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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2014 > Janvier 2014 > Interconnexion africaine : le point sur les chantiers régionaux de fibre optique

Interconnexion africaine : le point sur les chantiers régionaux de fibre optique

dimanche 19 janvier 2014

Infrastructures

Dans le souci de booster le développement des télécommunications dans les pays d’Afrique et de relier les réseaux entre eux pour permettre aux populations de communiquer à moindre coût, l’UIT, la Banque mondiale, l’Union africaine et la BAD ont prôné l’interconnexion africaine dès 2007. C’était lors du sommet « Connecter l’Afrique », qui s’est tenu à Kigali, au Rwanda. Ces différents acteurs étaient conscients des changements politiques et socioéconomiques dont était porteuse cette idée. Il a alors été décidé, avec les Communautés économiques régionales, pour une meilleure mise en pratique de l’interconnexion africaine, d’élaborer des projets spécifiques par région : le Central Africa Backbone en Afrique centrale, le Regional Communications Infrastructures programs en Afrique de l’Est et australe, le West Africa Regional Communications Infrastructures Project en Afrique de l’Ouest.

Le Central Africa Backbone (CAB)

C’est un grand projet d’infrastructure intégrateur conçu pour relier dans un premier temps les réseaux des télécommunications des pays de la Cemac que sont le Cameroun, le Tchad, la Centrafrique, le Gabon, la République du Congo, la Guinée Équatoriale. Puis, São Tomé & Principe, la République démocratique du Congo, l’Angola et le Burundi, membres de la CEEAC. Le projet a été décidé en mai 2007 lors du sommet des chefs d’Etat de la Cemac à N’Djamena. L’idée, c’était que les différents pays puissent accéder au câble sous-marin de fibre optique SAT-3, et à bien d’autres comme le câble Africa Coast Europe (ACE), à partir de points d’atterrissement sur la côte camerounaise et ailleurs. Lancé officiellement en 2010 à Yaoundé, le projet CAB bénéficie de l’appui de partenaires tels que la Banque mondiale, la Banque africaine de développement, la Banque islamique de développement et l’Union africaine, qui joue le rôle de facilitateur de la coopération entre Etats et d’harmonisateur des politiques. La première étape du CAB a été découpée en quatre phases. Chacune de ces phases consiste en l’équipement des différents pays membres en ressources humaines qualifiées, financières et techniques.

La phase 1 A a démarré par le Cameroun. Évaluée à 26,73 millions de dollars, elle doit prendre fin le 15 mars 2016. Actuellement en cours, elle a connu divers succès, dont les plus marquants sont l’arrimage au câble sous-marin de fibre optique ACE, ou la mise en place de l’Infrastructure à clé publique (PKI) pour gérer et sécuriser les transactions électroniques dans le pays. Il y a également le déploiement en cours de la fibre optique dans tout le pays par l’opérateur historique des télécommunications Camtel. Notons aussi que le Cameroun s’est déjà interconnecté au Tchad à travers la fibre optique déployée le long du pipeline Tchad-Cameroun. C’était le 16 mars 2012. Entre-temps, le Tchad avait lui aussi déjà démarré ses chantiers TIC qui rentrent dans la phase 1 B. Cette phase intègre la République Centrafricaine. Estimée à 58 millions de dollars, elle consiste à doter ces deux pays, dépourvus de côtes maritimes, d’infrastructures de télécommunications de pointe pour former et soutenir le réseau régional de haut débit et accroître l’usage des services TIC. Malgré quelques couacs, le Tchad poursuit son arrimage aux TIC.

Du côté de la République Centrafricaine, les récentes tensions politiques et l’instabilité que connaît encore le pays ont quelque peu ralenti ses efforts dans l’arrimage aux technologies de l’information et de la communication. Les chantiers de la RCA avaient pourtant démarré, comme ceux du Tchad, en 2009. Son interconnexion à la fibre optique doit se faire par le Congo. Cette phase 1 B devrait prendre fin le 31 décembre 2016. Suite au communiqué final de la réunion des ministres de la Cemac en charge des Télécommunications, réunis à Brazzaville en novembre 2008, la 2ème étape du CAB a été engagée. La République du Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale ainsi que la République démocratique du Congo ont formulé auprès de la Banque mondiale, ainsi que de la Banque africaine de développement, des requêtes de financement pour la composante nationale du projet de réseau à fibre optique de l’Afrique centrale. Ils ont par la suite lancé leurs chantiers, tout comme certains pays de la zone CEEAC.

