OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2013 > Août 2013 > Passage de l’analogie au numérique 2015 : Les techniciens de l’audiovisuel (…)

Passage de l’analogie au numérique 2015 : Les techniciens de l’audiovisuel veulent être formés

mercredi 14 août 2013

Télévision/Radio numérique terrestre

Ils estiment être marginalisés. Pour prendre leur destin en main, les techniciens de l’audiovisuel sénégalais sont sortis de l’ombre, hier et réclament des modules de formation.

Les techniciens de la presse audiovisuel du Sénégal s’organisent. Ils n’ont pas attendu que le Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics) ou la Convention des jeunes reporters prennent en compte leurs préoccupations.

C’est à voir même s’ils ont une fois élevé la voix pour leur cause. Aujourd’hui, les choses ont changé et le défi du passage de l’analogie au numérique pour 2015 n’est plus loin. Raison suffisante pour qu’ils délaissent leurs manettes, caméras et autres matériels audiovisuels pour parler de l’avenir de leur métier.

En conférence de presse dans les locaux de la Rts, hier, le technicien, Amadou Nicolas Thiam de la chaîne audiovisuelle publique, s’est dit préoccupé du passage de l’analogie au numérique dont la date butoir est fixée en juin 2015.

Pour lui, c’est un impératif pour les techniciens afin qu’ils soient formés au numérique. Car, dit-il, il est rare de voir un vrai journaliste tenir une caméra ou manipuler du matériel audiovisuel. « Quand les chaînes de télévision basculeront vers le numérique, ce sont les techniciens qui seront présents pour gérer cette transition », affirme le technicien de la Rts, entouré de ses confrères Dame Diop de la Radio municipale de Dakar et de Mame Ass Seck du Groupe futurs médias.

Pour ne pas aller en rangs dispersés, infographistes, monteurs, réalisateurs, preneurs de son, éclairagistes, photographes, décorateurs se sont regroupés au sein du Collectif des techniciens de la presse audiovisuelle du Sénégal (Ctpas). Ils prévoient ainsi de tenir une assemblée générale samedi prochain pour élire les membres du bureau du collectif. Ce sera à la Maison de la culture Douta Seck.

Cette année, au cours de la répartition de l’aide de la presse, un montant de 40 millions francs Cfa a été alloué pour la formation des journalistes. Mais, Amadou Nicolas Thiam trouve que ce montant ne doit pas servir à former seulement les journalistes, ni à remplir les poches des patrons de presse. « Quand tout va bien à la télé, on ne considère pas les techniciens. Mais dès qu’elle tombe en panne, on les indexe », tranche le technicien de la Rts.

Pour lui, il est anormal qu’un journaliste, qui a fait trois ans d’études dans son métier et capitalisé deux ans d’expérience professionnelle, bénéficie des sessions de formations ou de renforcements de capacités. « Qu’est-ce qu’il va apprendre réellement ?

C’est comme nous les techniciens, lorsqu’on nous demande d’aller se faire former sur comment couper ou monter des images ? Ce sont des pratiques que nous faisons tous les jours, cela n’a finalement aucun intérêt pour le travailleur », n’a cessé de répéter Thiam. Il accuse ainsi le Synpics de ne pas jouer son rôle envers les techniciens de l’audiovisuel.

Pour lui, le Synpics assure des modules de formation aux journalistes, mais n’associe pas les techniciens dans ces sessions de formation. « Nous aussi, nous sommes membres du Synpics. Nous ne sommes pas un syndicat à part entière », rappelle Nicolas Thiam.

Il souhaite que le collectif que lui et ses camarades vont officiellement monter samedi prochain vient à bout de leurs difficultés dans l’exercice du métier. Lors de cette assemblée générale, la présence du ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, Cheikh Bamba Dièye, et des journalistes Mame Less Camara, Mamadou Baal et Souleymane Niang est annoncée.

Selon Dame Diop, seule la carte de presse reste valable pour être membre et pour pouvoir briguer un poste au sein du collectif. Déjà de nombreux techniciens des différents médias radios et télévisions du Sénégal sont membres de ce collectif en visitant la page Facebook de la structure.

Baba Mballo

(Source : Wal fadjri, 14 août 2013)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4383/5114 Régulation des télécoms
  • 354/5114 Télécentres/Cybercentres
  • 3277/5114 Economie numérique
  • 1881/5114 Politique nationale
  • 5114/5114 Fintech
  • 521/5114 Noms de domaine
  • 1711/5114 Produits et services
  • 1547/5114 Faits divers/Contentieux
  • 749/5114 Nouveau site web
  • 4625/5114 Infrastructures
  • 1717/5114 TIC pour l’éducation
  • 208/5114 Recherche
  • 247/5114 Projet
  • 3409/5114 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1840/5114 Sonatel/Orange
  • 1616/5114 Licences de télécommunications
  • 276/5114 Sudatel/Expresso
  • 938/5114 Régulation des médias
  • 1286/5114 Applications
  • 1040/5114 Mouvements sociaux
  • 1582/5114 Données personnelles
  • 131/5114 Big Data/Données ouvertes
  • 603/5114 Mouvement consumériste
  • 368/5114 Médias
  • 660/5114 Appels internationaux entrants
  • 1613/5114 Formation
  • 93/5114 Logiciel libre
  • 2000/5114 Politiques africaines
  • 985/5114 Fiscalité
  • 170/5114 Art et culture
  • 579/5114 Genre
  • 1622/5114 Point de vue
  • 1016/5114 Commerce électronique
  • 1456/5114 Manifestation
  • 326/5114 Presse en ligne
  • 125/5114 Piratage
  • 206/5114 Téléservices
  • 925/5114 Biométrie/Identité numérique
  • 305/5114 Environnement/Santé
  • 323/5114 Législation/Réglementation
  • 340/5114 Gouvernance
  • 1731/5114 Portrait/Entretien
  • 146/5114 Radio
  • 774/5114 TIC pour la santé
  • 272/5114 Propriété intellectuelle
  • 58/5114 Langues/Localisation
  • 1047/5114 Médias/Réseaux sociaux
  • 1962/5114 Téléphonie
  • 192/5114 Désengagement de l’Etat
  • 1066/5114 Internet
  • 115/5114 Collectivités locales
  • 387/5114 Dédouanement électronique
  • 1139/5114 Usages et comportements
  • 1065/5114 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 570/5114 Audiovisuel
  • 3112/5114 Transformation digitale
  • 389/5114 Affaire Global Voice
  • 157/5114 Géomatique/Géolocalisation
  • 315/5114 Service universel
  • 666/5114 Sentel/Tigo
  • 175/5114 Vie politique
  • 1557/5114 Distinction/Nomination
  • 35/5114 Handicapés
  • 695/5114 Enseignement à distance
  • 781/5114 Contenus numériques
  • 598/5114 Gestion de l’ARTP
  • 184/5114 Radios communautaires
  • 1722/5114 Qualité de service
  • 440/5114 Privatisation/Libéralisation
  • 135/5114 SMSI
  • 492/5114 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2740/5114 Innovation/Entreprenariat
  • 1341/5114 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 47/5114 Internet des objets
  • 172/5114 Free Sénégal
  • 567/5114 Intelligence artificielle
  • 198/5114 Editorial
  • 25/5114 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous