Le Centre culturel Blaise Senghor vient de mettre en place un centre numérique universel pour accompagner les artistes dans la production et la formation dans les Technologies de l’information et de la communication (Tic).
Dans le but de former les artistes dans les Technologies de l’information et de la communication (Tic) et de booster leur production, le Centre culturel Blaise Senghor a mis en place un centre numérique universel. Cette entité devra être fonctionnelle dans un mois.
Il y est prévu plusieurs modules de formation certifiante et qualifiante en secrétariat bureautique, webmaster, bloggeur professionnel, technicien en maintenance et réseau informatique. « L’intérêt de ce centre est de permettre aux artistes de faire la commercialisation de leurs produits et de renforcer leurs connaissances.
Il y a des programmes de formation pour améliorer la qualité des produits et le développement de la coopération », a expliqué Papa Baba Ndiaye, directeur du Centre culturel Blaise Senghor. Selon lui, avec le passage au numérique en 2015, il urge que les gens comprennent les nouveaux enjeux liés aux Tic pour qu’ils puissent les utiliser par rapport à leur métier.
Ce programme d’un coût environ de 5 millions de FCfa est initié par l’Institut de recherche en technologie de l’information et de la communication (Iratic). Pour le directeur de cette structure, Seth Sall, il s’agira, à travers ce centre, de développer les métiers d’art numérique, tout en initiant les artistiques aux techniques de montage web, de sons et de vidéos afin qu’ils puissent utiliser les logiciels les plus sophistiqués qui existent actuellement. Cela, a-t-il précisé, leur facilitera le passage de l’art physique à l’art numérique.
A l’en croire, il sera aussi question, dans ce projet, de développer un programme de « virtualisation » dont le but est d’accompagner les hommes de l’art à disposer de blogs et de sites web pour avoir une présence crédible sur le net et de pouvoir rendre visible leurs activités. En outre, un programme de galeries virtuelles y est prévu.
« Nous voulons faire en sorte que la culture de notre pays puisse rayonner un peu partout dans le monde, en suscitant un maximum d’intérêt pour l’art sénégalais », a-t-il indiqué.
D’après M. Sall, le choix de l’Iratic, pour ce programme à Blaise Senghor, se justifie par le fait qu’il est un hub où il y a une forte dynamique socioculturelle. Il a informé que le modèle fait à partir de Blaise Senghor sera étendu à l’ensemble des centres culturels régionaux du Sénégal.
Ibrahima Ba
(Source : Le Soleil, 7 février 2014)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000