OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2004 > Juin > A 32 jours de la libéralisation des télécommunications : Enfin des (…)

A 32 jours de la libéralisation des télécommunications : Enfin des concertations nationales prévues en début juillet

vendredi 18 juin 2004

Privatisation/Libéralisation

Autorités, Agence de régulation des télécommunications (Art), futurs opérateurs et Sonatel vont assister à des concertations nationales sur la libéralisation du secteur des télécommunications au Sénégal. Ces assises se tiendront en début du mois de juillet prochain sous l’arbitrage des autorités compétentes

A trente-deux jours de la date butoir retenue pour la libéralisation totale du secteur des télécommunications au Sénégal, le personnel de la Sonatel regroupé au sein de leur intersyndicale et amicale des cadres, a tenu à présenter le bilan d’étape et les perspectives définies en vue de cette échéance. Le personnel de la Sonatel qui est l’opératrice traditionnelle du secteur, lors de son point de presse du jeudi 17 juin passé, s’est dit rassuré des mesures envisagées pour une meilleure visibilité quant au schéma qui devra être adopté au lendemain de la libéralisation des télécommunications. La décision du chef de l’État, de faire tenir des concertations nationales sur la question a été ainsi une bouffé d’oxygène pour la Sonatel. Si l’on croit le président de l’amicale de ses cadres, El Hadji Sarr, cette décision fait partie des assurances données par le président de la République au sortir d’une rencontre tenue le 31 mars dernier. « Le chef de l’État s’est engagé sur des points précis qui prennent en compte nos préoccupations ». C’est ainsi qu’une large concertation nationale avec l’ensemble des acteurs et experts nationaux du secteur est prévue au début du mois de juillet. Ces concertations nationales devront permettre la mise en place d’une lettre de politique sectorielle des télécommunications qui devra définir un schéma le plus optimal possible pour la libéralisation de ce secteur qui, d’après Nafi Ngom, un des responsables de la Sonatel « a été toujours cité parmi les modèles en Afrique ».

Carton rouge aux « opérateurs éphémères »

Comme autres engagements pris par l’autorité, le représentant des cadres de la Sonatel a énuméré « le maintien du processus de libéralisation totale du secteur des télécommunications et une bonne conduite du processus empêchant de fatiguer le secteur et l’opérateur historique qui compte treize mille actionnaires ». En plus de ces mesures, M. Sarr a annoncé que le président s’est également engagé à ce qu’aucune licence ou autorisation ne soit attribuée à des « aventuriers ou opérateurs éphémères qui ne s’intéressent qu’à une niche bien définie qu’ils comptent exploiter pour un temps défini ». Une probable perturbation du secteur qui a toujours hanté le sommeil de la Sonatel depuis l’annonce de la libéralisation. D’après Ibrahima Konté de l’intersyndicale, « La Sonatel n’a pas peur d’être concurrencée d’autant plus qu’elle est allée défier l’opérateur traditionnel malien dans son propre marché ». Pour lui, « Ce sont des opérateurs crédibles qui devront êtres retenus dans l’intérêt bien compris du pays en barrant la route aux spéculateurs et autres fraudeurs tapis dans l’ombre qui vont livrer le secteur dans l’anarchie ». Le secrétaire général du syndicat des cadres, Mamadou Kane, a tenu à préciser que« le vent n’est favorable qu’à celui qui sait où il va. Il faut que les gens sachent que la Sonatel est prête depuis cinq ans pour affronter toute concurrence saine ». Pour cela, l’attention de l’Art est souhaitée pour « traquer les fraudeurs qui tentent d’infiltrer le marché en essayant d’échapper à leur vigilance » a jouté Nafi Ngom.

C’est ainsi que la Sonatel demande aux autorités de respecter les engagements surtout par rapport à la date du 19 juillet retenue pour la libéralisation totale du secteur des télécommunications.

Bacary DABO

(Source : Sud Quotidien 18 juin 2004)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2421/2660 Régulation des télécoms
  • 219/2660 Télécentres/Cybercentres
  • 1845/2660 Economie numérique
  • 986/2660 Politique nationale
  • 2660/2660 Fintech
  • 302/2660 Noms de domaine
  • 1006/2660 Produits et services
  • 883/2660 Faits divers/Contentieux
  • 434/2660 Nouveau site web
  • 2620/2660 Infrastructures
  • 1027/2660 TIC pour l’éducation
  • 122/2660 Recherche
  • 159/2660 Projet
  • 1725/2660 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1071/2660 Sonatel/Orange
  • 890/2660 Licences de télécommunications
  • 237/2660 Sudatel/Expresso
  • 572/2660 Régulation des médias
  • 727/2660 Applications
  • 600/2660 Mouvements sociaux
  • 894/2660 Données personnelles
  • 92/2660 Big Data/Données ouvertes
  • 343/2660 Mouvement consumériste
  • 224/2660 Médias
  • 408/2660 Appels internationaux entrants
  • 975/2660 Formation
  • 76/2660 Logiciel libre
  • 1147/2660 Politiques africaines
  • 543/2660 Fiscalité
  • 118/2660 Art et culture
  • 343/2660 Genre
  • 841/2660 Point de vue
  • 589/2660 Commerce électronique
  • 1031/2660 Manifestation
  • 220/2660 Presse en ligne
  • 90/2660 Piratage
  • 127/2660 Téléservices
  • 549/2660 Biométrie/Identité numérique
  • 188/2660 Environnement/Santé
  • 217/2660 Législation/Réglementation
  • 215/2660 Gouvernance
  • 981/2660 Portrait/Entretien
  • 97/2660 Radio
  • 429/2660 TIC pour la santé
  • 176/2660 Propriété intellectuelle
  • 46/2660 Langues/Localisation
  • 620/2660 Médias/Réseaux sociaux
  • 1142/2660 Téléphonie
  • 120/2660 Désengagement de l’Etat
  • 577/2660 Internet
  • 79/2660 Collectivités locales
  • 254/2660 Dédouanement électronique
  • 747/2660 Usages et comportements
  • 631/2660 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 332/2660 Audiovisuel
  • 1834/2660 Transformation digitale
  • 217/2660 Affaire Global Voice
  • 99/2660 Géomatique/Géolocalisation
  • 191/2660 Service universel
  • 401/2660 Sentel/Tigo
  • 122/2660 Vie politique
  • 872/2660 Distinction/Nomination
  • 31/2660 Handicapés
  • 431/2660 Enseignement à distance
  • 466/2660 Contenus numériques
  • 368/2660 Gestion de l’ARTP
  • 116/2660 Radios communautaires
  • 1013/2660 Qualité de service
  • 263/2660 Privatisation/Libéralisation
  • 92/2660 SMSI
  • 301/2660 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1558/2660 Innovation/Entreprenariat
  • 834/2660 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 31/2660 Internet des objets
  • 97/2660 Free Sénégal
  • 330/2660 Intelligence artificielle
  • 206/2660 Editorial
  • 12/2660 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous