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Jérôme Hénique : « il y a une logique de taxation qui est devenue très difficile à supporter »

mardi 21 novembre 2023

Portrait/Entretien

Entre nouveaux investissements et obstacles qui freinent la pleine expression de la capacité opérationnelle de la société télécoms en Afrique, le directeur général d’Orange Middle East and Africa (MEA) met en lumière les plans stratégiques destinés à lui garantir le titre d’entreprise multiservices à impact social.

Lors du MWC (Mobile World Congress) Africa de Kigali, Orange a milité pour l’inclusion numérique, financière et énergétique. Sur son marché africain, pourquoi cet intérêt important pour l’inclusion ?

En fait, nous considérons qu’au-delà de notre rôle d’opérateur télécom, qui est de fournir de la connectivité partout et tout le temps, l’un des axes différenciant de notre plan stratégique, qui s’appelle « Lead the Future », est de s’engager volontairement sur toutes les dimensions de l’inclusion pour renforcer notre positionnement d’opérateur à impact sur le continent.

Dans ces dimensions, nous avons l’inclusion numérique. C’est la connectivité, mais c’est aussi, au travers de ce que nous faisons avec les Orange Digital Centers (ODC), l’inclusion des jeunes et en particulier des femmes qui peuvent être exclues des savoirs numériques. Il y a l’accompagnement des start-up, toujours dans ce dispositif des Orange Digital Centers, depuis leur incubation jusqu’à leur accélération et leur financement. Sur la dimension inclusion numérique, nous avons quelques étapes importantes, puisque nous venons de franchir le million de bénéficiaires, dont 40% de femmes, sur les formations au digital dans les Orange Digital Centers, qui représentent un élément important. Nous considérons que notre rôle est d’aller au-delà de celui d’un acteur économique en contribuant directement à cet aspect de réduction de la fracture numérique dans les pays où on opère.

Au-delà de ça, l’inclusion c’est aussi l’inclusion financière. C’est un autre élément que permettent finalement les services d’Orange, avec tout ce qu’on appelle les services financiers mobiles, au premier rang desquels il y a Orange Money. Le fait d’offrir l’équivalent d’un compte bancaire sur son mobile pour les clients est un mode de réduction de la fracture financière ou en tout cas de la non-bancarisation dans une grande partie des pays d’Afrique subsaharienne. Vous savez qu’en Afrique subsaharienne, moins de 30 % des habitants ont accès à un compte bancaire. L’accès à un portefeuille mobile permet le dépôt et le retrait d’argent, le transfert, mais aussi de plus en plus le paiement, et puis d’accéder à des services financiers évolués, en particulier en matière d’épargne et de crédit. C’est ce qu’on a lancé soit avec nos propres services en Côte d’Ivoire avec Orange Bank Africa — et là aussi nous avons franchi le million de clients bénéficiaires d’un prêt avec Orange Bank Africa sur leur compte Orange Money — ou avec des partenaires. C’est ce que nous faisons avec des partenaires de microfinance, notamment au Botswana ou au Sénégal par exemple.

Inclusion énergétique, c’est le troisième élément sur lequel on souhaite s’engager parce qu’on pense qu’on est légitime, qu’on a quelques actifs qui sont importants et qui ont joué leur rôle déjà dans l’inclusion digitale et l’inclusion financière, en particulier la confiance de nos clients pour leur offrir des services de qualité, être capable d’en assurer la distribution, la maintenance et le paiement. Finalement, une fois que la connectivité et le paiement sont là, avec les services de connexion à Internet par Orange et avec le Mobile Money, tous les autres services sont possibles parce qu’ils vont s’appuyer sur les deux premiers. Sur Orange Energie, nous distribuons des kits solaires pour les foyers ou nous permettons aussi l’accès à des mini-réseaux ou des micro-réseaux avec des partenaires qui vont se connecter à une plateforme qui permet de gérer ces kits, qu’on appelle Orange Smart Energy. Elle permet aux clients finaux de les payer via Orange Money et de ne pas subir le coût en amont du kit, mais de le payer par un règlement progressif et d’en être propriétaire à la fin. Ça aussi c’est un élément essentiel parce que sans électricité, il n’y a pas de connectivité et il n’y a pas de possibilité de recharger son mobile non plus et il n’y a pas de paiement. Donc ces trois éléments se nourrissent mutuellement, inclusion digitale, inclusion financière et inclusion énergétique. Ces trois leviers que nous cherchons à pousser, avec les Orange Digital Centers comme point de convergence de ces différentes dimensions, sont au cœur de notre dispositif d’opérateur engagé en matière de responsabilité sociale d’entreprise (RSE). C’est une stratégie d’opérateur multiservice avec un rôle spécifique sur l’inclusion sociétale au sens large au travers de ces trois dimensions.

