OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2022 > Septembre 2022 > La Smart Africa Digital Academy (SADA) inaugure son académie numérique (…)

La Smart Africa Digital Academy (SADA) inaugure son académie numérique nationale en Côte d’Ivoire

vendredi 16 septembre 2022

Formation

La Smart Africa Digital Academy (SADA), la branche de Smart Africa chargée du renforcement des capacités, continue d’étendre son empreinte en Afrique, la Côte d’Ivoire étant le dernier pays à bénéficier de l’initiative de développement des compétences numériques. Lancée en partenariat avec le ministère de la Communication et de l’Economie Numérique, l’initiative contribuera à développer le secteur numérique naissant du pays en fournissant des compétences numériques.

À l’occasion de ce lancement, M. Lacina Koné, Directeur Général de Smart Africa, a salué la volonté politique des gouvernements africains de transformer le paysage numérique du continent et a souligné le soutien de Smart Africa.

« Les nations reconnaissent de plus en plus le rôle des technologies numériques dans la transformation de la situation socio-économique et la détermination à les adopter est palpable. Grâce à des initiatives comme SADA, l’Alliance Smart Africa s’engage à soutenir les efforts nationaux visant à combler le déficit de compétences numériques. Nous sommes heureux de donner vie à SADA en Côte d’Ivoire, un pays important de l’alliance », a-t-il expliqué.

Représentant le gouvernement allemand, l’un des principaux donateurs de l’initiative SADA, M. Marton Köver, chargé d’affaires à l’ambassade d’Allemagne en Côte d’Ivoire, a souligné qu’« un cadre juridique juste et équitable est essentiel pour que le plus grand nombre possible d’Africains bénéficient de la transformation numérique » - une étape que la Côte d’Ivoire a désormais franchie avec SADA.

En plus de SADA, le programme de réglementation agile pour la transformation numérique (AReg4DT) a également été lancé en collaboration avec la Banque mondiale et la GIZ.

SADA vise à améliorer les qualifications en matière de compétences numériques, l’employabilité et à répondre aux besoins en talents des citoyens africains

La directrice des opérations de la Banque mondiale pour la Côte d’Ivoire, le Bénin, la Guinée et le Togo, Mme Coralie Gevers, a également déclaré que « le renforcement des capacités et l’échange de connaissances entre les pays africains sont essentiels pour soutenir la mise en œuvre de la Stratégie de transformation numérique de l’Afrique 2020-2030 et la Côte d’Ivoire a un rôle important à jouer en partageant les connaissances entre pairs et en montrant les avantages de l’application des principes de régulation agile pour des marchés numériques dynamiques, inclusifs, durables et sûrs, comme le démontre l’adoption récente de sa Stratégie nationale de développement numérique 2025. »

Le lancement de SADA en Côte d’Ivoire annonce la mise en œuvre de divers programmes de renforcement des capacités en matière de cybersécurité, de formations avancées telles que le Big Data et l’IoT, de formation des enseignants, de formation des cadres, de formations avancées en TIC, entre autres. En outre, la Côte d’Ivoire est prête à accueillir le premier centre d’innovation en cybersécurité pour les jeunes. Actuellement, la Côte d’Ivoire est à la tête du programme phare de Smart Africa en matière de cybersécurité.

À cet égard, un protocole d’accord a été signé entre l’Alliance Smart Africa et le ministère de la Communication et de l’Economie Numérique de Côte d’Ivoire, dont l’un des éléments est la fourniture, par SADA, d’interventions spécifiques de renforcement des capacités liées aux priorités du pays dans le secteur des TIC.

S’exprimant sur le lancement de SADA, le Ministre ivoirien de la Communication et de l’Economie Numérique, M. Amadou Coulibaly, a déclaré que “SADA-Côte d’Ivoire va être un des véhicules clés de l’opérationnalisation des projets à caractère « sensibilisation et formation » du 4ème pilier de la Stratégie Nationale du Numérique à l’horizon 2025 qui a pour objectif spécifique de développer et promouvoir les compétences numériques”.

En tant qu’écosystème d’apprentissage dynamique panafricain, SADA vise à améliorer les qualifications en matière de compétences numériques, l’employabilité et à répondre aux besoins en talents des citoyens africains. L’académie numérique nationale soutiendra les besoins prioritaires en compétences numériques identifiés de manière unique au niveau national. En outre, de telles académies numériques nationales seront bientôt déployées en Côte d’Ivoire, au Burkina Faso, en Tunisie, au Kenya et en République Démocratique du Congo, à Djibouti et en Sierra Leone.