La phase 2 du CAB s’est concentrée sur les infrastructures de São Tomé & Principe. La petite île, qui voudrait accroître son taux de pénétration Internet en quatre ans et faire chuter son coût de services d’au moins 60%, a obtenu un financement de 14,9 millions de dollars à cet effet. Ses chantiers TIC engagés le 20 janvier 2011 doivent s’achever le 31 décembre 2014. Ils ont été lancés quatre mois avant les chantiers de la République du Congo, qui représente la phase 3 du CAB. Le 1er octobre 2012, Luc Missidimbanzi, le coordonnateur du projet CAB pour le Congo, a présenté au ministre des Postes et des Télécommunications Thierry Moungalla l’état d’avancement des chantiers nationaux. Les tronçons transfrontaliers Congo-République Centrafricaine, Congo-Gabon, Congo-Cameroun et Congo-République démocratique du Congo ont été retenus par le gouvernement et la Banque mondiale. Ils sont en cours de réalisation et le lancement d’un appel d’offres international pour l’acquisition du matériel et la construction du réseau est attendu. L’unité de coordination a déjà procédé à la mise en place du premier point d’échange Internet, à l’achat des équipements et à l’aménagement d’un data center pour le « point cg ». Elle travaille actuellement à la mise en place d’une société de patrimoine pour les télécommunications. Cette dernière aura la propriété des infrastructures nationales du CAB pour un premier temps.

En somme, sur les 54 chantiers prévus au Congo, 21 sont déjà réalisés. La 4ème et dernière phase du CAB est le Gabon. Le pays, qui a aligné son programme « Gabon numérique » dessus, a démarré ses chantiers TIC dès 2012. Le Gabon a procédé à certains ajustements stratégiques comme la création de l’Agence nationale des infrastructures numériques et des fréquences (ANINF), pour gérer l’installation et la gestion des infrastructures et ressources nationales partagées dans les domaines des télécommunications, de l’audiovisuel et de l’informatique. Ensuite, il s’est arrimé, tout comme la Guinée Equatoriale, au câble de fibre optique ACE en 2012. Il s’est lancé dans la mise en place d’un backbone fibre optique terrestre (projet RAG), élément fondamental de l’infrastructure nationale haut débit. Récemment, le Gabon a aussi acquis son nom de domaine « .gb », et poursuit ses chantiers. Notons que les pays comme l’Angola et le Burundi, membres de la CEEAC mais appartenant aussi à d’autres zones géographiques, ont bénéficié de projets d’infrastructures dans ces autre zones.

Le RCIP

Le Programme régional d’infrastructures de communication (RCIP) pour l’Afrique a quant à lui été lancé en 2007. Centré sur les régions d’Afrique orientale et australe, il est né de la volonté des pays de ces régions d’accéder à des infrastructures de télécommunications de pointe, et de faire bénéficier à leurs populations de tarifs de communication réduits. Dans le cadre de l’interconnexion en Afrique de l’Est, la Banque mondiale et la Banque africaine de développement ont déboursé un total de 424 millions de dollars. La première phase de 164 millions de dollars a été attribuée au Burundi, au Kenya et à Madagascar. Les travaux, lancés le 27 mars 2007, sont en cours de réalisation. Ils ont permis au Burundi et au Kenya de se connecter au câble de fibre optique EASSy, et à Madagascar de se connecter au câble LION. D’autres réalisations, comme les formations des ressources humaines ou l’élaboration des réglementations TIC, ont été accomplies. L’issue de cette phase 1 du RCIP est prévue le 31 décembre 2016. Le 5 mars 2012, le Kenya, qui s’est érigé comme une véritable référence technologique en Afrique de l’Est, a obtenu un financement additionnel de 55,1 millions de dollars de la Banque mondiale.