Quels sont les dernières actualités du groupe dans chacun de ces trois domaines en Afrique ?

Nous avons profité du Mobile World Congress ici à Kigali pour signer un partenariat avec Smart Africa, dont nous étions déjà un partenaire premium, mais plus spécifiquement sur les Orange Digital Centers. Notre stratégie sur les ODC c’est d’amener les meilleurs partenaires qui vont fournir les meilleurs contenus de formation, à la fois à nos bénéficiaires et puis à nos formateurs. Et Smart Africa dispose d’un dispositif de formation en ligne qui s’appelle SADA et qui va permettre de compléter les formations que nous avions déjà, qui sont soit des formations internes d’Orange soit des formations de partenaires, comme Amazon par exemple, qui nous permettent d’avoir des certifications diplômantes pour nos bénéficiaires. Donc c’est important parce que ça nous permettra d’aller au-delà des seize ODC déjà déployées et des ODC que nous déployons aussi en région qu’on appelle les ODC Club qui nous permettent d’aller plus loin dans le sens de cette inclusion numérique que nous mentionnions tout à l’heure.

Pour le service financier mobile Orange Bank Africa vient de recevoir un avis favorable pour la création d’une succursale au Sénégal que nous avons d’abord lancée en Côte d’Ivoire en juillet 2020. Initialement c’est une banque que nous avions lancée. Une banque qui fait donc des micros et des pico-crédits pour les clients Orange Money. Et pour pouvoir la porter en zone UEMOA (Union économique et monétaire ouest-africaine), il faut l’accord de la BCEAO (Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest). Mais nous n’avons pas besoin de lancer les filiales d’Orange Bank Africa pour pouvoir offrir des prêts ou du crédit à nos clients Orange Money. Nous pouvons aussi le faire en partenariat avec les banques de la place. C’est ce qu’on a fait avec Baobab dans un certain nombre de pays ou avec d’autres. Mais c’est important de montrer que le modèle d’Orange Bank Africa, qui est vraiment dédié aux clients résidentiels et petits professionnels bas de marché, a un modèle économique viable. Et c’est ce que reconnaît la Banque centrale en approuvant notre demande de succursale pour le Sénégal.

Pour l’énergie, nous évoluons plutôt bien sur notre modèle pour les kits solaires. Dans un premier temps, nous achetions des kits pour les distribuer et les revendre. Maintenant, nous sommes devenus une plateforme agnostique de fournisseurs de kits solaires parce que nous pensons que c’est ainsi que nous atteindrons le plus large nombre de bénéficiaires de cette source d’énergie fiable et verte qu’est le solaire. C’est en ouvrant notre plateforme, non seulement aux offres d’Orange, mais aussi à tous les partenaires qui souhaitent utiliser la plateforme pour bénéficier de la gestion intelligente des kits ou de compteurs connectés et de la solution de paiement Orange Money qui est derrière. Nous allons beaucoup plus vers un modèle de plateforme agnostique de kits distribués plutôt que vers un modèle où nous contrôlons l’ensemble de la chaîne jusqu’à la distribution du kit solaire. C’est ce positionnement qui doit aussi permettre d’attirer des bailleurs de fonds parce que nous ne sommes pas les seuls à faire l’analyse que l’accès à une source fiable reste un challenge en Afrique subsaharienne, et beaucoup de bailleurs de fonds ou d’institutions internationales s’y intéressent et ça nous permet finalement d’avoir un positionnement plus ouvert et d’accueillir aussi des projets qui seraient portés par ces institutions.

En matière d’inclusion numérique, la couverture réseau et la qualité de service sont aujourd’hui une préoccupation forte des régulateurs télécoms. Quels sont les projets d’Orange dans ces deux volets essentiels sur le continent, aussi bien en zones urbaines que rurales ?

Je pense que la couverture réseau et la qualité de service de nos réseaux restent la pierre angulaire de nos investissements. On investit cette année plus d’un milliard d’euros dans nos réseaux et nos plateformes de services pour continuer à en améliorer la qualité. La qualité, ça veut dire être capable de faire évoluer nos réseaux d’une part avec la croissance du trafic qui est extrêmement forte, un peu plus de 40 % par an. Donc en matière de densification pour pouvoir écouler ce trafic, mais aussi pour préparer nos réseaux aux nouvelles technologies puisqu’après la 4G, la 5G arrive en Afrique. On l’a lancée en novembre 2022 au Botswana et elle va être lancée probablement dans une demi-douzaine de pays d’ici la fin de cette année et le milieu de l’année prochaine. Moderniser nos réseaux pour les préparer à la 5G et continuer à étendre la couverture. Même si elle est déjà de plus de 90 % sur la 3G, elle reste encore à compléter sur la 4G dans les zones les plus rurales notamment. Nous continuons donc à déployer nos réseaux en matière de couverture également.

