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Les nouvelles technologies sont une nécessité pour le cinéma sénégalais, selon un expert

dimanche 5 janvier 2014

Cyril Thurston, le directeur de Xenix, une société suisse de distribution de films, a recommandé vendredi aux professionnels du cinéma sénégalais de s’adapter aux nouvelles technologies relatives au septième art, dont la "digitalisation".

"Aujourd’hui, pour projeter un film, il faut un équipement digital, qui remplace les 35 millimètres. Et ce sont les projections de qualité qui peuvent inciter le public à aller dans les salles" de cinéma, a-t-il expliqué.

Il animait une conférence-débat sur "la distribution des films : enjeux et perspectives à l’heure de la diffusion internet. Quelle place pour les productions sénégalaises, quelle place pour le cinéma francophone ?"

Cette conférence était organisée par l’Association panafricaine pour l’alphabétisation et l’éducation des adultes (PAALAE) et la Fédération des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel du Sénégal (FEPROCINE).

"En Europe, et en Suisse surtout, depuis plusieurs années, beaucoup de salles de cinéma sont passées au numérique, avec une norme supérieure à la haute définition et plus connue sous le sigle DCP (Digital Cinema Package)", a-t-il signalé.

Selon Cyril Thurston, cette exigence technologique est indispensable pour une bonne distribution des films. "Le développement d’une industrie cinématographique passe par une bonne distribution des films", a-t-il ajouté.

Abdou Aziz Cissé, un cinéaste sénégalais, a pour sa part mis l’accent sur la formation des distributeurs des productions cinématographiques et du public.

La dépendance du public sénégalais de produits cinématographiques étrangers est un obstacle au développement du cinéma local, a-t-il signalé.

Le président du PAALAE, Babacar Diop, a insisté sur l’importance des ciné-clubs dans les universités. De nombreux pays en créent dans leurs universités, pour booster leur industrie cinématographique, selon lui.

(Source : APS, 4 janvier 2014)

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