Joe Mucheru, le secrétaire du cabinet kényan en charge des TIC auprès du ministère de l’Information, des communications et des technologies, a révélé que le gouvernement n’a aucune intention de diviser les activités de Safaricom afin de réduire son caractère dominant sur le marché télécoms national.
S’exprimant le 20 février 2018, lors de l’atelier organisé à Nairobi pour présenter l’étude sur la concurrence du marché télécoms, réalisée par le cabinet Analysys Mason, Joe Mucheru a expliqué que « le gouvernement n’a pas l’intention de punir le succès mais de renforcer la concurrence afin de favoriser la croissance du sous-secteur des télécommunications, plus grand, du secteur des TIC ».
Pour Joe Mucheru, bien que le gouvernement ne compte pas punir Safaricom pour son succès, l’Autorité des communications du Kenya ne laissera cependant aucun abus de position dominante se produire sur le marché télécoms national.
Selon l’étude d’Analysys Mason, Safaricom est dominant sur le marché des communications de la téléphonie mobile et l’argent mobile. Chaque opérateur de téléphonie mobile lui conserve un monopole sur la terminaison des appels et des SMS vers son réseau mobile. L’étude propose un contrôle tarifaire dans les zones géographiques pertinentes et un accès réglementé aux sites télécoms dans les sept Comtés les plus ruraux, avec examen après cinq ans.
(Source : Agence Ecofin, 20 février 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000