OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2024 > Février 2024 > Indignations contre le report de l’élection présidentielle : Le Restic entre (…)

Indignations contre le report de l’élection présidentielle : Le Restic entre dans la danse

mardi 13 février 2024

Mouvements sociaux

A l’instar des organisations patronales, syndicales, entre autres, le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) demande le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.

Les vagues d’indignations contre le report de l’élection présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024 se poursuivent. Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) s’est joint au patronat, notamment à la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) et au Club des investisseurs sénégalais (Cis), à l’Ordre des architectes, l’Ordre des experts comptables et des comptables agréés (Onecca), entre autres, pour demander le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.
En effet, arguent Moustapha Diakhaté, Secrétaire exécutif, et ses camarades, « l’économie du Sénégal est structurée à 99% autour des Pme et Pmi dans tous les secteurs et sous-secteurs économiques, le digital dont les Tic y comptent pour 8% et apportent 12% au Pib pour 2500 milliards de chiffre d’affaires dont les télécommunications, l’équipement et la fourniture qui comptent pour 2000 milliards de Cfa et plus de 60 000 travailleurs. Depuis le Covid-19, le secteur du numérique et des Tic en général enregistre une croissance presque stationnaire autour de 4% ».

Et, soutiennent-ils, « le contexte politique que nous observons présentement accentue les risques et la fragilité qui vont impacter très négativement la survie des Pme et Pmi, et par conséquent la production globale du pays et la richesse générée ».

Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic implore ainsi « l’élargissement des entrepreneurs du numérique emprisonnés, en l’occurrence le fondateur et gérant de Koppar Express ».

Comme en 2011, le Restic « réitère son ancrage dans le tissu socio-économique du Sénégal et rappelle à nos autorités l’impératif de stabilité sociale et politique pour une économie qui vise l’émergence. La stabilité institutionnelle et politique est une condition pour l’essor de l’investissement indispensable dans notre secteur ». Diakhaté et ses collaborateurs font savoir que le Sénégal « a besoin de 400 milliards par an pour 15 ans dans les Tic pour sa mise à niveau et l’investissement en innovation d’où la stabilité qui attire les investissements directs étrangers et les fonds institutionnels ».

Plusieurs organisations sont montées au créneau pour exprimer leur vive préoccupation, suite au décret du président de la République portant report de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, et à l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi fixant la tenue de ladite élection au 15 décembre 2024.

Les vagues d’indignations contre le report de l’élection présidentielle jusqu’au 15 décembre 2024 se poursuivent. Le Rassemblement des entreprises du secteur des technologies, de l’information et de la communication (Restic) s’est joint au patronat, notamment à la Confédération nationale des employeurs du Sénégal (Cnes) et au Club des investisseurs sénégalais (Cis), à l’Ordre des architectes, l’Ordre des experts comptables et des comptables agréés (Onecca), entre autres, pour demander le respect de la Constitution et la restauration du calendrier républicain initial pour la stabilité, seul gage de progrès économiques.
En effet, arguent Moustapha Diakhaté, Secrétaire exécutif, et ses camarades, « l’économie du Sénégal est structurée à 99% autour des Pme et Pmi dans tous les secteurs et sous-secteurs économiques, le digital dont les Tic y comptent pour 8% et apportent 12% au Pib pour 2500 milliards de chiffre d’affaires dont les télécommunications, l’équipement et la fourniture qui comptent pour 2000 milliards de Cfa et plus de 60 000 travailleurs. Depuis le Covid-19, le secteur du numérique et des Tic en général enregistre une croissance presque stationnaire autour de 4% ».

Et, soutiennent-ils, « le contexte politique que nous observons présentement accentue les risques et la fragilité qui vont impacter très négativement la survie des Pme et Pmi, et par conséquent la production globale du pays et la richesse générée ».

Le Rassemblement des entreprises du secteur des Tic implore ainsi « l’élargissement des entrepreneurs du numérique emprisonnés, en l’occurrence le fondateur et gérant de Koppar Express ».

