Le Kenya, la Tanzanie, le Mozambique et l’Afrique du Sud ont vu leurs capacités data s’améliorer de 500 Gbps supplémentaires sur le câble sous-marin de fibre optique Seacom. Cette embellie résulte de l’opération de mise à niveau de l’infrastructure télécoms, dévoilée ce 5 juin 2018 par le fournisseur de connectivité. C’est la seconde mise à niveau effectuée par l’entreprise. La première, réalisée il y a près de 18 mois, avait déjà porté sur 500 Gbps. Au total, c’est 1,5 Tbps de capacités data qu’offre déjà le câble Seacom.
Claes Segelberg, le directeur technique de Seacom, a justifié les mises à niveau sur le câble par un souci de répondre aux besoins croissants des utilisateurs d’Internet, de la montée en puissance des services Cloud et des exigences croissantes en matière de traitement et de stockage des données personnelles. « Cette dernière mise à niveau permet à Seacom de répondre à ces demandes dans des délais très courts et de fournir à nos clients des solutions évolutives pour l’avenir. », a-t-il souligné.
En service depuis le 23 juillet 2009, le câble Seacom, long de 17 000 kilomètres, offre aux pays d’Afrique orientale et australe auxquels il est connecté, une connectivité Internet haut débit vers l’Europe et l’Asie.
(Source : Agence Ecofin, 5 juin 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000