OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2022 > Août 2022 > Cryptomonnaie en Afrique : Mouhammad Dieng, président de Senblock liste les (…)

Cryptomonnaie en Afrique : Mouhammad Dieng, président de Senblock liste les opportunités à saisir

samedi 13 août 2022

Fintech

De nouvelles cryptomonnaies émergent quotidiennement sur le continent africain. Ce qui offre de nouvelles alternatives aussi bien pour les populations que pour les institutions. Cet essor doit être accompagné par une formation et une législation forte.

L’Afrique est en plein essor en termes d’adoption des cryptomonnaies. La grande population du continent, majoritairement non bancarisée, et le manque d’institutions financières contribuent à l’attrait et à l’expansion des cryptomonnaies. Une aubaine pour les Africains selon Mouhammed Dieng, président de l’association de Senblock, une association pour la promotion des cryptos au Sénégal.

« L’Afrique pourrait en profiter à plusieurs niveaux. Déjà il faut comprendre que quand on parle de cryptomonnaies, il y a deux bases fondamentales qu’il faut prendre en compte : la technologie et l’économie. La technologie blockchain pourrait résoudre le problème de corruption, parce qu’à la base, elle permet de réduire le nombre d’intermédiaires dans tout type de transaction. Si l’on en vient à l’aspect économique, il est évident que le Bitcoin pourrait nous faire avancer dans notre autonomie monétaire. Il est décentralisé, infalsifiable et autonome », explique le sieur Dieng.

Les cryptoactifs offrent une myriade de nouvelles possibilités : ils permettent des paiements faciles et rapides et ouvrent la voie à des services financiers novateurs, y compris dans des régions du monde jusqu’ici non bancarisées. « On a vu récemment la RCA qui l’a adopté comme monnaie légale et récemment ils ont levé de l’argent crypto pour entamer des projets dans leur pays. Ceci est un exemple d’applications possibles de la technologie blockchain », avance Mouhammed Dieng.
En parallèle, il y’a de la defi de la revalorisation de la culture africaine. La blockchain est un excellent outil pour raconter notre histoire et permettre à nos artistes locaux de pouvoir vivre de leur talents. Les NFTs sont des applications innovantes de la blockchain dans le secteur des industries creatives et culturelles. Il est maintenant possible pour les artistes africains d’atteindre de nouveaux mzrches grâce a la digitalisation offerte par les NFTs. Les œuvres numériques deviennent infalsifiables, authentifiable, et transférable entre un vendeur et un acheteur. Grâce à des plateformes NFTs, l’artiste peut transformer son œuvre numérique en NFTs sans connaitre les fondamentaux de la blockchain.

Aujourd’hui, les institutions en promotion des industries créatives et culturelles doivent profiter des NFTs pour amorcer de nouveaux programmes d’autonomisation des femmes et de jeunes créatrices et créateurs, et pour développer cette industrie mourante qui a besoin de sang neuf.

Selon lui, pour que cela soit une réalité, il faut beaucoup d’éducation à tous les niveaux. Le sieur Dieng estime que la formation est la meilleure alternative pour y arriver. Ce qui va « permettre aux jeunes de comprendre les métiers qui tournent autour » des cryptos et du web3 en général. Mouhammed Dieng note que cela va faire comprendre aux autorités les perspectives possibles et les opportunités, créer des écosystèmes qui favorisent l’innovation et la créativité.

(Source : Social Net Link, 14 août 2022)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4397/4944 Régulation des télécoms
  • 353/4944 Télécentres/Cybercentres
  • 3196/4944 Economie numérique
  • 1649/4944 Politique nationale
  • 4944/4944 Fintech
  • 565/4944 Noms de domaine
  • 1747/4944 Produits et services
  • 1622/4944 Faits divers/Contentieux
  • 742/4944 Nouveau site web
  • 4883/4944 Infrastructures
  • 1698/4944 TIC pour l’éducation
  • 184/4944 Recherche
  • 248/4944 Projet
  • 3151/4944 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1775/4944 Sonatel/Orange
  • 1614/4944 Licences de télécommunications
  • 266/4944 Sudatel/Expresso
  • 978/4944 Régulation des médias
  • 1311/4944 Applications
  • 1038/4944 Mouvements sociaux
  • 1581/4944 Données personnelles
  • 142/4944 Big Data/Données ouvertes
  • 603/4944 Mouvement consumériste
  • 364/4944 Médias
  • 650/4944 Appels internationaux entrants
  • 1624/4944 Formation
  • 92/4944 Logiciel libre
  • 1927/4944 Politiques africaines
  • 961/4944 Fiscalité
  • 166/4944 Art et culture
  • 580/4944 Genre
  • 1467/4944 Point de vue
  • 1017/4944 Commerce électronique
  • 1472/4944 Manifestation
  • 318/4944 Presse en ligne
  • 126/4944 Piratage
  • 208/4944 Téléservices
  • 957/4944 Biométrie/Identité numérique
  • 314/4944 Environnement/Santé
  • 330/4944 Législation/Réglementation
  • 336/4944 Gouvernance
  • 1771/4944 Portrait/Entretien
  • 147/4944 Radio
  • 711/4944 TIC pour la santé
  • 271/4944 Propriété intellectuelle
  • 61/4944 Langues/Localisation
  • 1035/4944 Médias/Réseaux sociaux
  • 2001/4944 Téléphonie
  • 198/4944 Désengagement de l’Etat
  • 1008/4944 Internet
  • 121/4944 Collectivités locales
  • 408/4944 Dédouanement électronique
  • 1052/4944 Usages et comportements
  • 1059/4944 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 559/4944 Audiovisuel
  • 2993/4944 Transformation digitale
  • 382/4944 Affaire Global Voice
  • 155/4944 Géomatique/Géolocalisation
  • 312/4944 Service universel
  • 676/4944 Sentel/Tigo
  • 180/4944 Vie politique
  • 1523/4944 Distinction/Nomination
  • 35/4944 Handicapés
  • 725/4944 Enseignement à distance
  • 713/4944 Contenus numériques
  • 587/4944 Gestion de l’ARTP
  • 181/4944 Radios communautaires
  • 1700/4944 Qualité de service
  • 435/4944 Privatisation/Libéralisation
  • 133/4944 SMSI
  • 457/4944 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2731/4944 Innovation/Entreprenariat
  • 1356/4944 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/4944 Internet des objets
  • 173/4944 Free Sénégal
  • 445/4944 Intelligence artificielle
  • 199/4944 Editorial
  • 22/4944 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous