Au Nigeria, le gouvernement avait suspendu la plateforme de réseau social et de microblogging, Twitter, au mois de juin. Depuis, de nombreux projets de loi contre les réseaux sociaux ont été soumis à l’Assemblée nationale.
Réglementer l’écosystème des réseaux sociaux au Nigeria. Telle est la mission que s’est assigné, depuis quelques mois, l’administration du président Muhammadu Buhari. Pour le ministre de la Communication et de la Culture du Nigeria, Lai Mohammed, une réglementation des réseaux sociaux s’impose, car l’absence de régulation dans ce domaine fait de ces plateformes le repaire des marchands de fake news.
« Quand on parle de fake news et de son danger, il faut le prendre au sérieux et je suis heureux que le monde entier voie maintenant ce que nous avons vu il y a plus de deux ans », a-t-il déclaré.
Il a ensuite ajouté que le gouvernement mettait tout en œuvre pour que la question de la régulation des réseaux sociaux soit réglée dans les plus brefs délais, sinon, « personne n’y survivra ».
Ces différentes initiatives ont valu à l’administration Buhari d’être accusée à plusieurs reprises d’étouffer la liberté d’expression et de vouloir supprimer la liberté de la presse.
(Source : Agence Ecofin, 20 août 2021)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
17 227 783 abonnés Internet
Liaisons louées : 4 420
Taux de pénétration des services Internet : 97,12%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
297 046 abonnés
256 076 résidentiels (86,21%)
40 970 professionnels (13,79%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
20 854 830 abonnés
Taux de pénétration : 117,57%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000