Comme en 2011, le Restic « réitère son ancrage dans le tissu socio-économique du Sénégal et rappelle à nos autorités l’impératif de stabilité sociale et politique pour une économie qui vise l’émergence. La stabilité institutionnelle et politique est une condition pour l’essor de l’investissement indispensable dans notre secteur ». Diakhaté et ses collaborateurs font savoir que le Sénégal « a besoin de 400 milliards par an pour 15 ans dans les Tic pour sa mise à niveau et l’investissement en innovation d’où la stabilité qui attire les investissements directs étrangers et les fonds institutionnels ».

Plusieurs organisations sont montées au créneau pour exprimer leur vive préoccupation, suite au décret du président de la République portant report de l’élection présidentielle prévue le 25 février 2024, et à l’adoption par l’Assemblée nationale de la loi fixant la tenue de ladite élection au 15 décembre 2024.

Dialigué Faye

(Source : Le Quotidien, 13 février 2024)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2076/2241 Régulation des télécoms
  • 174/2241 Télécentres/Cybercentres
  • 1540/2241 Economie numérique
  • 852/2241 Politique nationale
  • 2241/2241 Fintech
  • 254/2241 Noms de domaine
  • 814/2241 Produits et services
  • 693/2241 Faits divers/Contentieux
  • 368/2241 Nouveau site web
  • 2154/2241 Infrastructures
  • 792/2241 TIC pour l’éducation
  • 91/2241 Recherche
  • 121/2241 Projet
  • 1442/2241 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 861/2241 Sonatel/Orange
  • 773/2241 Licences de télécommunications
  • 132/2241 Sudatel/Expresso
  • 472/2241 Régulation des médias
  • 604/2241 Applications
  • 495/2241 Mouvements sociaux
  • 787/2241 Données personnelles
  • 60/2241 Big Data/Données ouvertes
  • 298/2241 Mouvement consumériste
  • 179/2241 Médias
  • 321/2241 Appels internationaux entrants
  • 693/2241 Formation
  • 54/2241 Logiciel libre
  • 841/2241 Politiques africaines
  • 407/2241 Fiscalité
  • 83/2241 Art et culture
  • 285/2241 Genre
  • 751/2241 Point de vue
  • 488/2241 Commerce électronique
  • 703/2241 Manifestation
  • 156/2241 Presse en ligne
  • 62/2241 Piratage
  • 102/2241 Téléservices
  • 425/2241 Biométrie/Identité numérique
  • 150/2241 Environnement/Santé
  • 156/2241 Législation/Réglementation
  • 167/2241 Gouvernance
  • 827/2241 Portrait/Entretien
  • 72/2241 Radio
  • 342/2241 TIC pour la santé
  • 133/2241 Propriété intellectuelle
  • 29/2241 Langues/Localisation
  • 530/2241 Médias/Réseaux sociaux
  • 919/2241 Téléphonie
  • 95/2241 Désengagement de l’Etat
  • 486/2241 Internet
  • 57/2241 Collectivités locales
  • 188/2241 Dédouanement électronique
  • 502/2241 Usages et comportements
  • 512/2241 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2241 Audiovisuel
  • 1359/2241 Transformation digitale
  • 191/2241 Affaire Global Voice
  • 75/2241 Géomatique/Géolocalisation
  • 146/2241 Service universel
  • 331/2241 Sentel/Tigo
  • 87/2241 Vie politique
  • 729/2241 Distinction/Nomination
  • 17/2241 Handicapés
  • 340/2241 Enseignement à distance
  • 322/2241 Contenus numériques
  • 292/2241 Gestion de l’ARTP
  • 89/2241 Radios communautaires
  • 803/2241 Qualité de service
  • 212/2241 Privatisation/Libéralisation
  • 68/2241 SMSI
  • 225/2241 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1277/2241 Innovation/Entreprenariat
  • 678/2241 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2241 Internet des objets
  • 86/2241 Free Sénégal
  • 179/2241 Intelligence artificielle
  • 97/2241 Editorial
  • 15/2241 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous