OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Juillet 2020 > Cameroun : Baisse drastique du nombre d’enregistrements des noms de domaine (…)

Cameroun : Baisse drastique du nombre d’enregistrements des noms de domaine en .Cm passant de 135 000 en 2017 à 39 000 en 2020

mercredi 22 juillet 2020

Noms de domaine

Le Cameroun a enregistré une perte de 96 000 noms de domaine en .Cm en trois ans. En 2017, le pays comptait 135 000 noms de domaine. A ce jour, le Cameroun compte juste 39 000 noms de domaine enregistrés en .Cm. Ce dernier chiffre a été indiqué par des responsables de l’Antic présents ce 20 juillet 2020 à Yaoundé la salle de conférence du Minpostel dans le cadre de la session extraordinaire du Cercle de Concertation Permanente Public-Privé du Secteur des Postes et Télécommunications (en abrégé CPPT).

Le pays a pris conscience de cette chute importante dans l’enregistrement des noms de domaine en . Cm. C’est l’une des raisons pour lesquelles la ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, a pris une décision le 22 juin 2020 qui instruit l’Agence nationale des technologies de l’information et de la communication (ANTIC) chargée de la gestion de ce domaine, à procéder à la vente du nom de domaine de premier niveau du Cameroun à deux mille (2000) F.CFA, toutes taxes comprises.

Du 01er juillet 2020 au 01er octobre 2020, tout citoyen camerounais peut donc enregistrer le .Cm auprès des 14 registrars agréés au tarif de 2000 francs F.Cfa seulement.

Mais, qu’est-ce qui explique cette chute drastique de l’enregistrement des noms de domaine en .CM ? Digital Business Africa a appris auprès de l’Antic que la première raison est due aux suspensions des noms de domaine opérées par l’Antic. « Ceux qui acquièrent des noms de domaine pour des activités de pornographie ou encore pour des activités de hacking ou propagation des virus par exemple perdent leur noms de domaine qui sont suspendus par l’Antic. Car l’Antic dispose d’une charte de nommage que doit respecter tous ceux qui achètent le .Cm. Cette charte de nommage est disponible sur le site web de l’Antic et ceux qui s’y écartent perdent leur .Cm. de milliers de noms de domaine ont été suspendus dans ce sens », explique notre source.

Plus encore, nombreux sont ceux qui, après un an, ne renouvellent pas toujours leurs noms de domaine une fois acquis. « De nombreuses personnes ont également perdu leur noms de domaine faute de renouvellement », apprend-on.

Aussi, il faut noter que le 23 mars 2017, invité à la 2ème édition du forum Econuma dédié à la Petite et moyenne entreprise et à la TPME, avec pour thème « La transformation numérique de l’entreprise au Cameroun », Eric Josué Boumndjel, alors chef d’antenne régionale de l’Antic de Douala, avaient laissé entendre que le .cm souffre de préjugés et d’une crise de confiance. « Je pense qu’il y a un problème de confiance ; ce n’est pas seulement dans les télécommunications. Beaucoup de Camerounais ont l’impression que les produits étrangers sont meilleurs que ceux du pays », avait-il expliqué avant de présenter les multiples avantages du .Cm. Ses explications sur Actu Cameroun.

« Nous pensons que tous les promoteurs camerounais devraient avoir le .cm, parce qu’il y va de la souveraineté de notre pays. On ne peut pas développer l’économie numérique avec le .com tout comme on ne peut pas développer l’agriculture de notre pays avec le cacao étranger. Pour développer l’économie de notre pays, il faut des contenus locaux, il faut l’extension locale », avait-il alors déclaré. Argument valable à ce jour.

B-O.D.

(Source : Digital Business Africa, 22 juillet 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 4291/4968 Régulation des télécoms
  • 350/4968 Télécentres/Cybercentres
  • 3243/4968 Economie numérique
  • 1830/4968 Politique nationale
  • 4968/4968 Fintech
  • 521/4968 Noms de domaine
  • 1663/4968 Produits et services
  • 1519/4968 Faits divers/Contentieux
  • 734/4968 Nouveau site web
  • 4573/4968 Infrastructures
  • 1697/4968 TIC pour l’éducation
  • 221/4968 Recherche
  • 243/4968 Projet
  • 3326/4968 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1806/4968 Sonatel/Orange
  • 1575/4968 Licences de télécommunications
  • 267/4968 Sudatel/Expresso
  • 946/4968 Régulation des médias
  • 1250/4968 Applications
  • 1024/4968 Mouvements sociaux
  • 1547/4968 Données personnelles
  • 124/4968 Big Data/Données ouvertes
  • 600/4968 Mouvement consumériste
  • 360/4968 Médias
  • 646/4968 Appels internationaux entrants
  • 1540/4968 Formation
  • 90/4968 Logiciel libre
  • 1912/4968 Politiques africaines
  • 924/4968 Fiscalité
  • 168/4968 Art et culture
  • 574/4968 Genre
  • 1562/4968 Point de vue
  • 1018/4968 Commerce électronique
  • 1444/4968 Manifestation
  • 314/4968 Presse en ligne
  • 126/4968 Piratage
  • 205/4968 Téléservices
  • 901/4968 Biométrie/Identité numérique
  • 304/4968 Environnement/Santé
  • 329/4968 Législation/Réglementation
  • 336/4968 Gouvernance
  • 1725/4968 Portrait/Entretien
  • 146/4968 Radio
  • 761/4968 TIC pour la santé
  • 272/4968 Propriété intellectuelle
  • 58/4968 Langues/Localisation
  • 1030/4968 Médias/Réseaux sociaux
  • 1905/4968 Téléphonie
  • 190/4968 Désengagement de l’Etat
  • 1050/4968 Internet
  • 114/4968 Collectivités locales
  • 381/4968 Dédouanement électronique
  • 1101/4968 Usages et comportements
  • 1042/4968 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 553/4968 Audiovisuel
  • 3004/4968 Transformation digitale
  • 385/4968 Affaire Global Voice
  • 154/4968 Géomatique/Géolocalisation
  • 313/4968 Service universel
  • 670/4968 Sentel/Tigo
  • 175/4968 Vie politique
  • 1510/4968 Distinction/Nomination
  • 36/4968 Handicapés
  • 687/4968 Enseignement à distance
  • 786/4968 Contenus numériques
  • 590/4968 Gestion de l’ARTP
  • 181/4968 Radios communautaires
  • 1684/4968 Qualité de service
  • 434/4968 Privatisation/Libéralisation
  • 133/4968 SMSI
  • 484/4968 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 2723/4968 Innovation/Entreprenariat
  • 1324/4968 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 46/4968 Internet des objets
  • 171/4968 Free Sénégal
  • 644/4968 Intelligence artificielle
  • 195/4968 Editorial
  • 23/4968 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous