Depuis quelques jours maintenant, les taxes applicables sur les transferts d’argent ont considérablement augmentées. L’Union nationale des entreprises de télécommunications l’avait déjà annoncé pour ce mois de février.
Cette augmentation, dans son application sera répercuter sur les utilisateurs des applications d’E-Banking, ou Mobile Money pour compenser une taxe que le gouvernement impose désormais aux opérateurs de transfert d’argent. En gros, les établissements de monnaie électronique, c’est-à-dire ceux qui proposent des transferts d’argent via mobile, doivent payer les mêmes taxes que les opérateurs téléphoniques. De nombreux murmures se font entendre dans les coulisses sur le sujet de la responsabilité du consommateur final dans cette augmentation.
Dans un communiqué de la direction générale des impôts, le Directeur Général souligne selon l’article 14 de l’annexe fiscale 2019 « Ces taxes qui existaient déjà dans le dispositif fiscal, sont exclusivement à la charge des entreprises de transfert d’argent par téléphone mobile et non de l’usagers ». Il rajoute par la suite que « la répercussion de ces taxes sur les consommateurs est illégales et constitue un détournement de l’esprit de la loi fiscale de l’Etat qui est résolument tournée vers des actions sociales par un soutient accru aux ménages ».
Maryse Atsé
(Source : ICT4Africa, 15 février 2019)
Bande passante internationale : 172 Gbps
4 FAI (Orange, Arc Télécom, Waw Télécom et Africa Access)
19 266 179 abonnés Internet
Liaisons louées : 3971
Taux de pénétration des services Internet : 106,84%
3 opérateurs : Sonatel, Expresso et Saga Africa Holdings Limited
382 721 abonnés
336 817 résidentiels (88,01%)
45 904 professionnels (11,99%)
Taux de pénétration : 1,67%
3 opérateurs (Orange, Free et Expresso)
21 889 688 abonnés
Taux de pénétration : 123,34%
3 050 000 utilisateurs
Taux de pénétration : 17,4%
Facebook : 2 600 000
Facebook Messenger : 675 200
Instagram : 931 500
LinkedIn : 930 000
Twitter : 300 000