OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2016 > Juillet 2016 > Léger Djiba : “Africa Dotnet Developers Group, une passerelle entre l’école (…)

Léger Djiba : “Africa Dotnet Developers Group, une passerelle entre l’école et l’entreprise”

samedi 16 juillet 2016

Formation

Le samedi 9 juillet 2016, une nouvelle communauté dans l’univers Tech sénégalaise a été lancée. Elle se nomme Africa Dotnet Developers Group. Lancée au Sénégal, comme son nom l’indique, ses objectifs sont africains. Pour mieux connaître cette nouvelle communauté, nous sommes allés à la rencontre de son initiateur, Léger Djiba qui est Software architect, et CTO à Idev –ic.

Pour le président Afrique de HubGateway, monsieur Djiba, l’objectif c’est de non seulement certifier le maximum de personnes aux outils de Microsoft mais aussi d’être une passerelle entre les établissements de formation et les entreprises.

Pouvez-vous nous expliquez c’est quoi Africa Dotnet Developers Group ?

A2DG est une communauté des développeurs africains utilisant la plateforme Dotnet. Ce dernier est un Framework créé par Microsoft pour développer des applications. Aujourd’hui, cette plateforme permet de créer des applications pour n’importe quel système d’exploitation (Linux, Ios, Windows mobile et Desktop). Le lancement a été effectué au Sénégal, cependant, nous signalons qu’elle sera présente dans d’autres pays d’Afrique. Ainsi, le prochaine étape sera la Cote d’Ivoire, le Mali, le Burkina, le Kenya, le Ghana, l’Afrique du Sud, …

Qu’est ce qui vous a inspiré à lancer une telle initiative ?

La création de cette communauté est une suite logique au regard des activités que nous organisons gratuitement avec notre partenaire naturel, Microsoft : la nuit du code, Microsoft Tech Days et Dakar Tech week.

Nous avons fait quelques sondages et nous nous sommes rendu compte que les étudiants n’avaient pas un niveau acceptable lorsqu’ils s’insèrent en entreprise.

En effet, les entreprises aussi dépensent du temps et de l’argent pour former leurs agents sur de nouvelles technologies. Les projets en entreprises deviennent de plus en plus spécifiques, complexes et demandent des profils spécifiques qu’on ne retrouve pas forcement dans les universités et ou écoles de formations privées. A2DG se veut être une passerelle entre l’école et les entreprises. Nous mettons à niveau les membres de notre communauté par la formation, le management des connaissances acquises par des projets réels avec des clients réels et la certification.

Quels sont les principaux objectifs visés par A2DG ?

D’abord, notre principal objectif c’est de dynamiser la communauté (atteindre 1.000 membres d’ici décembre 2016). Ensuite, former ses membres dans l’ensemble des outils que nous comptons utiliser. Puis, ceci, il faudra le noter comme une exception. En fait, nous comptons créer des projets réels qui seront livrés à des clients. Enfin, mettre sur pied un cadre hebdomadaire de Brainstorming. Evidemment, certifier le maximum de membres.

Qui peut intégrer Africa Dotnet Dévelopers Group ?

Toute personne qui veut embrasser les technologies Microsoft quelques soit son niveau (avec ou sans diplôme, avec ou sans connaissances en informatique).

Nous rappelons une chose très importante, dans cette communauté, il faut signaler qu’il n’y a pas que des informaticiens, nous avons des profils dans le marketing, le management et autres. Parce que nous avons des projets en mettre en valeur. Donc, nous avons besoin de tous les profils, de tous ceux qui sont inspirés par l’entreprenariat dans technologies de l’information et de la communication.

Alors, quelles sont les modalités pour intégrer la communauté ?

C’est très simple, il faut s’inscrire avec un montant de 5.000 FCFA et payer une cotisation mensuelle de 2.500 FCFA. Cet argent permettra de financer les différentes activités de la communauté telles que les formations, les séminaires et les certifications, voire la confection de T-shirts et gadgets portant le logo de notre communauté.

(Source : Social Net Link, 16 juillet 2016)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2052/2260 Régulation des télécoms
  • 174/2260 Télécentres/Cybercentres
  • 1534/2260 Economie numérique
  • 791/2260 Politique nationale
  • 2260/2260 Fintech
  • 252/2260 Noms de domaine
  • 812/2260 Produits et services
  • 694/2260 Faits divers/Contentieux
  • 361/2260 Nouveau site web
  • 2192/2260 Infrastructures
  • 819/2260 TIC pour l’éducation
  • 90/2260 Recherche
  • 122/2260 Projet
  • 1405/2260 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 860/2260 Sonatel/Orange
  • 773/2260 Licences de télécommunications
  • 132/2260 Sudatel/Expresso
  • 463/2260 Régulation des médias
  • 601/2260 Applications
  • 496/2260 Mouvements sociaux
  • 757/2260 Données personnelles
  • 63/2260 Big Data/Données ouvertes
  • 296/2260 Mouvement consumériste
  • 180/2260 Médias
  • 323/2260 Appels internationaux entrants
  • 707/2260 Formation
  • 45/2260 Logiciel libre
  • 838/2260 Politiques africaines
  • 407/2260 Fiscalité
  • 85/2260 Art et culture
  • 284/2260 Genre
  • 776/2260 Point de vue
  • 482/2260 Commerce électronique
  • 698/2260 Manifestation
  • 157/2260 Presse en ligne
  • 62/2260 Piratage
  • 103/2260 Téléservices
  • 415/2260 Biométrie/Identité numérique
  • 149/2260 Environnement/Santé
  • 157/2260 Législation/Réglementation
  • 167/2260 Gouvernance
  • 815/2260 Portrait/Entretien
  • 72/2260 Radio
  • 336/2260 TIC pour la santé
  • 144/2260 Propriété intellectuelle
  • 29/2260 Langues/Localisation
  • 500/2260 Médias/Réseaux sociaux
  • 916/2260 Téléphonie
  • 95/2260 Désengagement de l’Etat
  • 485/2260 Internet
  • 58/2260 Collectivités locales
  • 191/2260 Dédouanement électronique
  • 495/2260 Usages et comportements
  • 520/2260 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2260 Audiovisuel
  • 1371/2260 Transformation digitale
  • 191/2260 Affaire Global Voice
  • 75/2260 Géomatique/Géolocalisation
  • 156/2260 Service universel
  • 331/2260 Sentel/Tigo
  • 87/2260 Vie politique
  • 727/2260 Distinction/Nomination
  • 17/2260 Handicapés
  • 336/2260 Enseignement à distance
  • 318/2260 Contenus numériques
  • 292/2260 Gestion de l’ARTP
  • 89/2260 Radios communautaires
  • 799/2260 Qualité de service
  • 213/2260 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2260 SMSI
  • 223/2260 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1269/2260 Innovation/Entreprenariat
  • 651/2260 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2260 Internet des objets
  • 85/2260 Free Sénégal
  • 178/2260 Intelligence artificielle
  • 98/2260 Editorial
  • 8/2260 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous