Le Musée de l’Ifan redevient le centre névralgique de la Biennale, la sélection officielle connaît un équilibre entre les genres, le catalogue opère une rupture... Le Commissaire Général de Dak’Art 2006, le Professeur Yacouba Konaté, qui décline ainsi une des innovations de la Biennale de l’art africain contemporain. Critique d’art, plusieurs fois commissaires de grandes expositions et consultant en développement culturel, Konaté aborde, dans cette interview, les changements qu’il apporte à l’événement, sa contribution au débat sur le thème « entendu, malentendu, sous-entendu ». La question des tendances numériques, des installations ainsi que le marché africain font aussi l’objet d’un regard critique du membre du Conseil scientifique de l’Académie des Sciences, de la Culture et des Arts d’Afrique et de la Diaspora. Loire la suite