafone Group et Safaricom.

Intitulé « Levelling the SME playing field : Enabling success and scale through technology », le rapport se base sur une enquête menée auprès de 400 PME opérant dans huit pays africains (Afrique du Sud, Kenya, Egypte, Ethiopie, Mozambique, Tanzanie, République démocratique du Congo et Lesotho).

Appelées à classer les technologies numériques qui contribuent le plus à renforcer leur compétitivité, ces entreprises qui emploient moins de 200 personnes ont cité le cloud computing devant les plateformes de commerce électronique (75,2 %), les outils de gestion automatisée des stocks (68,2 %), les logiciels de facturation et de paiement (58,3%) et l’Internet des objets (57,2%). Viennent ensuite les outils d’analyse de données (42,1%), les outils de travail à distance (42,1%), l’intelligence artificielle et le machine learning (41%) et la technologie blockchain pour la chaîne d’approvisionnement (37,6%).

La majorité des entreprises sondées reconnaissent déjà l’impact positif de la technologie sur leurs activités. Les principaux bénéfices cités dans ce cadre sont, dans l’ordre, l’accélération de la croissance de l’entreprise (86,9%), l’amélioration de l’efficacité de l’entreprise (79%), le renforcement de la compétitivité (73,1%) et l’amélioration de la qualité des services offerts à la clientèle (69%).

Le rapport révèle également que 69,5% des PME interrogées ont augmenté leurs investissements technologiques au cours des douze derniers mois, alors que 67,3 % prévoient de le faire à l’avenir. Cette hausse des investissements est plus perceptible dans les entreprises employant entre 50 et 200 personnes que dans les entités de plus petite taille.

Des coûts d’implémentation et de modernisation élevés

Interrogées sur les facteurs qu’ils prennent en compte lorsqu’elles investissent dans la technologie, les PME africaines ont cité la qualité des produits et des services comme étant est le facteur le plus important (92,6%).

Le prix, le service après-vente, la réputation des fournisseurs et l’assistance locale ont été également cités comme des critères cruciaux par environ trois quarts des entreprises couvertes par l’enquête.

Les entreprises qui choisissent d’adopter la technologie font cependant face à plusieurs défis comme les coûts élevés de la modernisation et de la mise à jour des applications (58,3% des entreprises interrogées), les difficultés liées à l’intégration de nouvelles technologies dans les systèmes informatiques existants (31,5%), l’accès limité à Internet (30,2%), le manque de fiabilité de l’approvisionnement en électricité (28,6%) et le manque de formation des employés à l’utilisation des technologies (28,6%).

Rappelant que les PME génèrent globalement plus de 80 % des emplois formels et environ 50 % du PIB sur le continent, le rapport souligne par ailleurs que plusieurs obstacles empêchent encore un certain nombre de PME africaines d’intégrer les dernières avancées technologiques. Il s’agit notamment du coût d’implémentation (65,9%), de l’accès limité à une connectivité Internet fiable (40,4%), du manque de compétences et de connaissances numériques (32%) et des préoccupations liées à la cybersécurité (22,7%).

(Source : Agence Ecofin, 7 mai 2024)

Documents joints

  • 1-digital.png (PNG - 66.2 kio)
  • 1-artificial.png (PNG - 59.7 kio)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 6719/7736 Régulation des télécoms
  • 521/7736 Télécentres/Cybercentres
  • 5443/7736 Economie numérique
  • 2796/7736 Politique nationale
  • 7736/7736 Fintech
  • 775/7736 Noms de domaine
  • 2661/7736 Produits et services
  • 2166/7736 Faits divers/Contentieux
  • 1098/7736 Nouveau site web
  • 7139/7736 Infrastructures
  • 2597/7736 TIC pour l’éducation
  • 279/7736 Recherche
  • 363/7736 Projet
  • 5018/7736 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 2634/7736 Sonatel/Orange
  • 2525/7736 Licences de télécommunications
  • 410/7736 Sudatel/Expresso
  • 1709/7736 Régulation des médias
  • 2045/7736 Applications
  • 1783/7736 Mouvements sociaux
  • 2437/7736 Données personnelles
  • 191/7736 Big Data/Données ouvertes
  • 892/7736 Mouvement consumériste
  • 537/7736 Médias
  • 965/7736 Appels internationaux entrants
  • 2567/7736 Formation
  • 139/7736 Logiciel libre
  • 3056/7736 Politiques africaines
  • 1579/7736 Fiscalité
  • 251/7736 Art et culture
  • 867/7736 Genre
  • 2388/7736 Point de vue
  • 1485/7736 Commerce électronique
  • 2190/7736 Manifestation
  • 474/7736 Presse en ligne
  • 186/7736 Piratage
  • 306/7736 Téléservices
  • 1318/7736 Biométrie/Identité numérique
  • 453/7736 Environnement/Santé
  • 582/7736 Législation/Réglementation
  • 647/7736 Gouvernance
  • 2657/7736 Portrait/Entretien
  • 216/7736 Radio
  • 1108/7736 TIC pour la santé
  • 410/7736 Propriété intellectuelle
  • 87/7736 Langues/Localisation
  • 1612/7736 Médias/Réseaux sociaux
  • 2865/7736 Téléphonie
  • 287/7736 Désengagement de l’Etat
  • 1507/7736 Internet
  • 172/7736 Collectivités locales
  • 590/7736 Dédouanement électronique
  • 1617/7736 Usages et comportements
  • 1543/7736 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 827/7736 Audiovisuel
  • 5051/7736 Transformation digitale
  • 576/7736 Affaire Global Voice
  • 228/7736 Géomatique/Géolocalisation
  • 468/7736 Service universel
  • 996/7736 Sentel/Tigo
  • 263/7736 Vie politique
  • 2271/7736 Distinction/Nomination
  • 51/7736 Handicapés
  • 1032/7736 Enseignement à distance
  • 1084/7736 Contenus numériques
  • 880/7736 Gestion de l’ARTP
  • 267/7736 Radios communautaires
  • 2645/7736 Qualité de service
  • 639/7736 Privatisation/Libéralisation
  • 198/7736 SMSI
  • 689/7736 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 4197/7736 Innovation/Entreprenariat
  • 1984/7736 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 69/7736 Internet des objets
  • 256/7736 Free Sénégal
  • 757/7736 Intelligence artificielle
  • 295/7736 Editorial
  • 33/7736 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous