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Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

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Accueil > Batik > Archives de Batik (HTML) > Année 1999 > Batik N° 01 Août 1999

Batik N° 01 Août 1999

mardi 31 août 1999

Bulletin d’Analyse sur les Technologies de l’Information et de la Communication
Lettre d’information électronique mensuelle publiée par OSIRIS
l’Observatoire sur les Systèmes d’Information, les Réseaux et les Inforoutes au Sénégal
n° 01 août 1999


Sommaire


Editorial
OSIRIS un lieu d’échange et de discussion
Actualités
INET’99
Séminaire résidentiel d’OSIRIS à Saly
Bogue de l’an 2000
Politique
Le Conseil Interministériel sur les téléservices
Etude sur les téléservices
Infrastructures
Le nouveau réseau IP de la SONATEL
Projets
Lancement du site Famafrique
Le projet Bombolong
La base de données « Expertise » d’ANAIS
Rendez-vous
Préparation de l’African Development Forum
Bamako 2000


Editorial


OSIRIS un lieu d’échange et de discussion

OSIRIS, l’Observatoire sur les Systèmes d’information, les Réseaux et les Inforoutes au Sénégal, est né de la volonté d’assurer une veille attentive sur l’évolution des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal (NTIC). Tout le monde parle de mutations que vont engendrer les manières d’apprendre et de faire qui vont accompagner toutes ces technologies qui fusionnent dans Internet. Nous voulons pour notre part, au delà des dissertations technicistes, observer de façon vigilante la manière dont une société comme la notre se comporte réellement au contact des NTIC, et surtout comment elle se les approprie au quotidien, avec ses handicaps et ses avantages, à son rythme propre et à travers ses prismes culturels.

OSIRIS dont les principaux partenaires sont ISOC-Sénégal, le chapitre Sénégal d’Internet Society et l’association ANAIS va s’investir aux cotés de tous les acteurs qui travaillent ou s’intéressent à l’évolution des NTIC au Sénégal. Avec ce premier numéro de BATIK (Bulletin d’Analyse sur les Technologies de l’Information et de la Communication), nous matérialisons un des volets importants de notre programme consistant à faire de OSIRIS un lieu d’échange et de discussion, une espèce d’arbre à palabre électronique où se parler et s’écouter est un art de vivre. Le site web que nous avons mis en ligne depuis le 15 août 1999 à l’adresse http://www.osiris.sn sera un espace d’information prioritairement orienté vers l’analyse des enjeux pour le Sénégal et l’Afrique des NTIC.

Amadou Top
Président d’OSIRIS


Actualités


INET’99

Comme chaque année, Internet Society a organisé une conférence mondiale qui regroupe d’éminents spécialistes d’Internet. Cette conférence a été précédée d’un atelier de formation pour les responsables de réseaux Internet dans les pays en voie de développement. San José (USA) a été choisie cette année pour accueillir les manifestations qui ont vu la participation de 142 personnes venant de 63 pays avec 33 instructeurs originaires de 16 pays. Plusieurs participants venus du Sénégal ont assisté à ces ateliers : Mouhamed Tidiane SECK (ESP/UCAD), Maimouna DIOP (SONATEL), Cheikh Ahmed Tidiane KONATE (SONATEL), Eric DAMIBA (ESMT), Luc Ouédrago (ASECNA) et Malick NDIAYE (Primature). A la suite de la formation, un symposium réseau des pays en développement s’est tenu afin d’organiser et de coordonner les initiatives de développement de l’Internet dans les pays du sud et à l’échelle africaine notamment. La conférence elle même a été ouverte le 22 juin et a durée trois jours. Pour en savoir plus : http://www.primature.sn/lesoleil/inet.htm#point

Séminaire résidentiel d’OSIRIS à Saly

OSIRIS a organisé un séminaire sur les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal, à Saly, les 17-18 juillet 1999. Rassemblant une cinquantaine d’hommes et de femmes venus de tous les secteurs d’activités (ingénieurs, journalistes, fonctionnaires nationaux et internationaux, avocats, fournisseurs d’accès Internet, artistes, architectes, médecins, patrons, syndicalistes, enseignants, chercheurs, bibliothécaires, archivistes, documentalistes, etc.), il avait pour objectif de faire le point sur les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication au Sénégal.

Pour ce faire, trois présentations ont été faites respectivement par :

– Mactar Seck, Secrétaire exécutif du Conseil Supérieur de l’Industrie, sur « La politique nationale et l’infrastructure de télécommunications »,
– Olivier Sagna, Secrétaire Général d’OSIRIS, sur « Les usages des technologies de l’information et de la communication au Sénégal »,
– Amadou Top, Président d’OSIRIS, sur « Les métiers émergents ».

Après ces présentations, les participants se sont répartis dans trois ateliers dans lesquels ils ont pu approfondir les thématiques abordées en plénière. Finalement, les synthèses de ces trois ateliers ont été présentées aux participants qui ont pu les discuter et les amender. Les grandes problématiques qui ont été débattues ou abordées au cours de ces deux jours feront l’objet d’approfondissements dans le cadre des dîners-débats que compte organiser OSIRIS dès la rentrée. Les communications des trois présentateurs seront amendées sur la base des compléments/rectifications faits durant le séminaire et enrichis par les contributions apportées lors des différentes séances et par la suite lors des dîners-débats. L’objectif visé est de publier d’ici la fin de l’année 1999, le premier rapport d’une série qui se veut annuelle, sur la société de l’information au Sénégal.

Bogue de l’an 2000

Après plusieurs séminaires de sensibilisation, le Sénégal a mis en place une stratégie nationale pour la prise en charge du bogue de l’an 2000. Dans l’administration comme dans les principales entreprises privées (banque, assurance, grandes compagnies), les travaux en cours visent soit à convertir les applications existantes soit à moderniser les systèmes d’information existants. Seule ombre au tableau, les PME/PMI ne semblent pas avoir pris la mesure de la gravité du problème et des risques qu’elles courent. Pour plus d’informations vous pouvez visiter le site An 2000 du Sénégal à l’adresse http://www.primature.sn/an2000/


Politique


Le Conseil Interministériel sur les téléservices

Le jeudi 15 juillet 1999, s’est tenu un conseil interministériel consacré aux Téléservices. Le Gouvernement du Sénégal selon le Premier Ministre Mamadou Lamine Loum veut faire du Sénégal, un pays émergent dans le domaine des téléservices. Magued Diouf, le Ministre de l’Energie, des Mines et de l’Industrie, maître d’œuvre a fait l’état des lieux au Sénégal et tracé les grandes lignes des mesures à prendre pour la promotion des téléservices. Des recommandations ont été faites en matière de fiscalité, de qualité et de coût du travail, de formation, de promotion des métiers liés aux téléservices, d’accès aux infrastructures de télécommunications, de coûts des liaisons spécialisées et d’accès à Internet. Une réflexion approfondie sera menée sur le rôle de l’Etat comme modèle d’utilisation des téléservices (télé-procédure, télé-formulaire, etc.), sur le soutien à apporter aux incubateurs ainsi que sur la promotion et l’appui à apporter aux industries de services.

Etude sur les téléservices

Le Ministère de la Communication a initié une importante étude sur les téléservices avec le soutient de la coopération canadienne. SOFEG, une société canadienne, est chargée de mener cette étude en collaboration avec Télécomplus. Les conclusions de cette étude, attendues pour la fin du mois de septembre 1999, devraient permettre d’avoir une meilleure compréhension de l’évolution du marché des téléservices au Sénégal en identifiant les métiers et les secteurs capables de tirer profit des nouvelles technologies de l’Information et de la communication.


Infrastructures


Le nouveau réseau IP de la SONATEL

Le Sénégal s’est doté d’un réseau national IP (Internet Protocol) devenant ainsi le second pays africain après l’Afrique du Sud à disposer d’un tel système de communication. Les tests en cours sont concluants et l’exploitation est annoncée pour les semaines à venir. La grande inconnue reste la tarification au sujet de laquelle la SONATEL (Société Nationale des Télécommunications du Sénégal) reste discrète. Une description du réseau est consultable à l’adresse http://www.osiris.sn/article175.html

SENTEL poursuit la mise en place de son réseau

SENTEL, le deuxième opérateur de téléphone cellulaire au Sénégal, qui a débuté ses activités le 7 Avril 1999, aura investi 23 millions de dollars (environ 13,8 milliards FCFA) pour le développement de son infrastructure de manière à couvrir l’ensemble du territoire national d’ici l’an 2000. A l’heure actuelle le réseau SENTEL couvre essentiellement l’axe Dakar-Thiès-Mbour, qui représente 85 % du marché de la téléphonie mobile, avec des ouvertures sur Touba et Tivaouane. Dans ses prévisions, il se fixe comme objectif de capter le 1/3 du marché national du GSM avant la fin de l’année. Il y a quelques semaines le Directeur Général de la SONATEL (concurrent de SENTEL avec le réseau Alizé) estimait le marché de la téléphonie mobile au Sénégal à 100 000 abonnés.

Le câble sous-marin Dakar-Le Cap

La pose du câble sous-marin SAT3/WASC (Southern Africa-Western Africa Submarine Cable) dont la mise en service est prévue en 2001 vient de démarrer. Ce câble en fibre optique d’un débit de 80 gigabits et d’une longueur de 30 000 km reliera Dakar (Sénégal) au Cap (Afrique du Sud). Reliant l’Afrique, l’Europe et l’Asie, le câble sous-marin SAT3/WASC, qui implique 40 pays, fera appel aux toutes dernières technologies en la matière et coûtera près de 600 millions de dollars US. La technologie utilisée devrait notamment permettre de faire de la télémédecine et du téléenseignement dans de bonnes conditions techniques et ce à un coût très abordable.

Pour plus d’informations lire : http://www.telkom.co.za/news/article_168.htm


Projets


Lancement du site Famafrique

Le jeudi 29 juillet a été inauguré le site de Famafrique qui est un espace de communication et d’information pour les femmes d’Afrique francophone qui agissent pour la promotion d’un développement durable. C’est une composante du projet « Inforoutes au féminin pour l’Afrique francophone », développé par ENDA-SYNFEV (Synergie Genre et Développement, Environnement et Développement du Tiers-Monde, Dakar, Sénégal), dans le cadre de son programme « Communication pour les Femmes », avec le soutien du Fonds francophone des inforoutes (Agence de la Francophonie, Paris, France), et en partenariat avec Inter Press Service Francophone (Cotonou, Bénin) et Les Pénélopes (Montreuil, France). Outre le site web, Famafrique, offre aussi un bulletin électronique La toile d’elles et une activité de Vigie francophone, dont le but est d’assurer que les femmes francophones puissent avoir accès en ligne aux informations dont elles ont besoin en français. Le site peut être consulté à l’adresse suivante : http://www.famafrique.org/

Le projet Bombolong

En renforcement des actions développées avec les groupes de base, Bombolong Enda Cyberpop est né d’un partenariat entre le programme Acacia du Centre de Recherches pour le Développement International (CRDI) et Ecopole (Enda TM) pour faire face aux enjeux de la société de l’information, en évitant une plus grande marginalisation des groupes les plus démunis. C’est un programme d’appui aux dynamiques populaires qui vise à promouvoir :

– un accès universel aux savoirs et à l’information pour tous et toutes : la démocratisation de l’utilisation des NTIC en les intégrant dans le tissu social sans oublier les populations défavorisées ;
– la valorisation des ressources de l’économie populaire par l’utilisation des supports multimédia pour rendre visibles les innovations sociales et techniques des groupes de base ;
– la production des contenus endogènes sur les stratégies alternatives au marché, de lutte contre la pauvreté , pour un développement durable et une citoyenneté effective ;
– la transformation des capacités stratégiques des organisations populaires en connaissances et savoirs sur l’autre façon de faire l’économie, l’autre levier du développement.

Bombolong a mis en œuvre une démarche participative d’utilisation et d’appropriation des NTIC pour une intégration maîtrisée par les organisations populaires à leur rythme, et au service de leurs stratégies. Il assure :

– une formation de formateurs qui sont des experts populaires des usages des NTIC ;
– une implication directe dans la recherche expérimentale, des responsables des groupes populaires pour définir les services en fonction de leurs activités et développer des outils adaptés à la gestion populaire.

Bombolong a à son actif après une année :

– la formation de 16 jeunes déscolarisés (10 femmes et 6 hommes) issus des quartiers et ancrés dans les organisations ;
– la création de huit Centres de Ressources Communautaires (CRC) dans les quartiers les plus défavorisés de Dakar, Pikine, Rufisque, Yeumbeul, animés par les jeunes après 7 mois de formation.

Chaque centre est directement géré par un collectif de groupes de base pour faciliter l’expérimentation des usages des NTIC et une appropriation effective et durable (au delà du projet). Les CRC génèrent des revenus par des prestations de service de proximité (bureautique, télématique, etc.) mais dans une perspective de l’économie solidaire. Ils sont un lieu de convergence communautaire sur l’information utile et pertinente par des séances de sensibilisation, d’animation et de formation pour les groupes les plus démunis. Les huit sites forment un réseau d’expertise populaire en NTIC, connecté au Centre de Ressources Principal (CRP) situé à Ecopole. Le CRP est un lieu de formation et un laboratoire pour les experts populaires qui sont appuyés par une équipe technique ayant pour mission de tester et de produire des outils adaptés aux besoins des organisations populaires.

Adresse :
Enda Ecopole (annexe), 6 Bld Dial Diop,
Centre Culturel Blaise Senghor
Tél : (221) 824 73 29 /824 65 47
E-mail : cyberpop@enda.sn

La base de données « Expertise » d’ANAIS

Le site ANAIS qui est visité par quelques 1800 visiteurs chaque semaine depuis le début de l’année offre une base de données « Expertise » destinée à recenser les compétences et les expertises disponibles dans les domaines de l’Internet pour le développement. Le questionnaire est organisé en deux parties :

– La première partie vous permet de faire valoir vos compétences ou celles d’autres personnes œuvrant dans le domaine des TIC pour le développement
– La seconde partie vous permet de faire connaître un ou des organisme(s) auxquels vous êtes attaché et qui œuvrent dans le même domaine

La base est consultable à l’adresse : http://www.anais.org/Fr/expertise/index.sql


Rendez-vous


Préparation de l’African Development Forum

Quatre ans après l’Initiative Société Africaine à l’Ere d’Information (AISI), Cadre d’Action pour l’Edification d’une Infrastructure Africaine de l’Information et la communication conduite à l’initiative de la Commission Economique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), qui avait permis à un groupe d’experts africains de réfléchir sur les effets des nouvelles technologies de l’information et de la communication pour l’Afrique, l’ADF (First African Development Forum), le premier forum pour le développement de l’Afrique se tiendra en octobre 1999 au centre de conférence de la CEA autour du thème « Enjeux de la globalisation et de la société de l’information pour l’Afrique ».

Contact Kate Wild (wild@un.org)

Bamako 2000

A l’initiative du Président de la République du Mali, Alpha Oumar Konaré, Bamako sera en février 2000 la capitale de l’Internet. La ville accueillera une rencontre internationale intitulée « Internet : les passerelles du développement » organisée par le réseau ANAIS (http://www.anais.org). Le programme provisoire de la Rencontre de Bamako peut être consulté à l’adresse suivante : http://www.anais.org/Fr/activites/bamako2000/index.html

La rencontre comprend trois volets :

– des ateliers et des rencontres professionnelles (21, 22 et 23 février)
– une conférence plénière sur le thème « Internet et plurilinguisme » (24 et 25 février)
– un salon d’exposition « les passerelles du développement » (24, 25 et 26 février)

Le salon présentera les meilleures réalisations sélectionnées par concours. Le concours vise à identifier les meilleures réalisations et à diffuser les expériences et les méthodologies les plus efficaces pour que l’Internet soit utile aux acteurs du développement. Les auteurs primés seront invités à la Rencontre Internationale de Bamako de février 2000. Ils présenteront leurs réalisations dans le cadre du Salon d’exposition. Les réalisations seront également largement diffusées dans le monde grâce à un CD-ROM, un livret et un site web. Les conditions du concours peuvent être consultées à l’adresse : http://www.anais.org/Fr/activites/passerelles/concours.html.

Les inscriptions peuvent de faire en ligne à l’adresse :
http://www.anais.org/Fr/activites/bamako2000/inscription.html.

Pour tout contact écrire à : anais@fdd.org


Envoyez-nous vos informations : cliquez ici
Abonnement : cliquez ici
Copyright © Osiris, août 1999


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