OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2014 > Novembre > Le marketing mobile peut marcher si et seulement si…

Le marketing mobile peut marcher si et seulement si…

jeudi 13 novembre 2014

Téléphonie

Gemalto, le leader mondial de la sécurité numérique, publie les résultats d’une nouvelle enquête réalisée par l’Ifop en Afrique du Sud et au Nigeria, portant sur les perceptions des consommateurs vis-à-vis du marketing mobil. 80 % des personnes interrogées se sentent contrariées lorsqu’elles reçoivent des messages non sollicités.

Cela ne se passe pas seulement au Sénégal, en Afrique du Sud et au Nigéria aussi les opérateurs de téléphonies envoient des messages à caractères publicitaires à leurs abonnés sans préavis. Une stratégie qui ne passe pas aussi chez les habitants des deus super puissances africaines. En effet, 80 % des personnes interrogées se sentent contrariées lorsqu’elles reçoivent des messages non sollicités. Cependant, l’enquête réalisée par l’Ifop (Institut français d’opinion publique) en faveur de Gemalto, le leader mondial de la sécurité numérique, révèle que 80% de ce même lot pourrait être reconquise par les opérateurs et les marques si ces derniers mettaient en œuvre les meilleures pratiques pour améliorer l’engagement des clients. Il faut à cet effet que ce marketing mobile se perfectionne et suive la règle d’or qui est : « adresser à une personne concernée un message pertinent au moment propice »

L’enquête met clairement en évidence que les consommateurs en Afrique du Sud et au Nigeria partagent le même souhait, à savoir : garder le contrôle des campagnes de marketing mobil qu’ils reçoivent. 83 % des personnes interrogées considèrent que le marketing mobil devrait être basé sur une autorisation préalable et 90 % veulent pouvoir identifier facilement l’expéditeur du message. Elles souhaitent également que les messages soient pertinents pour elles. Ce point peut être facilement amélioré dans la mesure où près de 70 % des personnes interrogées déclarent recevoir des messages promotionnels ne correspondant pas du tout à leurs centres d’intérêt. Les consommateurs recherchent également des avantages concrets : 53 % des Sud-Africains attendent, par ordre de préférence, des remises immédiates, des points fidélité ainsi que la possibilité de gagner des cadeaux.

En conclusion, l’enquête indique qu’il existe un fort potentiel pour le marketing mobile en Afrique, à condition que les opérateurs et les spécialistes du marketing respectent la règle d’or : adresser à une personne concernée un message pertinent et au moment le plus propice. Si l’utilisateur a la possibilité d’accepter ou de refuser et de choisir la fréquence de réception, et si les messages sont pertinents et offrent de la valeur, alors 80 % des personnes interrogées dans les deux pays sont prêts à devenir de véritables « amoureux des annonces sur mobile ».

Sur le marché sud-africain, les utilisateurs de mobiles peuvent être reconquis en adoptant des pratiques qui respectent davantage leurs souhaits. Quant au Nigeria, où le marketing mobile est à peine en train d’éclore, la règle d’or peut être mise en œuvre dès le départ.

« Dans un continent où le téléphone mobile est l’écran le plus largement répandu, le marketing mobile offre un potentiel énorme aux opérateurs et aux marques pour mieux communiquer auprès de leurs publics et créer une relation privilégiée », affirme Nadia Gonzalez, vice-président Marketing Mobile chez Gemalto. « Les opérateurs de téléphonie mobile possèdent des atouts essentiels pour améliorer l’expérience des utilisateurs. Leur capacité à segmenter les campagnes en fonction du profil des utilisateurs, de leur localisation et de leurs centres d’intérêts, leur fournira tous les moyens pour aider les marques à appliquer cette règle d’or, qui commence par le respect de la vie privée », conclut-elle avec APO.

Amayi Badji

(Source : Réussir Business, 13 novembre 2014)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2153/2611 Régulation des télécoms
  • 175/2611 Télécentres/Cybercentres
  • 1661/2611 Economie numérique
  • 1001/2611 Politique nationale
  • 2611/2611 Fintech
  • 282/2611 Noms de domaine
  • 841/2611 Produits et services
  • 783/2611 Faits divers/Contentieux
  • 368/2611 Nouveau site web
  • 2366/2611 Infrastructures
  • 840/2611 TIC pour l’éducation
  • 117/2611 Recherche
  • 127/2611 Projet
  • 1556/2611 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 887/2611 Sonatel/Orange
  • 793/2611 Licences de télécommunications
  • 133/2611 Sudatel/Expresso
  • 472/2611 Régulation des médias
  • 680/2611 Applications
  • 517/2611 Mouvements sociaux
  • 788/2611 Données personnelles
  • 66/2611 Big Data/Données ouvertes
  • 299/2611 Mouvement consumériste
  • 181/2611 Médias
  • 323/2611 Appels internationaux entrants
  • 839/2611 Formation
  • 46/2611 Logiciel libre
  • 944/2611 Politiques africaines
  • 577/2611 Fiscalité
  • 83/2611 Art et culture
  • 287/2611 Genre
  • 905/2611 Point de vue
  • 554/2611 Commerce électronique
  • 743/2611 Manifestation
  • 162/2611 Presse en ligne
  • 63/2611 Piratage
  • 102/2611 Téléservices
  • 496/2611 Biométrie/Identité numérique
  • 153/2611 Environnement/Santé
  • 170/2611 Législation/Réglementation
  • 169/2611 Gouvernance
  • 882/2611 Portrait/Entretien
  • 73/2611 Radio
  • 396/2611 TIC pour la santé
  • 135/2611 Propriété intellectuelle
  • 29/2611 Langues/Localisation
  • 519/2611 Médias/Réseaux sociaux
  • 997/2611 Téléphonie
  • 96/2611 Désengagement de l’Etat
  • 509/2611 Internet
  • 57/2611 Collectivités locales
  • 196/2611 Dédouanement électronique
  • 665/2611 Usages et comportements
  • 516/2611 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 276/2611 Audiovisuel
  • 1544/2611 Transformation digitale
  • 192/2611 Affaire Global Voice
  • 80/2611 Géomatique/Géolocalisation
  • 157/2611 Service universel
  • 333/2611 Sentel/Tigo
  • 89/2611 Vie politique
  • 758/2611 Distinction/Nomination
  • 17/2611 Handicapés
  • 345/2611 Enseignement à distance
  • 339/2611 Contenus numériques
  • 299/2611 Gestion de l’ARTP
  • 94/2611 Radios communautaires
  • 840/2611 Qualité de service
  • 216/2611 Privatisation/Libéralisation
  • 67/2611 SMSI
  • 228/2611 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1331/2611 Innovation/Entreprenariat
  • 667/2611 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2611 Internet des objets
  • 85/2611 Free Sénégal
  • 368/2611 Intelligence artificielle
  • 98/2611 Editorial
  • 16/2611 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous