OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2013 > Décembre 2013 > Des experts en TIC cogitent sur l’aménagement numérique

Des experts en TIC cogitent sur l’aménagement numérique

mardi 3 décembre 2013

Politique nationale

Même si notre pays ne peut encore mesurer la part et tout l’impact des Technologies de l’information et de la télécommunication dans l’économie nationale, l’Etat du Sénégal continue d’encourager les populations à se familiariser avec l’Internet. Selon Mallé Ndiaye, directeur des Tic au ministère de la Communication et de l’Economie numérique, c’est tout le sens donné à la Semaine africaine des Tic, ouverte aujourd’hui au Cices, à Dakar.

Quel sens donnez-vous à la Semaine africaine des Technologies de l’information et de la communication célébrée les 3 et 4 décembre à Dakar ?

« Sur recommandation de l’Union africaine, il a été demandé à chaque pays de célébrer la Semaine africaine des Technologies de l’information et de la télécommunication, du 02 au 06 décembre.

Par la même occasion, l’Union africaine, pour les 50 ans de l’ex-Organisation de l’Unité africaine, devenue Ua, célèbre, à Addis Abeba, cette semaine. En ce qui concerne l’événement, il s’agira surtout de voir comment nos Etats pourraient utiliser les Technologies de l’information et de la communication à travers tous les services.

Aussi bien les services publics et administrations dans leur ensemble, que les services privés, voir comment ils pourraient utiliser les Tic et booster leur développement. Surtout que nos Etats, particulièrement le Sénégal, ont quand même des prédispositions qui existent déjà.

Avec beaucoup d’infrastructures, même si elles ne sont pas suffisantes, avec beaucoup de services du privé, pour la dématérialisation de l’administration, de certains tels que le Wari, le Système Gaïndé, etc.

En dehors de cet aspect matériel, il s’agira, durant cette semaine, de sensibiliser les populations sur les Tic. Parce que une chose est de disposer tous ces services, une autre est de pousser nos populations à s’accaparer des Tic dans tous leurs comportements. »

Quelles sont les activités prévues durant cette Semaine africaine des Tic ?

« Le Sénégal fête la Semaine africaine les 03 et 04 décembre. Il est prévu des panels et des démonstrations avec des experts sur les techniques et services qui sont offerts, sur la dématérialisation, le Système Gaïndé, l’Université virtuelle du Sénégal, Campusen, la Bonne gouvernance avec tout ce que l’Adie fait sur la gouvernance électronique.

Ces panels seront animés par des experts sénégalais et l’on va discuter sur comment nos Etats africains, avec la coopération internationale, pourraient mieux exploiter tous les créneaux qu’offrent l’Internet et les technologies de l’information et de la communication.

D’autant plus qu’une étude commanditée par la Banque mondiale a souligné que si dans un pays, l’utilisation des Tic augmente de 10%, cela engendre une augmentation du Pib de 3%. Les Tic constituent donc un créneau très important pour nos Etats. »

Dispose-t-on au Sénégal, d’indicateurs pour évaluer l’impact de l’économie numérique ?

« En ce qui concerne notre pays, il faut avouer que l’on ne dispose pas, pour le moment, d’indicateurs pour mesurer cet impact du secteur des Tic dans l’économie.

D’ailleurs, ce n’est pas seulement le problème du Sénégal, c’est presque tous les Etats en voie de développement qui ont cette difficulté de mesurer l’impact du phénomène des Tic. Seulement, quelques indicateurs sont en train d’être émis par-ci par-là, par le Fmi, l’Uit, etc.

Ce sont des indicateurs qui ne sont pas encore précis et chaque pays a ses spécificités. Il y a l’Agence nationale de statistiques qui essaie quand même de prendre en compte ces nouvelles donnes dans sa démarche.

Dans la globalité, on ne peut pas évaluer la part des Tic. On peut le faire seulement dans des domaines spécifiques et des structures organisées, comme le font les opérateurs de Téléphonie qui, également, possèdent des données dans ce sens.

Au sein du ministère de la Communication et de l’Economie numérique, on travaille à voir comment mettre en place un Observatoire national du numérique pour mesurer l’impact des Tic dans notre pays. »

Omar Diouf

(Source : Le Soleil, 3 decembre 2013)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4186/4481 Régulation des télécoms
  • 349/4481 Télécentres/Cybercentres
  • 3113/4481 Economie numérique
  • 1602/4481 Politique nationale
  • 4481/4481 Fintech
  • 507/4481 Noms de domaine
  • 1654/4481 Produits et services
  • 1407/4481 Faits divers/Contentieux
  • 726/4481 Nouveau site web
  • 4362/4481 Infrastructures
  • 1605/4481 TIC pour l’éducation
  • 182/4481 Recherche
  • 242/4481 Projet
  • 2844/4481 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1734/4481 Sonatel/Orange
  • 1567/4481 Licences de télécommunications
  • 264/4481 Sudatel/Expresso
  • 933/4481 Régulation des médias
  • 1220/4481 Applications
  • 1015/4481 Mouvements sociaux
  • 1532/4481 Données personnelles
  • 123/4481 Big Data/Données ouvertes
  • 591/4481 Mouvement consumériste
  • 359/4481 Médias
  • 643/4481 Appels internationaux entrants
  • 1440/4481 Formation
  • 93/4481 Logiciel libre
  • 1719/4481 Politiques africaines
  • 950/4481 Fiscalité
  • 168/4481 Art et culture
  • 572/4481 Genre
  • 1479/4481 Point de vue
  • 972/4481 Commerce électronique
  • 1415/4481 Manifestation
  • 313/4481 Presse en ligne
  • 124/4481 Piratage
  • 204/4481 Téléservices
  • 878/4481 Biométrie/Identité numérique
  • 303/4481 Environnement/Santé
  • 320/4481 Législation/Réglementation
  • 334/4481 Gouvernance
  • 1702/4481 Portrait/Entretien
  • 144/4481 Radio
  • 687/4481 TIC pour la santé
  • 267/4481 Propriété intellectuelle
  • 58/4481 Langues/Localisation
  • 1011/4481 Médias/Réseaux sociaux
  • 1858/4481 Téléphonie
  • 190/4481 Désengagement de l’Etat
  • 981/4481 Internet
  • 114/4481 Collectivités locales
  • 380/4481 Dédouanement électronique
  • 1017/4481 Usages et comportements
  • 1028/4481 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 553/4481 Audiovisuel
  • 2802/4481 Transformation digitale
  • 382/4481 Affaire Global Voice
  • 153/4481 Géomatique/Géolocalisation
  • 300/4481 Service universel
  • 660/4481 Sentel/Tigo
  • 174/4481 Vie politique
  • 1488/4481 Distinction/Nomination
  • 34/4481 Handicapés
  • 678/4481 Enseignement à distance
  • 646/4481 Contenus numériques
  • 584/4481 Gestion de l’ARTP
  • 179/4481 Radios communautaires
  • 1661/4481 Qualité de service
  • 427/4481 Privatisation/Libéralisation
  • 132/4481 SMSI
  • 449/4481 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2574/4481 Innovation/Entreprenariat
  • 1310/4481 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/4481 Internet des objets
  • 170/4481 Free Sénégal
  • 367/4481 Intelligence artificielle
  • 199/4481 Editorial
  • 22/4481 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous