Les conclusions des groupes de travail, relatives aux enjeux et aux perspectives de l’état civil au Sénégal, ont un dénominateur commun. Restituées hier lors de la clôture de l’atelier sur ‘L’état civil au Sénégal : enjeux et perspectives’, elles convergent vers deux impératifs qui tiennent à cœur le ministre d’Etat, ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales. Il s’agit de la déclaration universelle des actes d’état civil et la lutte contre la fraude.
‘Les restitutions que nous venons de suivre montrent bien que tous nos efforts doivent tendre vers la satisfaction des deux impératifs que j’ai désignés à l’ouverture du séminaire (mercredi dernier, Ndlr), à savoir la déclaration universelle des actes d’état civil et la lutte contre la fraude’, déclare Ousmane Masseck Ndiaye. ‘Nous ne cesserons jamais d’insister sur la nécessité de lutter contre la fraude. J’invite tous les acteurs à mobiliser leurs énergies et à se dresser contre ce fléau qui gangrène notre système et risque de réduire à néant tous les efforts que nous aurons entrepris’, préconise-t-il.
Et la solution passe par l’informatisation du système, selon le ministre. ‘L’informatisation est clairement apparue comme la solution majeure qui permettra de résoudre un bon nombre de problèmes en matière d’état civil’, indique-t-il. ‘Nous devons la réaliser dans les meilleures conditions et délais, car il y va de la fiabilité et de la crédibilité de notre système vis-à-vis des nationaux et des étrangers’, ajoute-t-il.
Parallèlement à la question de l’informatisation, le ministre d’Etat fait, en outre, un clin d’œil à d’autres aspects de la réforme de l’état civil lorsqu’il parle de la réglementation, des ressources humaines et du financement de l’état civil. Défini comme étant une institution juridico-administrative chargée de rendre publique la preuve de l’identité de la personne et les principaux évènements qui interviennent au cours de sa vie, l’état civil au Sénégal souffre de nombreux problèmes dont l’absence et le retard de la déclaration d’une naissance ont été classés au premier rang. D’où l’intérêt de cette réforme.
Ndakhté M. Gaye
(Source :Wal Fadjri, 9 aout 2008)
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