OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Août 2020 > Comment Huawei participe au développement des compétences en Afrique

Comment Huawei participe au développement des compétences en Afrique

mardi 4 août 2020

Formation

Juillet 2018. Dix jeunes béninois diplômés dans les TIC s’apprêtent à entreprendre un voyage en Chine. Ils seront totalement pris en charge, avec une formation poussée aux nouvelles technologies à la clé... Derrière cette initiative, le géant Huawei et son programme international « Seeds for the future », lancé en 2014 sur le continent et dont l’objectif premier est de dénicher et soutenir de nouveaux talents dans les métiers des nouvelles technologies.

L’initiative n’est pas isolée. Elle relève plutôt d’une stratégie globale de la firme chinoise dans laquelle l’éducation et la formation sont devenues pratiquement des engagements de Huawei sur le continent. Une approche en phase avec les projections de l’UA et des partenaires financiers et techniques des États africains qui ne cessent de répéter que la révolution de l’éducation reste une des clés du développement de l’Afrique.

RSE et engagement dans la formation de jeunes talents
À côté de « Seeds for the Future », qui offre à plus de 1 500 étudiants la possibilité de participer à des formations de haut niveau sur les TIC en Chine, le géant chinois a développé une série de concepts uniques de formation dans les TIC, proposée à plusieurs pays du continent. Depuis 2016 par exemple, le programme Huawei ICT Academy a bénéficié à pas mous de 80 000 personnes réparties sur 300 universités dans plus de 20 pays du continent. D’une durée de trois ans, le programme concernait à la fois les étudiants, les employés et les enseignants du secteur des TIC.

Autre exemple de l’engagement de Huawei dans le domaine de la formation en Afrique, le programme Huawei ICT Competition. Lancé depuis 2015, celui est organisé sous forme de concours nationaux de compétences en TIC dans 16 pays, notamment en Afrique. Lors du dernier concours mondial des TIC 2018-2019 (45 000 étudiants inscrits), c’est le groupe algérien qui a remporté le premier prix dans la catégorie Réseau et le groupe égyptien a remporté le deuxième prix dans la catégorie Cloud.

TECH4ALL, réduire la fracture et développer l’inclusion numérique
Le numérique pour tous ! Voilà comment l’on résumerait l’approche de Huawei qui considère le droit à la connectivité comme un droit humain fondamental et la pierre angulaire du progrès économique contemporain. Sur le terrain, ce dogme presque se retrouve dans « TECH4ALL », l’initiative mondiale du groupe qui entend éliminer les inégalités de couverture et d’utilisation du numérique, qui toucherait aujourd’hui plus de 300 millions de personnes en Afrique d’après GSMA, l’association internationale des constructeurs de téléphonie mobile.

« TECH4ALL » s’articule autour de 3 grands axes : promouvoir l’inclusion numérique dans les communautés africaines ; aider les plus marginalisés à accéder aux nouvelles technologies ; et favoriser le progrès économique et le développement durable du continent.

Pour mettre sur pied cet ambitieux projet à l’échelle locale, Huawei met aujourd’hui à disposition des États et des populations son expertise, en œuvrant à « réduire les coûts de connexion et à supprimer les obstacles à la couverture du réseau grâce aux innovations technologiques : connectivité, IA, cloud, appareils mobiles.

Réduire l’impact de la crise pandémique sur les apprenants

On le sait, la crise du Covid-19 a aggravé une situation déjà critique pour les systèmes éducatifs africains. La mobilisation des États, allouée à juste titre, n’a pas été suffisante, les quatre derniers mois ayant certainement laissé des lacunes dans les cursus dans apprenants.

Pour accompagner l’élan de solidarité appelé de tous vœux, notamment par les décideurs politiques et la société civile du continent, Huawei n’hésitera pas à apporter des réponses sous forme d’initiatives ciblant notamment l’enseignement secondaire et supérieur. En avril dernier en effet,Wu Lintuo, directeur du partenariat éducatif et du département du développement des écosystèmes de talents de Huawei, a présenté lors d’un webinaire organisé conjointement avec l’UNESCO, une solution globale aux nouvelles exigences des académies mondiales de Huawei pour atténuer les effets du Covid-19.

Parmi les principales mesures entreprises dans ce sens, la mobilisation de 5 millions de dollars à Huawei ICT Academy Development Incentive Fund (ADIF) au profit des collèges partenaires pour des activités telles que des cours en ligne, des formations en ligne et des expériences en ligne ; l’ouverture de plus de 130 ressources MOOC (formation en ligne) couvrant des domaines techniques avancés tels que l’intelligence artificielle (AI), les données de grande taille, la 5G et l’Internet des objets (IoT) ; la formation de centaines de formateurs en ligne entre les mois d’avril et décembre ; et enfin la formation de 50 000 étudiants grâce à l’auto-apprentissage, aux cours et aux classes en ligne.

Depuis le début de la pandémie, les effets sur l’éducation et la formation ont été les plus remarqués que dans d’autres secteurs, d’autant plus que les systèmes nationaux africains restent fragiles.

Pour aider à freiner la fracture numérique et à supporter la phase post-Covid sur le continent, le géant chinois a décidé de mobiliser ses ressources et à partager son expérience dans l’éducation en ligne avec les universités et les organismes d’enseignement du continent. Huawei a notamment participé à l’évènement « Hacking Covid-19 Africa », un hackathon organisé par HEC Paris qui s’est tenu du 19 au 21 juin 2020 en ligne pour favoriser l’émergence de solutions pour lutter contre la pandémie en Afrique. Preuve que le groupe souhaite accompagner les innovations des jeunes africains qui sont des atouts majeurs pour le continent.

(Source : La Tribune Afrique, 31 juillet 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2270/2632 Régulation des télécoms
  • 191/2632 Télécentres/Cybercentres
  • 1821/2632 Economie numérique
  • 897/2632 Politique nationale
  • 2632/2632 Fintech
  • 305/2632 Noms de domaine
  • 901/2632 Produits et services
  • 832/2632 Faits divers/Contentieux
  • 429/2632 Nouveau site web
  • 2484/2632 Infrastructures
  • 923/2632 TIC pour l’éducation
  • 106/2632 Recherche
  • 134/2632 Projet
  • 1629/2632 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 966/2632 Sonatel/Orange
  • 862/2632 Licences de télécommunications
  • 146/2632 Sudatel/Expresso
  • 518/2632 Régulation des médias
  • 657/2632 Applications
  • 560/2632 Mouvements sociaux
  • 853/2632 Données personnelles
  • 99/2632 Big Data/Données ouvertes
  • 315/2632 Mouvement consumériste
  • 187/2632 Médias
  • 349/2632 Appels internationaux entrants
  • 967/2632 Formation
  • 60/2632 Logiciel libre
  • 994/2632 Politiques africaines
  • 604/2632 Fiscalité
  • 91/2632 Art et culture
  • 302/2632 Genre
  • 931/2632 Point de vue
  • 557/2632 Commerce électronique
  • 806/2632 Manifestation
  • 172/2632 Presse en ligne
  • 73/2632 Piratage
  • 108/2632 Téléservices
  • 557/2632 Biométrie/Identité numérique
  • 163/2632 Environnement/Santé
  • 173/2632 Législation/Réglementation
  • 188/2632 Gouvernance
  • 962/2632 Portrait/Entretien
  • 81/2632 Radio
  • 408/2632 TIC pour la santé
  • 143/2632 Propriété intellectuelle
  • 36/2632 Langues/Localisation
  • 579/2632 Médias/Réseaux sociaux
  • 1071/2632 Téléphonie
  • 107/2632 Désengagement de l’Etat
  • 522/2632 Internet
  • 61/2632 Collectivités locales
  • 218/2632 Dédouanement électronique
  • 554/2632 Usages et comportements
  • 553/2632 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 294/2632 Audiovisuel
  • 1595/2632 Transformation digitale
  • 207/2632 Affaire Global Voice
  • 84/2632 Géomatique/Géolocalisation
  • 184/2632 Service universel
  • 350/2632 Sentel/Tigo
  • 89/2632 Vie politique
  • 794/2632 Distinction/Nomination
  • 19/2632 Handicapés
  • 371/2632 Enseignement à distance
  • 380/2632 Contenus numériques
  • 311/2632 Gestion de l’ARTP
  • 97/2632 Radios communautaires
  • 965/2632 Qualité de service
  • 232/2632 Privatisation/Libéralisation
  • 73/2632 SMSI
  • 265/2632 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1370/2632 Innovation/Entreprenariat
  • 685/2632 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 25/2632 Internet des objets
  • 96/2632 Free Sénégal
  • 236/2632 Intelligence artificielle
  • 129/2632 Editorial
  • 11/2632 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous