Plusieurs sites Internet critiques à l’égard du régime du président Theodoro Obiang Nguéma étaient de nouveau disponibles mercredi après avoir été rendus inaccessibles pendant plus d’un an. C’est donc un événement dans ce pays habitué des faits. Selon le correspondant de l’Agence France Presse (AFP) repris par le site de France 24, seul le site de Citoyens Pour l’Innovation, le principal parti de l’opposition équato-guinéenne était inaccessible sans utilisation d’un système de réseau privé virtuel permettant de contourner les blocages.
Le réseau social Facebook faisait partie des plateformes ciblées. La mesure a été prise et même appliquée depuis la veille des élections législatives, sénatoriales et municipales du 12 novembre 2017. Quant à WhatsApp et un autre réseau social de messagerie, précise France 24, ils ont pu être rétablis en mars dernier. Depuis mai 2013, les opérations de blocage interviennent régulièrement en Guinée Equatoriale. La première fois, cela avait coïncidé avec l’annonce d’une manifestation d’étudiants dans un contexte électoral. Le gouvernement avait alors invoqué un « virus » pour justifier les blocages.
Elimane
(Source : CIO Mag, 27 décembre 2018)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000