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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Juillet 2018 > Burkina Faso : Connexion Internet : Augmentation de la bande passante à 5 G

Burkina Faso : Connexion Internet : Augmentation de la bande passante à 5 G

mardi 10 juillet 2018

Infrastructures

Le ministère du Développement de l’économie numérique et des Postes, a organisé une cérémonie de réception officielle des infrastructures de communications électroniques, le mardi 10 juillet 2018 à Ouagadougou.

Pour améliorer la connectivité au Burkina Faso et promouvoir l’accès à l’internet à tous et à moindre coût, le ministère du Développement de l’économie numérique et des Postes, a organisé une cérémonie de réception officielle des infrastructures de communication électroniques.

Elle a eu lieu, le mardi 10 juillet 2018 et s’inscrit dans le cadre du Projet régional d’infrastructures de communications d’Afrique de l’Ouest-Projet du Burkina Faso (PRICAO-BF).

Le directeur général des infrastructures de communications électroniques, Galiam Ouédraogo a indiqué que ce projet vise aussi la réduction des charges des opérateurs et fournisseurs d’accès internet, de développer l’offre de contenus locaux, d’optimiser l’utilisation de la bande passante par l’hébergement des fournisseurs de contenus internationaux.

Il a signifié que des grandes réalisations ont été faites. Il s’agit de la liaison fibre optique Ouagadougou-Dakola (frontière du Ghana) avec une bretelle Manga- Bagrépôle et la mise en place du point d’atterrissement virtuel de Ouagadougou.

Le dernier point, de son avis, compte deux éléments à savoir l’acquisition, l’installation et la configuration de la bande passante internationale et l’approvisionnement sous forme d’IRU (droit d’utilisation irrévocable).

Une autre réalisation, a fait savoir M. Ouédraogo, est celle du point d’échange internet de Ouagadougou. « Il s’agit d’un point de présence où tous les fournisseurs d’accès internet échangent localement du trafic », a soutenu le directeur général.

Par ailleurs, il a rappelé que le PRICAO-BF financé par la Banque mondiale d’un montant d’environ 11 milliards 500 millions de F CFA est entré en vigueur le 22 décembre 2011. Selon le Premier ministre Paul Kaba Thiéba, la bande passante va augmenter de 5 G kbps.

Mettre fin à la fracture numérique

Et d’ajouter que son gouvernement, à travers ce projet, entend mettre fin à la fracture numérique au Burkina Faso. « En 2016, nous avons indiqué que le Burkina se trouvait dans un état de cassure numérique au regard de la faiblesse de la bande passante et l’état de la fibre optique. Nous venons de poser l’un des premiers jalons d’un processus fondateur pour l’industrie des TIC », a-t-il rappelé.

A l’entendre, le développement des Technologies de l’information et de la communication (TIC) est un défi car le taux d’accès à l’internet est de 19%.

« Cela est largement en- dessous de la moyenne africaine qui est de 25% », a indiqué le Premier ministre. Pour lui, cette opération est non seulement un enjeu d’égalité de droit d’accès à l’information mais aussi économique et stratégique pour le développement du pays.

Le représentant de la Banque mondiale (BM) a affirmé que les réalisations du PRICAO-BF permettent au Burkina Faso de s’affranchir des difficultés rencontrées par les pays enclavés n’ayant pas d’accès direct aux câbles sous-marins pour l’accès Internet. Il a souligné que les 40% les plus pauvres peuvent bénéficier, grâce au numérique, d’une multitude d’avantages sociaux et d’opportunités économiques nouvelles.

« Le PRICAO-BF et les autres initiatives telles le backbone national ouvrent la voie de la modernité au Burkina Faso et offrent des perspectives de développement immenses », a insisté M. Laporte.

Il a par ailleurs mentionné que son institution soutient également le projet eBurkina qui vise à apporter aux agences publiques des outils numériques modernes.

Le représentant de l’association BFIX, Jean Baptiste Millogo a laissé entendre que sa structure travaille à réduire les délais de connectivité aux serveurs internet afin de faciliter la recherche de données. « L’installation d’un google cache local le temps d’accès passe de 200 millisecondes à 50 millisecondes », a soutenu M. Millogo.

Mariam Somda

(Source : Sidwaya, 10 juillet 2018)

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