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Accueil > Ressources > Points de vue > 2014 > 5 erreurs que Samsung commet en Afrique

5 erreurs que Samsung commet en Afrique

dimanche 26 janvier 2014

Point de vue

Samsung est le leader incontesté des constructeurs de mobile sur le continent africain. La domination du coréen est d’autant plus visible en Afrique à cause de l’absence de la plupart des autres marques qui, ailleurs, se battent contre Samsung bec et ongle pour sortir leur épingle du jeu.
Cependant, la position de leader est, comme vous le diront Microsoft et Apple, la plus dure à maintenir. Aussi, dans plusieurs pays du continent, Samsung court le risque de se retrouver dans la catégorie des leaders qui n’ont pas su gérer leur avance si la compagnie ne fait pas attention aux points suivants :

- Trop de boutiques, partout.

La proximité du magasin n’est, à mon avis, pas un facteur déterminant lorsqu’il s’agit de s’offrir un téléphone portable ou une télévision. Cela ne semble pas être l’avis de Samsung, à la vue du nombre de boutiques qui apparaissent un partout dans les villes africaines.

La marque court le risque de perdre de sa « superbe » en ouvrant des boutiques dans des zones qui ne s’accordent pas avec l’image que la marque aimerait véhiculer. Sans chercher à imiter Apple et son extrême exclusivité, je pense que Samsung gagnerait à être un tout petit peu plus sélectif dans le choix de ses points de vente.

- Des campagnes de pub pas tropicalisées !

Que ce soit pour le Galaxy S4, le Note 3, le S4 mini ou même la Gear, les campagnes de publicités de Samsung présentent des personnages caucasiens sur les panneaux d’affichage africains. Samsung est assez présent sur le territoire africain pour s’offrir les services d’une agence de com locale ou pour préparer des campagnes taillées pour les populations africaines, non ?

- Des mobiles bon marché, pas au top !

Samsung domine le marche grâce à une politique qui consiste à proposer des terminaux pour toutes les bourses et toutes les utilisations. Seulement, le consommateur africain typique, sans doute plus que les autres, s’inquiète souvent du prix de ce qu’il achète plus que de ce que ce produit a dans le ventre.

Ainsi, au lieu de s’offrir un Galaxy S4, il ira pour un Galaxy Duos, un mobile beaucoup moins performant mais au design très semblable. Après quelque mois d’utilisation et quelques secondes de réactivité perdues, il se rendra compte de la « supercherie ». Samsung profiterait à être plus clair dans les « classes » de ses produits et annoncer qu’il s’agit d’un terminal bon marché, d’un moyen ou d’un haut de gamme avant que des marques comme Huawei, LG ou d’autres ne « sentent le sang » et viennent proposer une concurrence plus solide.

- Des problèmes de communication ?

Celui-là il est personnel. Il a été plus simple pour moi de recevoir une réponse à un email que j’ai envoyé au bureau de Samsung en France, que celui de Dakar. Il semble que l’entreprise ait décidé de ne pas communiquer avec les médias et les communautés locales car ce sentiment est bien partagé dans écosystème des TIC dans la zone francophone du continent.

- Pas de « Star » africaine :

A l’image de Google avec Tidjane Deme ou Viadeo avec Chams Diagne, Samsung gagnerait gros à se donner un visage africain. La marque asiatique se retrouverait dans quelques difficultés si l’un de ses concurrents s’attachait les services d’un chéri du continent à ce poste.

Sadibou Sow

(source : Afrique ITnews, 26 janvier 2014)

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