Au-delà de ça, le numérique est un levier dans l’ensemble des secteurs d’activité. Donc ce que nous avons à cœur c’est de nous associer avec notamment des start-up pour développer les différents pans d’activité qui peuvent bénéficier aux Etats et aux populations, par exemple dans le domaine de l’e-commerce, de l’énergie.

Nous avons montré ce matin (17 octobre 2023) une solution d’un partenaire qui s’appelle Koolboks qui fournit des réfrigérateurs et des congélateurs connectés dont on peut payer l’acquisition par Orange Money. Même chose dans le secteur de la santé où la prise de rendez-vous mais aussi la téléconsultation sont des domaines importants. Nous essayons de soutenir des start-up comme Dabadoc par exemple. Dans l’agriculture, même chose avec des solutions comme M-Agri que nous avons pu déployer dans différents pays, et je pense notamment à ce qu’on fait au Botswana en particulier. Donc nous avons à cœur d’apporter nos solutions dans un écosystème ouvert, de partenariats ouverts avec des start-up qui vont elles-mêmes en faire bénéficier les différents secteurs d’activité qui ont besoin du digital pour accélérer le développement dans les pays.

Vous évoquiez plus tôt le lancement de la 5G parmi les investissements immédiats que vous envisagez. Quels sont les marchés phares où Orange compte lancer la technologie en primeur pour ses consommateurs ?

Oui alors on souhaite déployer la 5G sur tous nos marchés à condition d’avoir accès au spectre correspondant et aux licences dans des bonnes conditions économiques. Les discussions continuent avec les gouvernements et les régulateurs dans chacun des pays où nous opérons. A date, en dehors du Botswana, on a acquis une licence et du spectre 5G en Jordanie. Ce n’est pas en Afrique, c’est au Proche-Orient. Nous y avons déjà lancé une partie de nos sites, environ 200 sites en pré-lancement commercial et le lancement lui-même se fera à la fin du deuxième semestre 2023. C’est le cas également au Sénégal, où nous avons acquis à la fois la licence et du spectre. Au Sénégal, je ne vais pas divulguer le lancement commercial, mais vous pouvez noter que ce sera dans les mois qui viennent. Nous sommes toujours en discussion en Côte d’Ivoire pour l’acquisition de la licence et du spectre avec le régulateur. Dans tous les cas, on se prépare à un pré-lancement commercial pendant la Coupe d’Afrique des nations (CAN) sur les stades qui accueilleront la compétition. On a bon espoir de pouvoir faire après cela un lancement commercial assez rapide. Après ces principaux pays sur lesquels on est déjà en situation très avancée, viendront la Tunisie, le Maroc et puis progressivement l’ensemble des autres pays.

Toujours sur le domaine de la connectivité Internet qui est la pierre angulaire de la transformation numérique, comment est-ce qu’Orange apprécie justement l’arrivée agressive d’acteurs satellites comme Starlink ou encore Amazon sur le marché avec leurs satellites géostationnaires ?

Nous pensons qu’il y a une complémentarité dans notre stratégie Fixed Broadband et les différents types de solutions. Vous savez que nous déployons de la fibre vers les clients résidentiels ou entreprises, ce qu’on appelle le Fibre to the Home, Fibre to the Business, depuis déjà 2015 avec plus d’un million de clients Fibre et plus de trois millions de clients Fixed Broadband. En complément des technologies fibre, nous offrons des technologies radio, ce qu’on appelle le Fixed Wireless Access, du Fixe par la technologie 4G et demain par la technologie 5G. Nous pensons que la 5G en Afrique a un fort potentiel sur le Fixed Broadband, sur la connexion à domicile et des entreprises également. Enfin, nous pensons que le satellite pourra offrir une complémentarité sur un troisième type de zone, probablement plus rurale ou plus difficile à couvrir, aussi bien avec la fibre qu’avec le Fixed Wireless Access 4G ou 5G. Nous discutons avec les principaux opérateurs de constellations satellitaires en orbite basse ou géostationnaire pour regarder avec eux quelles seraient les possibilités pour Orange d’avoir dans chaque pays, dans son catalogue, une offre satellitaire de type Fixed Broadband qui permettra de compléter notre portefeuille d’offres. Et donc finalement, en fonction de la topologie géographique, ville, une zone rurale ou ultra-rurale, nous aurons différents types de technologies qui viendront se compléter les unes les autres. Nous ne percevons pas le satellite comme un acteur concurrent frontal sur les offres de connectivité qu’on propose déjà, mais plutôt comme des partenaires avec lesquels nous pourrons référencer des offres qui seront vendues par Orange pour des zones qui ne sont pas aujourd’hui couvertes en 4G, en 5G ou en fibre.