SADA lance également deux nouveaux programmes visant à former les jeunes, les entrepreneurs et les citoyens africains en général, afin d’accroître leurs compétences en technologie numérique, de réduire le chômage et d’augmenter les capacités d’entrepreneuriat numérique des jeunes en Afrique. Le programme SADA d’alphabétisation numérique quant à lui, permettra à tous les citoyens africains de se familiariser avec le numérique.

Depuis le début de ses activités en août 2020, en se concentrant sur Renforcement des capacités des décideurs (CBDM) et les modules de l’Académie numérique nationale, SADA a formé environ 3 000 décideurs et responsables politiques à travers 26 pays sur des sujets liés à la transformation numérique et aux technologies émergentes en vogue, notamment les cas d’utilisation de l’intelligence artificielle, l’économie numérique, la connectivité 5G, la protection des données et la confidentialité, les politiques de haut débit en milieu rural, les technologies de sécurité, les environnements de sandboxing réglementaires et innovants, les centres de données et le cloud, l’identité numérique pour les personnes mal desservies, le paiement électronique, etc. L’objectif est d’atteindre plus de 22 000 bénéficiaires formés d’ici 2023, grâce à la mise en œuvre de SADA dans les pays partenaires.

(Source : SADA, 16 septembre 2022)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2052/2266 Régulation des télécoms
  • 174/2266 Télécentres/Cybercentres
  • 1533/2266 Economie numérique
  • 792/2266 Politique nationale
  • 2266/2266 Fintech
  • 252/2266 Noms de domaine
  • 812/2266 Produits et services
  • 695/2266 Faits divers/Contentieux
  • 361/2266 Nouveau site web
  • 2199/2266 Infrastructures
  • 825/2266 TIC pour l’éducation
  • 90/2266 Recherche
  • 122/2266 Projet
  • 1412/2266 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 861/2266 Sonatel/Orange
  • 773/2266 Licences de télécommunications
  • 132/2266 Sudatel/Expresso
  • 463/2266 Régulation des médias
  • 601/2266 Applications
  • 496/2266 Mouvements sociaux
  • 758/2266 Données personnelles
  • 63/2266 Big Data/Données ouvertes
  • 296/2266 Mouvement consumériste
  • 180/2266 Médias
  • 322/2266 Appels internationaux entrants
  • 708/2266 Formation
  • 45/2266 Logiciel libre
  • 838/2266 Politiques africaines
  • 408/2266 Fiscalité
  • 83/2266 Art et culture
  • 284/2266 Genre
  • 785/2266 Point de vue
  • 481/2266 Commerce électronique
  • 698/2266 Manifestation
  • 157/2266 Presse en ligne
  • 62/2266 Piratage
  • 103/2266 Téléservices
  • 416/2266 Biométrie/Identité numérique
  • 149/2266 Environnement/Santé
  • 157/2266 Législation/Réglementation
  • 167/2266 Gouvernance
  • 815/2266 Portrait/Entretien
  • 72/2266 Radio
  • 336/2266 TIC pour la santé
  • 145/2266 Propriété intellectuelle
  • 29/2266 Langues/Localisation
  • 500/2266 Médias/Réseaux sociaux
  • 915/2266 Téléphonie
  • 95/2266 Désengagement de l’Etat
  • 485/2266 Internet
  • 59/2266 Collectivités locales
  • 190/2266 Dédouanement électronique
  • 495/2266 Usages et comportements
  • 522/2266 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2266 Audiovisuel
  • 1375/2266 Transformation digitale
  • 191/2266 Affaire Global Voice
  • 75/2266 Géomatique/Géolocalisation
  • 157/2266 Service universel
  • 332/2266 Sentel/Tigo
  • 89/2266 Vie politique
  • 726/2266 Distinction/Nomination
  • 17/2266 Handicapés
  • 336/2266 Enseignement à distance
  • 318/2266 Contenus numériques
  • 292/2266 Gestion de l’ARTP
  • 89/2266 Radios communautaires
  • 799/2266 Qualité de service
  • 213/2266 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2266 SMSI
  • 223/2266 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1268/2266 Innovation/Entreprenariat
  • 651/2266 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2266 Internet des objets
  • 85/2266 Free Sénégal
  • 178/2266 Intelligence artificielle
  • 98/2266 Editorial
  • 8/2266 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous