À quelques jours de l’élection présidentielle au Sénégal, des voix autorisées s’expriment et dénoncent déjà une certaine forme de sabotage et de censure du réseau des télécommunications (GSM, internet) au Sénégal. Tout ceci semble être une stratégie savamment orchestrée depuis quelques temps par un pouvoir qui a imposé un nouveau code des télécommunication dénigrée et critiqué à cause de son article 27 qui n’est rien d’autre qu’une forme légale de justifier une censure et un contrôle du trafic. Cette pratique est connue et a déjà été utilisée par des dictateurs en Afrique. Aujourd’hui, la société civile qu’ils cherchent à museler a une marge d’avance et compte bien consolider cette avance.
Voici quelques tuyaux pour DIMANCHE inchallah
Pour les smartphones :
Pour la connexion internet :
Si vous ne faites plus confiance à votre WhatsApp, vous pouvez installer Signal et demander à votre contact de confiance de l’installer aussi. Les appels via signal sont cryptés et ne peuvent en aucun cas être interceptés.
Dans certains endroits, vous allez aussi voir un wifi qui porte le nom PIRATE BOX WIFI, c’est le notre et il vous permettra de nous envoyer des informations (images, textes et vidéos) sans avoir à utiliser internet.
Cheikh Fall
(Source : Facebook, 21 février 2019)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000