Vous avez parlé tout à l’heure de spectres de fréquences quand nous évoquions la 5G. Justement, pour un déploiement efficace sur l’ensemble de ses marchés, quels sont les besoins spécifiques qu’Orange adresse aux gouvernements, au régulateurs télécoms pour gagner non seulement en flexibilité opérationnelle, mais garantir également une offre de services de qualité abordable.

Le point principal est de faire comprendre aux gouvernements — et nous sommes à nouveau face à un pic d’investissement pour les opérateurs avec un retour sur investissement qui est de plus en plus faible au fur et à mesure qu’on adresse des populations moins couvertes et qu’on n’a pas fini d’amortir le déploiement des technologies précédentes — qu’on ne va pas créer une valeur sur la 5G pour l’opérateur qui est supérieure à celle qu’il a aujourd’hui. Il y a des cas d’usage spécifiques qu’on offre déjà en 4G comme le Fixed wireless access ou des offres spécifiques pour certaines industries, pour les usines ou pour les ports sur des offres B2B. La création de valeur pour l’opérateur est très limitée. En revanche, les investissements vont être très élevés parce que ce sont de nouveaux réseaux qu’il va falloir déployer en parallèle du complément de couverture 4G dont nous parlions tout à l’heure et en parallèle de la fibre. Donc nous sommes face à un mur d’investissement et c’est pour ça qu’il est important qu’on puisse dégager des résultats qui nous permettent de soutenir ces investissements, et face à ça qu’on ait accès à du spectre ou à des licences qui soient à défaut d’être gratuites, soient en tout cas le moins cher possible.

Tout ce que l’on met dans de l’acquisition de licences on ne peut pas le mettre dans le déploiement du réseau. Nous évitons d’avoir à faire face à ce type de dilemme. Il est important que les gouvernements comprennent qu’il nous faut les prix les moins élevés possibles. Il y a aussi une logique de taxation qui est devenue très difficile à supporter dans certains de nos marchés et qui doit aussi être raisonnée pour que les opérateurs puissent continuer cet effort d’investissement à long terme et qui contribue au développement économique des Etats.

Au-delà des coûts, quelle est la disponibilité des fréquences dont vous avez besoin pour offrir le haut débit aux populations ?

Dans la majorité des cas, elles sont libres ou libérables avec un plan de libération par d’autres acteurs qui les occupent. Parfois ces fréquences nous ont même déjà été allouées pour faire du Fixe wireless Access 4G, TDD (time-division duplex). Dans ces cas-là nous sommes en dialogue avec les gouvernements pour les restituer à condition de faire migrer les clients que nous avons déjà sur ces fréquences-là vers d’autres bandes de fréquences. C’est le cas par exemple en Côte d’Ivoire ou au Maroc. Les opérateurs sont généralement très ouverts à cela parce que cela leur permet d’avoir un nouveau plan de fréquence qui permettra de faire de la place pour la 5G. Dans la majorité des cas, nous avons moins de sujets de libération des bandes de fréquences pour la 5G que ceux en rapport avec les conditions commerciales et de prix auxquels les opérateurs vont pouvoir y accéder. Il y a eu une période, notamment sur les licences 4G, où les opérateurs ont pu payer très cher, parfois trop cher, par rapport au retour sur investissement que nous avons aujourd’hui. Mais au regard d’une création de valeur qui était plus forte quand nous comparons la 4G par rapport à la 3G, que la 5G par rapport à la 4G. Il faudrait vraiment qu’il y ait un dialogue sain avec les régulateurs qui se font conseiller aussi par des agences spécialisées qui peuvent les aider à fixer les justes prix. Le risque dans une logique de prix trop élevé c’est que les opérateurs diront simplement non et n’iront pas acquérir ces fréquences 5G. Ce qui retardera d’autant les lancements 5G dans les pays. Il y a vraiment un cercle vertueux qu’il faut installer dans le dialogue entre les gouvernements, les régulateurs, les opérateurs, face au mur d’investissement qui se dresse devant nous tous.

(Source We Are Tech Africa, 21 novembre 2023)

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