Le ministre de la Planification et des Finances, Philip Mpango, a servi un ultimatum aux opérateurs de téléphonie mobile pour s’inscrire au système électronique de collecte d’impôts au 31 janvier 2018. Au cours d’une rencontre avec les grands contributeurs fiscaux du pays, notamment les banques, le 9 janvier 2018, le ministre a indiqué que les contrevenants à cette mesure s’exposent à des sanctions pouvant aller jusqu’au retrait de leur licence.
C’est normalement au plus tard le 31 décembre 2017 que les opérateurs télécoms devaient s’abonner au système électronique de collecte d’impôts. Mais plusieurs ne l’ont pas encore fait. L’outil pensé en 2013, le gouvernement de Tanzanie a pour objectif d’améliorer le revenu fiscal de l’Etat en réduisant à néant les pertes financières enregistrées par le Trésor public par le passé. Job Ndugai, le vice-président de l’Assemblée nationale avait souligné que le nouveau système permettrait également de mettre un terme au détournement de deniers reprochés aux fonctionnaires en leur retirant la gestion de l’argent en espèce.
Le système électronique, conçu par l’Autorité des impôts de Tanzanie (TRA) et le Comité des impôts de Zanzibar (ZRB), a officiellement été lancé en juin 2017 par le président de la République, John Magufuli.
(Source : Agence Ecofin, 11 janvier 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000