OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2020 > Février 2020 > Avec SGS Renovo, le groupe suisse SGS va accompagner le Burkina Faso dans la (…)

Avec SGS Renovo, le groupe suisse SGS va accompagner le Burkina Faso dans la gestion des déchets électroniques

mardi 18 février 2020

Environnement/Santé

Après la Côte d’Ivoire, la Guinée et le Ghana, le Burkina Faso s’engage à son tour dans la gestion des déchets électroniques avec un partenaire de référence : SGS SA. Le ministère de l’Environnement, de l’Economie Verte et du Changement climatique du Burkina Faso et le groupe Société Générale de Surveillance SA ont en effet signé un protocole d’accord le 10 février 2020 à Ouagadougou pour la mise en place au Burkina Faso d’une solution intégrée et autofinancée relative à la gestion des déchets d’équipements électriques et électroniques. La solution intégrée et autofinancée en question n’est rien autre que le programme SGS Renovo.

Pour parapher ce protocole d’accord, le gouvernement était représenté par le ministre de l’Environnement, de l’Economie Verte et du Changement climatique, Nestor Bassiere Batio, alors que le groupe suisse SGS SA était représenté par le directeur régional Afrique centrale et de l’Ouest du Programme SGS Renovo, Moïse YAKAN.

De nombreux pays africains sont devenus le dépotoir des pays occidentaux dont certains opérateurs choisissent de s’y rendre pour y déverser leurs déchets d’équipements électriques et électroniques. D’autres équipements électriques et électroniques sont acheminés et vendus sur le continent comme matériel de seconde main. Tout comme des équipements électroniques neufs y arrivent.

Une fois en Afrique, après usage ou pas, il se pose le problème de la destruction de ces déchets. Brûler, détruire ou mener ces déchets électroniques à la décharge ne signifie ni plus ni moins que mettre de côté un problème dont devront s’occuper les générations futures, soulignent les experts. Car, explique le groupe suisse, plus de 1 000 substances présentes dans les déchets électroniques sont libérées dans l’écosystème, notamment le plomb, le cadmium et le mercure et constituent une menace tant pour les pays africains que pour leurs habitants, compte tenu des graves problèmes que cela pourrait causer en matière de santé et d’environnement, aussi bien aujourd’hui que demain.

Le programme SGS Renovo®

C’est face à l’absence dans de nombreux pays africains de mécanismes efficaces de contrôle de l’état des équipements importés d’Europe, couplé au manque des moyens, ressources et/ou outils pour recourir à des inspecteurs portuaires et à des techniques de suivi GPS, face au manque des techniques de destruction de ces déchets électroniques en respectant les normes environnementales et de santé, comme le propose les experts, la SGS SA a mis en place le programme Renovo® qui a déjà démarré au Ghana et en Côte d’Ivoire.

SGS à travers SGS Renovo®, propose aux pays africains de concevoir, de planifier et de mettre en place un système autofinancé de gestion des déchets à grande échelle pour les pays. Cela passe par la collecte d’une éco-redevance anticipée. Le service couvre toutes les étapes : de la production à la récupération, du recyclage à l’élimination durable des déchets.

Dans ce programme, SGS se propose également, grâce au partenariat signé avec deux entités des Nations Unies (l’ONUDI et l’UNITAR), de former et d’encadrer le personnel local nécessaire pour traiter tous les types de déchets (appareils électriques et électroniques, pneus usagés et véhicules arrivés en fin de vie).

Ce qui permettra par ricochet la création de nouveaux emplois, mais également la création d’un nouveau secteur générateur de recettes et d’une base solide permettant d’accroître la sensibilisation aux comportements écologiques et au recyclage. « Le tout, pour donner lieu à une croissance significative », explique le groupe.

Le Burkina Faso pourra donc, avec ce partenariat avec la SGS, tirer profit de la gestion des déchets électroniques. Non seulement à travers les gains substantiels pour l’Etat, mais également par la création des emplois pour les populations et la préservation de la santé et de l’environnement de ces populations à long terme.

(Source : Digital Business Africa,18 février 2020)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2395/2624 Régulation des télécoms
  • 210/2624 Télécentres/Cybercentres
  • 1816/2624 Economie numérique
  • 997/2624 Politique nationale
  • 2624/2624 Fintech
  • 308/2624 Noms de domaine
  • 989/2624 Produits et services
  • 869/2624 Faits divers/Contentieux
  • 445/2624 Nouveau site web
  • 2594/2624 Infrastructures
  • 1005/2624 TIC pour l’éducation
  • 122/2624 Recherche
  • 154/2624 Projet
  • 1711/2624 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 1049/2624 Sonatel/Orange
  • 893/2624 Licences de télécommunications
  • 226/2624 Sudatel/Expresso
  • 564/2624 Régulation des médias
  • 718/2624 Applications
  • 601/2624 Mouvements sociaux
  • 891/2624 Données personnelles
  • 91/2624 Big Data/Données ouvertes
  • 342/2624 Mouvement consumériste
  • 227/2624 Médias
  • 397/2624 Appels internationaux entrants
  • 968/2624 Formation
  • 73/2624 Logiciel libre
  • 1147/2624 Politiques africaines
  • 551/2624 Fiscalité
  • 113/2624 Art et culture
  • 356/2624 Genre
  • 832/2624 Point de vue
  • 585/2624 Commerce électronique
  • 1016/2624 Manifestation
  • 216/2624 Presse en ligne
  • 87/2624 Piratage
  • 128/2624 Téléservices
  • 564/2624 Biométrie/Identité numérique
  • 193/2624 Environnement/Santé
  • 213/2624 Législation/Réglementation
  • 213/2624 Gouvernance
  • 991/2624 Portrait/Entretien
  • 93/2624 Radio
  • 411/2624 TIC pour la santé
  • 170/2624 Propriété intellectuelle
  • 52/2624 Langues/Localisation
  • 613/2624 Médias/Réseaux sociaux
  • 1127/2624 Téléphonie
  • 121/2624 Désengagement de l’Etat
  • 566/2624 Internet
  • 82/2624 Collectivités locales
  • 251/2624 Dédouanement électronique
  • 739/2624 Usages et comportements
  • 614/2624 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 335/2624 Audiovisuel
  • 1792/2624 Transformation digitale
  • 226/2624 Affaire Global Voice
  • 102/2624 Géomatique/Géolocalisation
  • 185/2624 Service universel
  • 387/2624 Sentel/Tigo
  • 119/2624 Vie politique
  • 865/2624 Distinction/Nomination
  • 32/2624 Handicapés
  • 429/2624 Enseignement à distance
  • 450/2624 Contenus numériques
  • 361/2624 Gestion de l’ARTP
  • 113/2624 Radios communautaires
  • 1009/2624 Qualité de service
  • 253/2624 Privatisation/Libéralisation
  • 95/2624 SMSI
  • 302/2624 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1544/2624 Innovation/Entreprenariat
  • 822/2624 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 31/2624 Internet des objets
  • 97/2624 Free Sénégal
  • 330/2624 Intelligence artificielle
  • 194/2624 Editorial
  • 11/2624 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous