OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2011 > Août > Commerce électronique - Vers une simplification des procédures

Commerce électronique - Vers une simplification des procédures

samedi 20 août 2011

Dédouanement électronique

Le Sénégal a fait des pas significatifs dans la dématérialisation des procédures de commerce extérieur (avec les plateformes Gaindé et Orbus). Selon Ibrahima Diagne, administrateur du système Gaindé, le défi est maintenant de s’inscrire dans une dynamique internationale en intégrant l’Aseal.

Le Sénégal a fait des pas significatifs dans la dématérialisation des procédures de commerce extérieur (avec les plateformes Gaindé et Orbus). Selon Ibrahima Diagne, administrateur du système Gaindé, le défi est maintenant de s’inscrire dans une dynamique internationale en intégrant l’Aseal.

Toutes les réformes entreprises ces dernières années (notamment avec la mise en oeuvre de la version Gaindé 2010) pour aboutir à la dématérialisation des procédures de commerce extérieur viennent d’entrer effectivement en vigueur, informe Ibrahima N. E. Diagne, administrateur du système Gaindé et président de l’Alliance africaine pour le commerce électronique. Il s’exprimait lors du 6e Sommet de l’Aseal (Asia-Europe Alliance for Paperless Trade), hier, à Dakar - le premier qui se tient en Afrique.

L’Aseal, structure créée en 2004, regroupe une vingtaine de pays d’Europe et d’Asie et oeuvre pour mettre en relation les gouvernements de ses pays membres et les opérateurs économiques afin de faciliter le commerce transfrontalier par la suppression de toutes les barrières liées à l’utilisation du papier dans les opérations de dédouanement.

Selon M. Diagne, pour qui le Sénégal est aujourd’hui un « acteur de plein pieds de la dématérialisation » (grâce aux systèmes Gaindé et Orbus), il s’agit maintenant d’intégrer la dynamique internationale, en l’occurrence le cadre de l’Aseal où le Sénégal bénéficie d’un statut de membre observateur.

« Nous voulons anticiper cette question à travers ce Sommet, parce que vous ne pouvez pas avoir un commerce transfrontalier efficace si vous vous limitez uniquement à des réformes intérieures.

Nous avons fait un grand pas en matière de dématérialisation des procédures de commerce, mais il nous faut absolument nous inscrire maintenant dans une dynamique internationale parce que nous ne faisons pas du commerce avec nous-mêmes, nous le faisons avec le reste du monde », explique Ibrahima Diagne.

Ainsi, d’après Jean Marc Dufour, président de l’Aseal, le premier objectif de ce sixième Sommet est de voir comment ouvrir cette organisation aux pays africains qui font beaucoup d’efforts pour améliorer l’environnement des affaires.

« Il y a encore beaucoup d’endroits où les procédures se font encore avec du papier ; il y a un besoin de basculer dans l’électronique pour simplifier la démarche afin d’éviter les freins et autres retards.

Le gros challenge de l’Aseal, est de limiter, à la fois, les barrières gouvernementales et les techniques en intégrant le maximum de pays », dit Jean Marc Dufour, plaidant pour une dématérialisation de toute la chaine (import/export). Pour cela, le moyen trouver par l’Aseal, c’est d’associer les représentants des gouvernements et du secteur privé dans sa démarche.

Ce qui facilite, par exemple, la reconnaissance mutuelle des documents émis par chaque partie ou encore les signatures électroniques. Mais selon Ibrahima Diagne, il subsiste encore beaucoup de difficultés en matière de dématérialisation tant en ce qui concerne la reconnaissance des signatures électroniques que la sécurité juridique de manière globale.

C’est pourquoi, estime Diagne, une réflexion approfondie est nécessaire pour « élargir le champ » de l’Aseal, revoir ses structures et en faire une sorte d’organisation fédérale capable de porter toutes ces difficultés.

L’autre élément important, selon Dufour, c’est l’instauration d’un véritable système de gestion de risque avec des logiciels et plateformes pour gérer l’information et assurer la traçabilité de la marchandise, de la source à la destination, tout cela en temps réel.

Seydou Ka

(Source : Le Soleil, 7 Juin 2011)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4377/5256 Régulation des télécoms
  • 353/5256 Télécentres/Cybercentres
  • 3920/5256 Economie numérique
  • 1885/5256 Politique nationale
  • 5256/5256 Fintech
  • 515/5256 Noms de domaine
  • 1743/5256 Produits et services
  • 1459/5256 Faits divers/Contentieux
  • 734/5256 Nouveau site web
  • 4929/5256 Infrastructures
  • 1662/5256 TIC pour l’éducation
  • 188/5256 Recherche
  • 242/5256 Projet
  • 3424/5256 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1791/5256 Sonatel/Orange
  • 1631/5256 Licences de télécommunications
  • 279/5256 Sudatel/Expresso
  • 1112/5256 Régulation des médias
  • 1470/5256 Applications
  • 1237/5256 Mouvements sociaux
  • 1682/5256 Données personnelles
  • 126/5256 Big Data/Données ouvertes
  • 653/5256 Mouvement consumériste
  • 360/5256 Médias
  • 646/5256 Appels internationaux entrants
  • 1768/5256 Formation
  • 96/5256 Logiciel libre
  • 2035/5256 Politiques africaines
  • 1109/5256 Fiscalité
  • 167/5256 Art et culture
  • 579/5256 Genre
  • 1664/5256 Point de vue
  • 1113/5256 Commerce électronique
  • 1452/5256 Manifestation
  • 317/5256 Presse en ligne
  • 124/5256 Piratage
  • 207/5256 Téléservices
  • 877/5256 Biométrie/Identité numérique
  • 305/5256 Environnement/Santé
  • 448/5256 Législation/Réglementation
  • 418/5256 Gouvernance
  • 1801/5256 Portrait/Entretien
  • 145/5256 Radio
  • 790/5256 TIC pour la santé
  • 298/5256 Propriété intellectuelle
  • 60/5256 Langues/Localisation
  • 1044/5256 Médias/Réseaux sociaux
  • 1985/5256 Téléphonie
  • 190/5256 Désengagement de l’Etat
  • 1166/5256 Internet
  • 115/5256 Collectivités locales
  • 393/5256 Dédouanement électronique
  • 1080/5256 Usages et comportements
  • 1036/5256 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 553/5256 Audiovisuel
  • 3373/5256 Transformation digitale
  • 383/5256 Affaire Global Voice
  • 152/5256 Géomatique/Géolocalisation
  • 312/5256 Service universel
  • 660/5256 Sentel/Tigo
  • 176/5256 Vie politique
  • 1631/5256 Distinction/Nomination
  • 34/5256 Handicapés
  • 684/5256 Enseignement à distance
  • 681/5256 Contenus numériques
  • 590/5256 Gestion de l’ARTP
  • 178/5256 Radios communautaires
  • 1751/5256 Qualité de service
  • 431/5256 Privatisation/Libéralisation
  • 132/5256 SMSI
  • 475/5256 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2860/5256 Innovation/Entreprenariat
  • 1341/5256 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 47/5256 Internet des objets
  • 172/5256 Free Sénégal
  • 590/5256 Intelligence artificielle
  • 225/5256 Editorial
  • 22/5256 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous