OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Octobre 2020 > Camix devient le gestionnaire des points d’échange internet de Douala et Yaoundé

Camix devient le gestionnaire des points d’échange internet de Douala et Yaoundé

jeudi 29 octobre 2020

Régulation des télécoms

Dans le cadre de ses fonctions, elle devra s’assurer la gestion et l’exploitation des points d’échange internet de Douala et Yaoundé. A cet effet une convention signée le 27 octobre 2020 par le Minpostel.

Le lancement des points d’échange internet (IXP), le 27 octobre 2020 par le ministre des
Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng pour gérer les deux points
d’échanges entre Yaoundé et Douala met un coup d’accélérateur au projet de
développement numérique entamé depuis 2017. Ceci passe par la construction des
points de Yaoundé et Douala logés au data center de la Campost à Yaoundé. Les travaux
qui se sont tenus ce jour ont vu la participation de l’Union africaine, l’Internet society,
l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (Antic) et
de l’Agence de régulation des télécoms et la Cameroon internet exchange point
(Camix), une association créée par les fournisseurs Camtel, MTN Cameroun, Ringo, Viettel Cameroun, Matrix et Campost.

Au travers de ces infrastructures, le Cameroun entend parvenir à une : « réduction des
coûts d’accès à internet et l’augmentation de la bande passante, ce qui permettrait aux
internautes d’accéder rapidement aux services et contenus Web », indique le ministre
des Postes et Télécommunications Minette Libom Li Likeng.
Dans le détail, les attendus portent sur la mise en place de l’échange du trafic internet
local, les économies de coûts, l’amélioration de la qualité de l’Internet dans le pays par
l’optimisation de la latence et de la bande passante, la fourniture des services Internet à
valeur ajoutée et l’augmentation de l’utilisation d’internet au niveau national.
Les points d’échange internet permettent d’échanger du trafic entre opérateurs via une
plateforme neutre se comportant comme un circuit virtuel. Il est donc question pour le
Cameroun de mettre fin au transit du trafic (informations relatives à l’activité des
internautes) vers des sous réseaux étrangers.
Lire aussi : L’Allemagne débloque 1,96 milliard pour connecter 50 000 camerounais à
internet
Financé à hauteur de 1, 417 milliard de Francs CFA par le Fonds spécial des
télécommunications, la mise en place des points d’échange internet (IXP) est
initialement adossée à l’interconnexion des fournisseurs d’accès internet aux sites
d’hébergement des IXP, l’acquisition des équipements de télécommunication et des TIC,
l’installation et la configuration des équipements. Elle répond au plan stratégique du infrastructures informatiques, électroniques et de communication, la création des
emplois liés à l’essor du numérique ainsi que l’intégration par l’usage des TIC.
Pour les experts d’autres déterminants sont en prendre en compte pour la réussite et la
pérennité du projet à l’instar de la fourniture en électricité.
Lire aussi : Orange Cameroun meilleure connexion internet mobile en 2019
« Il faut assurer la fourniture en électricité 24h/24 parce que si les serveurs ne sont plus
alimentés, ça va bloquer les trafics et il n’y aura plus de possibilité d’assurer le bon
trafic. En l’absence de générateurs sur les installations, la reprise des activités sera
fonction de la durée de la coupure d’électricité en elle-même ce qui pourrait être un
problème si les délestages eux-mêmes sont répétitifs. Un autre point à prendre en
compte est la disponibilité d’une bonne bande passante sans lequel on aboutirait à un
ralentissement du trafic. La formation des ingénieurs qui devront assurer la sécurité et la
fluidité du trafic est très importante. Donc il faudra mettre les bonnes personnes au bon
endroit », souligne Olivier Kameni, ingénieur des travaux en informatique.

(Source : EcoMatin, 29 octobre 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2273/2578 Régulation des télécoms
  • 194/2578 Télécentres/Cybercentres
  • 1771/2578 Economie numérique
  • 914/2578 Politique nationale
  • 2578/2578 Fintech
  • 308/2578 Noms de domaine
  • 901/2578 Produits et services
  • 754/2578 Faits divers/Contentieux
  • 404/2578 Nouveau site web
  • 2514/2578 Infrastructures
  • 879/2578 TIC pour l’éducation
  • 95/2578 Recherche
  • 143/2578 Projet
  • 1618/2578 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 926/2578 Sonatel/Orange
  • 838/2578 Licences de télécommunications
  • 148/2578 Sudatel/Expresso
  • 497/2578 Régulation des médias
  • 646/2578 Applications
  • 563/2578 Mouvements sociaux
  • 832/2578 Données personnelles
  • 65/2578 Big Data/Données ouvertes
  • 308/2578 Mouvement consumériste
  • 190/2578 Médias
  • 345/2578 Appels internationaux entrants
  • 916/2578 Formation
  • 52/2578 Logiciel libre
  • 964/2578 Politiques africaines
  • 620/2578 Fiscalité
  • 88/2578 Art et culture
  • 321/2578 Genre
  • 944/2578 Point de vue
  • 522/2578 Commerce électronique
  • 772/2578 Manifestation
  • 186/2578 Presse en ligne
  • 83/2578 Piratage
  • 117/2578 Téléservices
  • 489/2578 Biométrie/Identité numérique
  • 165/2578 Environnement/Santé
  • 185/2578 Législation/Réglementation
  • 193/2578 Gouvernance
  • 908/2578 Portrait/Entretien
  • 81/2578 Radio
  • 389/2578 TIC pour la santé
  • 147/2578 Propriété intellectuelle
  • 32/2578 Langues/Localisation
  • 555/2578 Médias/Réseaux sociaux
  • 1100/2578 Téléphonie
  • 111/2578 Désengagement de l’Etat
  • 510/2578 Internet
  • 60/2578 Collectivités locales
  • 228/2578 Dédouanement électronique
  • 579/2578 Usages et comportements
  • 541/2578 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 299/2578 Audiovisuel
  • 1593/2578 Transformation digitale
  • 221/2578 Affaire Global Voice
  • 83/2578 Géomatique/Géolocalisation
  • 213/2578 Service universel
  • 356/2578 Sentel/Tigo
  • 92/2578 Vie politique
  • 824/2578 Distinction/Nomination
  • 18/2578 Handicapés
  • 378/2578 Enseignement à distance
  • 359/2578 Contenus numériques
  • 304/2578 Gestion de l’ARTP
  • 95/2578 Radios communautaires
  • 961/2578 Qualité de service
  • 220/2578 Privatisation/Libéralisation
  • 70/2578 SMSI
  • 246/2578 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1371/2578 Innovation/Entreprenariat
  • 697/2578 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 28/2578 Internet des objets
  • 98/2578 Free Sénégal
  • 239/2578 Intelligence artificielle
  • 109/2578 Editorial
  • 11/2578 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous