Parallèlement au développement de la technologie, le commerce électronique est un secteur très prometteur à l’ère du 2.0. Par contre le Sénégal comme bon nombre de pays africains d’ailleurs est très en marge de l’e-commerce qui représente un chiffre d’affaire de 144 milliards d’euros dans le monde.
Une solution e-commerce permet à un vendeur disposant d’une plateforme adéquate de mettre ses produits à la disposition du public via internet et d’en recevoir le paiement par ce même cheminement. Il ne se charge pas contrairement au e-business de l’aspect fidélisation du client par divers moyens qui seront mis en place, mais se contente juste de mettre en pratique les fonctionnalités liées au panier du client sur la plateforme.
Pourquoi le e-commerce est-il vraiment important
Pour un marché désordonné comme le nôtre où les mêmes produits sont rarement aux mêmes places, ce genre de solution serait carrément un bonheur parce qu’alliant rapidité des recherches, économie du déplacement et peut être même autre et autre chose. Et au Sénégal, où un marché peut pousser tellement vite qu’on ne s’en rendrait même pas compte et avec des produits très diversifiés, une plateforme e-commerce serait assez souhaitable par et pour tout un chacun.
Mais cela n’existe pas
Tout du moins le peu de sites e-commerce qui existent n’ont pas un développement assez fulgurant leur permettant de se faire remarquer et d’avoir la confiance des consommateurs. L’e-commerce rappelons le nécessite la mise en place d’une politique de sécurité irréprochable vu la vulnérabilité du web. Et de ce fait dans au Sénégal les blocages qu’ont pourrait citer sont dans plusieurs axes :
Et ce n’est pas tout. Les problèmes sont encore là et évoluent avec le temps.
Il y a eu bien sûr des tentatives avant. Malheureusement avortées. Notons celle de la styliste de renom Oumou sy, qui en 2000 donc il y a 14 ans, avait prévu de lancer un site virtuel de commerce dénommé "la boutique d’Oumou Sy". Ce qui montre juste que le débat du commerce électronique au Sénégal ne date pas d’hier mais que rien de concret n’a encore été fait jusqu’à présent. Il y a aussi TPS qui se veut être le premier opérateur de commerce électronique au Sénégal mais hélas qui est toujours méconnu du public.
Cependant les perspectives sont bel et bien là
Le sujet est vaste et là on a fait que le brosser. Espérons qu’avec la concurrence active des divers opérateurs on pourra bientôt bénéficier d’infrastructures contribuant au développement de la solution. Surtout que les jeunes passionnés sont en train de développer leurs idées du type Sandag’art.
(Source : Social Net Link, 31 janvier 2014)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
17 227 783 abonnés Internet
Liaisons louées : 4 420
Taux de pénétration des services Internet : 97,12%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
297 046 abonnés
256 076 résidentiels (86,21%)
40 970 professionnels (13,79%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
20 854 830 abonnés
Taux de pénétration : 117,57%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000