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Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2018 > Août 2018 > « Fashion Tech » : Quand mode et technologie font bon ménage

« Fashion Tech » : Quand mode et technologie font bon ménage

lundi 6 août 2018

Formation

Le marché des vêtements connectés a de beaux jours devant lui en Afrique et particulièrement au Sénégal. Le défilé intitulé « Fashion Tech » organisé par la startup mJangale et Goethe Institut, le samedi 4 août à Dakar, a permis de s’en rendre compte. C’était au terme d’un atelier de deux jours auquel avait participé de jeunes écolières.

22 filles issues des classes de la 4ème secondaire à la terminale ont montré que deux secteurs qui sont aux antipodes tels que la mode et la technologie peuvent faire bon ménage.

Ceci au bénéfice des acteurs d’un marché naissant qu’est celui des vêtements connectés mais aussi des artistes qui veulent s’éclater et mieux communier avec leur public sur scène.

C’était dans le cadre d’un atelier de deux jours que la startup mJangale et Goethe Institut ont organisé les 3 et 4 août à Dakar, avec le soutien d’écoles de couture de la capitale sénégalaise.

Une séance sanctionnée par le défilé « fashion tech » pendant lequel les apprenants ont, à travers quatre projets, présenté des vêtements connectés qu’elles ont réalisé.

Des projets aussi variés qui reflètent la richesse et la diversité de la mode africaine qui n’est qu’un pan de la culture du continent.

Les filles ont démontré qu’il était possible d’allier deux mondes diamétralement opposés pour créer un marché innovant qui peut être un créneau porteur.

Pour la styliste-modéliste, Mme Ramatoulaye Sy, enseignante au Centre de formation professionnelle de Dakar, intégrer la technologie dans les vêtements pour les rendre plus attrayants, « c’est la mode du 21ème siècle ».

A l’en croire, l’effet recherché, c’est plus l’attraction surtout pour les tenues de scène. Un clin d’œil est ainsi fait aux artistes sénégalais et africains dans leur ensemble.

Ce qui sonne comme une suite logique du moment que les objets connectés sont presque devenus un effet de mode dans les milieux du showbiz américain, européen et même asiatique.

Les tenues et robes lumineuses sont devenues légions pour permettre aux artistes d’illuminer leurs spectacles et de mieux attirer leur publics.

Le Dr Christelle Scharff, cofondatrice de mJangale va au-delà du milieu de la mode et de la culture pour dévoiler les niches d’opportunités que peuvent englober les vêtements connectés.

Selon elle, au niveau international des vêtements sont aussi réalisés dans le cadre du sport et qui collectent des informations sur les performances du sportif.

Elle y ajoute le volet santé avec des vêtements connectés qui aussi collectent des informations sur le rythme cardiaque et autres avec l’aide d’applications sur la santé.

Pour Mme Scharff, il ne s’agit pas simplement d’intégrer la technologie dans notre mode de vie mais suivre la rapidité de son évolution.

Ce qui consiste à montrer qu’au Sénégal dans des domaines comme la mode, il est possible d’allier la modernité avec plus de traditionnel et que des choses aussi extraordinaires peuvent y jaillir.

D’après elle, la qualité des projets réalisés par ces jeunes filles ayant pris part à cet atelier, donne plus d’optimisme par rapport à l’avenir du compagnonnage entre la mode et la technologie au Sénégal.

Pour rappel, mJangale qui est l’un des initiateurs de cette formation, est une startup qui évolue dans le numérique et propose des cours de coding pour les élèves du primaire à la terminale.

Ses formations ont pour but d’initier les jeunes à la programmation avec une méthodologie basée sur la réalisation de projets.

Bacary Dabo

(Source : AllAfrica, 6 août 2018)

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