En 2008, la phase 2 du RCIP a été focalisée sur le Rwanda. Une enveloppe de 28 millions de dollars lui a été accordée par la Banque mondiale pour mettre à niveau ses infrastructures de télécommunications, et s’arrimer au câble sous-marin de fibre optique. Ce qui a été fait depuis 2011. 2300 km de fibre optique parcourent actuellement les 30 régions du Rwanda. Le pays dirigé par Paul Kagamé, très dynamique, a axé son développement sur les TIC. Il a lancé un plan quinquennal de développement des TIC en mars 2012. Les TIC ont été progressivement reliées aux différents secteurs clés du pays comme l’éducation, la santé, l’agriculture, le tourisme, pour une meilleure appropriation par les populations. Les chantiers du Rwanda dans le cadre du RCIP doivent prendre fin le 31 janvier 2014, un an avant la date butoir de la phase 3, qui porte sur le Malawi, le Mozambique et la Tanzanie.

Les trois pays ont lancé leurs grands chantiers des télécommunications en 2009, grâce à un financement de la Banque mondiale évalué à 151 millions de dollars. Les avancées réalisées ont permis au Malawi et à la Tanzanie d’accéder à la fibre optique et de commencer à proposer les services haut débit à leurs populations. Il est attendu un arrimage du Mozambique au câble de fibre optique cette année. Entre-temps, le pays poursuit ses chantiers d’amélioration de l’environnement national TIC. Les autres pays, eux, se concentrent sur le déploiement de la fibre optique dans le reste du territoire national. Ils sont aidés dans ces chantiers par des entreprises télécoms privées comme Liquid Telecom, qui a déployé sa fibre optique dans toute l’Afrique de l’Est, créant ainsi la plus grande boucle régionale de fibre optique. Le projet d’interconnexion en Afrique de l’Est est censé s’achever par les Comores. Le petit pays, qui a reçu 22 millions de la part de la Banque mondiale, s’est connecté au câble de fibre optique LION en 2010. Pour l’instant, plusieurs aspects du développement de ses télécommunications sont encore à voir, comme le cadre réglementaire et la formation des ressources humaines amenées à gérer son environnement télécom. Il devrait être fin prêt pour l’interconnexion totale à la région Afrique de l’Est en 2018.

Le projet RCIP a par la suite été complété par le projet de réseau large bande de l’Afrique de l’Est (EAC-BIN), initié en 2010 par la Tanzanie, le Burundi, le Kenya, l’Ouganda et le Rwanda. Son objectif est d’interconnecter les administrations publiques de la sous-région Afrique de l’Est, pour une gouvernance numérique régionale. Ce projet n’a prévu que la liaison des capitales des pays membres. Encore en cours de réalisation dans le cadre du sommet Connect Africa, le EAC-BIN a reçu un financement de 40 millions de dollars de la Banque africaine de développement. Il devra établir les liaisons manquantes en Afrique de l’Est, celles qui n’ont pas été intégrées par le RCIP, parce que certains pays qui devaient en bénéficier n’ont pas encore accédé à des financements, ou, sortant d’une période de guerre, n’étaient pas estimés très viables en termes d’investissements.

En Afrique australe, le RCIP est venu soutenir le Projet régional de l’Afrique australe pour l’infrastructure de l’information (SRII), piloté par l’Association des télécommunications d’Afrique australe (SATA). Le SRII a vu le jour en 2000. Son objectif : améliorer la connexion transfrontière des pays membres par des réseaux à fibre optique et les relier aux systèmes de câbles sous-marins, notamment le Réseau de câble sous-marin de l’Afrique de l’Est (EASSy). Le projet couvre une distance de 9900 km, allant de Mtunzini, en Afrique du Sud, à Port Soudan, au Soudan. À ce jour, tous les 15 États membres de la SADC (Afrique du Sud, Angola, Botswana, République démocratique du Congo, Lesotho, Malawi, Île Maurice, Mozambique, Namibie, Seychelles, Swaziland, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe, Madagascar) ont déployé la fibre optique, mais quatre (Lesotho, Madagascar, Seychelles et Swaziland) n’ont pas encore instauré des points d’échange Internet (IXP) nationaux. Toutefois, la plupart de ces IXP ne sont pas pleinement opérationnels.

WARCIP

Le Programme régional d’infrastructures de communication de l’Afrique de l’Ouest (WARCIP) est financé par la Banque mondiale à hauteur de 300 millions de dollars. Il vise à améliorer la connectivité et l’accès aux services de l’administration publique initiés par ECOWAN, et à instaurer des environnements réglementaires porteurs. Le Burkina Faso, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia, le Mali, le Bénin, le Niger, la Sierra Leone et le Togo ont bénéficié du projet.

Lancé en 2011, sa première étape a consisté en la dotation de la Sierra Leone et du Liberia en infrastructures de télécommunications. Le coût de cette phase, d’un montant de 56,6 millions de dollars, a démarré le 11 janvier 2011 et doit prendre fin en septembre 2015. Cette dernière a permis à ces deux pays d’accueillir la fibre optique, qui sera bientôt déployée dans leurs régions. Après la Sierra Leone et le Liberia, le WARCIP s’est adressé à la Guinée, au Burkina Faso et à la Gambie. D’un montant de 92 millions de dollars, le financement des travaux dans ces trois pays a permis bien des avancées. Le Burkina Faso a pu être interconnecté au Niger par la fibre optique, la Gambie a bénéficié, en même temps que la Guinée, en 2012, d’une connexion au câble ACE, et la Guinée a démarré l’exploitation de sa fibre optique cette année. Les travaux d’installation dans ces pays de la fibre optique et des différents nœuds relais pour une interconnexion régionale effective et un accroissement de la connexion internationale doivent s’achever en décembre 2016. Ils ont démarré en juin 2011. Ils viennent s’ajouter à ceux dont a bénéficié le Bénin, dans le cadre du même projet WARCIP. Le Bénin a lancé ses travaux d’équipement en fibre optique en 2012. Le pays veut réduire de 60% le tarif de ses offres Internet et booster le taux de pénétration de cette technologie. Un montant de 35 millions de dollars lui a été attribué par la Banque mondiale. Grâce à cet argent, le pays, qui est déjà connecté au câble de fibre optique SAT-3 depuis 2002, va lancer son arrimage à un second câble sous-marin. Les travaux pour cette seconde infrastructure sont en cours de réalisation. Les chantiers du Bénin dans le cadre du WARCIP doivent s’achever en 2017. Ils ont démarré en juillet 2012.

Enfin, le financement de la Banque mondiale pour la dotation des pays de l’Afrique de l’Ouest en infrastructures de fibre optique a aussi bénéficié au Togo et à la Mauritanie. Les deux nations ont reçu une enveloppe de 81 millions de dollars pour développer leur connectivité et le taux de pénétration Internet sur leurs territoires respectifs. Les travaux, qui ont démarré en mai de cette année, prévoient la création d’un environnement propice à l’essor des TIC, la formation des ressources techniques, l’arrimage au câble de fibre optique. La date butoir fixée dans le calendrier de la Banque mondiale pour la réalisation de ces chantiers est le 30 novembre 2018. Date à laquelle le projet sera clos dans ces pays.

Le projet WARCIP est venu renforcer les réalisations accomplies par le projet de réseau haut débit étendu d’ECOWAN, lancé par la Cédéao en 2010. Cette dorsale régionale de fibre optique, qui est toujours en cours, a pour objectif le déploiement de 8000 km de fibre terrestre et des liaisons WiMAX pour raccorder uniquement les capitales des 15 Etats membres (Mali, Togo, Nigeria, Côte d’Ivoire, Sénégal, Cap-Vert, Liberia, Sierra Leone, Niger, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée-Bissau, Bénin et Burkina Faso). Estimé à 366 millions de dollars, le projet est financé par la Banque africaine de développement.

UMA : chacun pour soi

À l’exception de la Libye, tous les pays de l’UMA ont défini et adopté une e-stratégie afin de promouvoir et d’accroître la participation des TIC dans la croissance économique et l’éradication de la pauvreté. Certains pays comme le Maroc et la Tunisie disposent à cet effet de leurs propres fibres optiques sous-marines les reliant aux pays européens. Mais chacun de ces pays agit d’une manière indépendante. Pendant longtemps, ils n’ont pas envisagé de former un réseau régional de télécommunications. Les uns et les autres se sont toujours considérés comme concurrents. Pourtant, l’Afrique du Nord possède un réseau de câbles à fibres optiques très développé qui pourrait changer les choses dans le Maghreb. C’est pour atteindre cet objectif que la BAD a lancé une étude pour déterminer tous les facteurs indispensables ou critiques qu’il faudra prendre en compte dans la mise en œuvre d’un réseau maghrébin à base de fibres optiques.

Muriel Edjo pour le magazine Réseau Télécom n° 66

(Source : Agence Ecofin, 19 janvier 2014)

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