OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Septembre 2020 > Huawei compte investir 100 milliards $ d’ici 2030 pour développer la (…)

Huawei compte investir 100 milliards $ d’ici 2030 pour développer la connectivité en Afrique

vendredi 4 septembre 2020

Economie numérique

Le Groupe Huawei aspire à développer une connectivité au niveau de tout le continent africain et garantir un accès internet universel, abordable, et de bonne qualité, ce qui nécessitera un investissement de 100 milliards de dollars d’ici 2030, a indiqué jeudi Chakib Achour, directeur marketing stratégique chez Huawei Maroc-Afrique du Nord. « 80% de la population africaine possède une couverture sans fil, ainsi qu’un accès aux réseaux mobiles 3G et 4G qui continuent toujours à se développer », a-t-il fait observer lors d’un webinaire tenu sous le thème « Le leapfrog digital, l’Afrique met le cap sur la 4ème révolution », soulignant que la révolution de l’Afrique de demain dépend de sa transformation numérique. « Dans un état d’esprit collaboratif avec des institutions régionales voire nationales, le Groupe Huawei se déploie pour rebondir la croissance de l’économie numérique en Afrique. Néanmoins, il est nécessaire de mettre en place une politique nationale volontariste et une régulation juridique souple pour permettre l’émergence desinitiatives innovantes, mais aussi un cadre rigoureux afin de protéger les usagers et de vérifier la qualité des services proposés », a précisé M. Achour. Il a également révélé que l’industrie 4.0 est un concept qu’il faut adapter au contexte, aux besoins et aux spécificités de l’économie africaine, du moment qu’elle se base sur la combinaison entre différentes technologies, à savoir l’IOT (Internet des objets), le cloud, le Big Data et l’intelligence artificielle, permettant de contribuer à une transformation digitale pour créer de la valeur et accroître l’économie digitale en Afrique, ajoutant que la technologie de la 5G vient pour répondre à des besoins spécifiques et des cas d’usages précis et non pas pour remplacer la 4G qui doit continuer à se développer . De son côté, le président du Conseil de régulation de l’Autorité malienne de régulation des télécommunications, des technologies de l’information et de la communication et des postes(AMRTP), Cheick Sidi Mohamed Nimaga, a mis l’accent sur l’importance de diriger les efforts vers le renforcement des infrastructures ITC (Technologies de l’information et de la communication), notant que c’est une contrainte de premier degré face au développement numérique en Afrique. « Faire du continent africain un paysage numérisé nécessite l’instauration de projets majeurs qui doivent s’inscrire dans une vision long-termiste, mobilisant tous les acteurs publics et privés », a-t-il estimé. Quant au directeur des radiocommunications à l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) au Sénégal, Bara Mbaye, il a présenté la stratégie « Sénégal numérique 2025 » qui incarne l’ambition du Sénégal de maintenir une position de pays leader innovant, et dont l’objectif principal est de porter la contribution du numérique au PIB de 6% à 10% à l’horizon de 2025. « L’accès à la connectivité au haut et très haut débit constitue pour le Sénégal une opportunité pour améliorer la croissance et faire de notre pays un hub incontournable de services. La priorité étant la couverture nationale en fibre optique et la mise en place d’infrastructures adaptées pour garantir l’accès en tout point du territoire aux offres de services de télécommunications de qualité, sécurisés et à des prix compétitifs », a-t-il fait savoir. Pour Aruna Handum, directeur des nouvelles technologies de l’Agence gouvernementale au CapVert, les infrastructures sont au centre de tout développement digital d’un pays. « Les infrastructures sont considérées comme un moyen accélérateur et activateur de la chaîne de production digitale. L’Etat doit engager plus d’investissements dans ce sens, et adopter des politiques d’intégration régionale, nationale et même globale », a-t-il martelé, mettant l’accent sur l’importance de la formation permanente et du renforcement des capacités et des connaissances afin d’assurer plus de souveraineté et d’indépendance industrielle, en se positionnant comme « hub de connaissances ». Organisé par le groupe « Huawei » et « Digital Africa Expo », le webinaire s’est penché sur l’évolution de la transformation numérique en Afrique et la promotion de la digitalisation de l’industrie (Industrie 4.0) et les éventuelles opportunités qui se présentent pour l’Afrique pour assurer son saut développemental et entrer pleinement dans la 4ème révolution.

