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Les universités doivent ’’aller de manière plus décidée’’ vers l’utilisation des TIC

dimanche 12 décembre 2010

Enseignement à distance

Le Sommet mondial de l’innovation en éducation (World innovation summit for education-WISE) a conforté le recteur de l’Université de Ziguinchor dans l’idée qu’il faut utiliser de manière beaucoup plus importante les technologies de l’information et de la communication dans les enseignements.

‘’J’ai été conforté dans l’idée avec cette première participation à WISE qu’il faut véritablement de manière décidée aller aujourd’hui vers une plus grande utilisation des technologies dans l’enseignement’’, a dit Omar à Sock à l’APS, en marge de la clôture du WISE, vendredi à Doha (Qatar).

A la clôture du sommet, le conseiller spécial du secrétaire général des Nations Unies, Jeffrey Sachs, a donné l’exemple d’un cours partagé tous les mardis matin entre une vingtaine de campus disséminés dans le monde par le biais des TICS.

Sur les programmes ‘’Open sources’’ (ouverts) avancés par Jeffrey Sachs à la clôture de la rencontre, Omar Sock a estimé que ce sont des choses qu’il faudra développer de plus en plus dans les universités parce qu’elles font face à une demande très forte dont la croissance des effectifs.

’’On ne peut pas toujours recruter autant de professeurs qu’il le faudrait. Donc il faudrait adopter de nouvelles stratégies pédagogiques et parmi ces stratégies, le partage des cours, les cours en ligne, les programmes partagés sont de plus en plus des solutions ’’, a dit le recteur.

Pour M. Sock, ‘’là où sur plusieurs continents des étudiants partagent les mêmes cours avec les mêmes professeurs, ce sont des innovations que le Sénégal envisage de mettre en place entre ses différentes universités mais aussi avec des universités étrangères’’.

Déjà, a-t-il expliqué, ce sont des choses qui sont en train d’être mises en place à l’université de Ziguinchor pour héberger des cours en ligne avec la vidéo conférence en cours d’installation pour permettre à un professeur qui est à Dakar de dispenser un cours à une classe d’étudiants à Ziguinchor.

Il a fait savoir que l’université incite aussi les professeurs à mettre leurs cours en ligne, mais aussi à aller chercher des cours qui sont en ligne dans d’autres institutions avec lesquelles l’université est en partenariat

’’C’est ma première participation à WISE, l’année dernière je n’ai pas eu la possibilité de le faire compte tenu de problèmes d’agenda mais on apprend beaucoup sur l’expérience d’autres institutions dans le domaine de l’éducation notamment dans tout ce qui est innovations pédagogiques’’, a affirmé le recteur de l’université de Ziguinchor.

Réagissant sur l’organisation de la deuxième édition du WISE, il a estimé que certaines zones, surtout les pays au Sud du Sahara étaient de manière très visibles absents,contrairement au Sénégal qui était très présent.

Omar Sock espère que cela va être corrigé parce que les organisateurs ont reconnu que c’est une initiative qui est en train d’être mise en place et ils vont tirer les leçons des deux premières éditions avec plus grande représentation des institutions africaines.

Mais WISE a été ‘’très d’enrichissant’’ puisque il offre une multitude de possibilités de partenariats d’échanges, selon le directeur qui dit revenir du Sommet avec énormément de contacts.

L’université de Ziguinchor est en croissance avec une demande d’étudiants nettement supérieure à l’offre avec cette année 4.000 candidats pour moins de 1.000 places.

C’est pourquoi l’université est confrontée à des difficultés liées au manque d’infrastructures, au déficit d’enseignants. Mais elle fait face puisque l’université créée en 2006-2007 va atteindre des effectifs de 3.500 étudiants.

(Source : APS, 12 décembre 2010)

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