Le flux des IDE en repli de 21,5% à fin juillet

Le flux net des Investissements directs étrangers (IDE) au Maroc a atteint 9,02 milliards de dirhams (MMDH) à fin juillet 2020, en repli de 21,5% par rapport à la même période un an auparavant, selon l’Office des changes. Ce résultat s’explique par une baisse des recettes des IDE de 26,4% à près de 15 MMDH, atténuée par le repli des dépenses de 32,7%, précise l’Office dans son bulletin sur les indicateurs des échanges extérieurs à fin juillet. Au titre des sept premiers mois de 2020, le flux net des investissements directs marocains à l’étranger (IDME) a reculé de 2,92 MMDH, fait savoir la même source. En effet, les IDME ont atteint plus de 4,92 MMDH à fin juillet, contre près de 6,69 MMDH un an auparavant, soit -26,4%, tandis que les cessions de ces investissements ont plus que doublé (+1,15 MMDH).

(Source : Libération, 4 septembre 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2048/2225 Régulation des télécoms
  • 173/2225 Télécentres/Cybercentres
  • 1531/2225 Economie numérique
  • 790/2225 Politique nationale
  • 2225/2225 Fintech
  • 251/2225 Noms de domaine
  • 812/2225 Produits et services
  • 691/2225 Faits divers/Contentieux
  • 359/2225 Nouveau site web
  • 2163/2225 Infrastructures
  • 801/2225 TIC pour l’éducation
  • 90/2225 Recherche
  • 121/2225 Projet
  • 1383/2225 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 857/2225 Sonatel/Orange
  • 772/2225 Licences de télécommunications
  • 132/2225 Sudatel/Expresso
  • 460/2225 Régulation des médias
  • 599/2225 Applications
  • 494/2225 Mouvements sociaux
  • 756/2225 Données personnelles
  • 60/2225 Big Data/Données ouvertes
  • 295/2225 Mouvement consumériste
  • 179/2225 Médias
  • 321/2225 Appels internationaux entrants
  • 700/2225 Formation
  • 45/2225 Logiciel libre
  • 835/2225 Politiques africaines
  • 406/2225 Fiscalité
  • 83/2225 Art et culture
  • 284/2225 Genre
  • 756/2225 Point de vue
  • 478/2225 Commerce électronique
  • 695/2225 Manifestation
  • 156/2225 Presse en ligne
  • 62/2225 Piratage
  • 103/2225 Téléservices
  • 415/2225 Biométrie/Identité numérique
  • 149/2225 Environnement/Santé
  • 155/2225 Législation/Réglementation
  • 167/2225 Gouvernance
  • 816/2225 Portrait/Entretien
  • 72/2225 Radio
  • 336/2225 TIC pour la santé
  • 141/2225 Propriété intellectuelle
  • 29/2225 Langues/Localisation
  • 500/2225 Médias/Réseaux sociaux
  • 915/2225 Téléphonie
  • 95/2225 Désengagement de l’Etat
  • 484/2225 Internet
  • 57/2225 Collectivités locales
  • 188/2225 Dédouanement électronique
  • 495/2225 Usages et comportements
  • 518/2225 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2225 Audiovisuel
  • 1352/2225 Transformation digitale
  • 191/2225 Affaire Global Voice
  • 75/2225 Géomatique/Géolocalisation
  • 149/2225 Service universel
  • 331/2225 Sentel/Tigo
  • 87/2225 Vie politique
  • 726/2225 Distinction/Nomination
  • 17/2225 Handicapés
  • 336/2225 Enseignement à distance
  • 318/2225 Contenus numériques
  • 292/2225 Gestion de l’ARTP
  • 89/2225 Radios communautaires
  • 798/2225 Qualité de service
  • 212/2225 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2225 SMSI
  • 223/2225 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1268/2225 Innovation/Entreprenariat
  • 652/2225 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2225 Internet des objets
  • 86/2225 Free Sénégal
  • 170/2225 Intelligence artificielle
  • 98/2225 Editorial
  • 8/2225 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous