OSIRIS

Observatoire sur les systèmes d’information, les réseaux et les inforoutes au Sénégal

Show navigation Hide navigation
  • OSIRIS
    • Objectifs
    • Partenaires
  • Ressources
    • Société de l’Information
    • Politique nationale
    • Législation et réglementation
    • Etudes et recherches
    • Points de vue
  • Articles de presse
  • Chiffres clés
    • Le Sénégal numérique
    • Principaux tarifs
    • Principaux indicateurs
  • Opportunités
    • Projets

Accueil > Articles de presse > Archives 1999-2024 > Année 2019 > Août 2019 > Aïda Ndiaye, Facebook Afrique francophone : « Des actions sont prises pour (…)

Aïda Ndiaye, Facebook Afrique francophone : « Des actions sont prises pour la sécurité des femmes et des enfants »

samedi 10 août 2019

Usages et comportements

Consciente que sans une garantie de sécurité, les internautes vont progressivement se tourner de sa plateforme, Facebook multiplie les initiatives pour la protection des femmes et des enfants en ligne. Le géant américain du Net a mis en place une stratégie mondiale pour accroître la sécurité de ses utilisateurs. Aïda Ndiaye, sa représentante en Afrique francophone, lève un coin du voile.

« En Afrique, il y a 313 millions moins de femmes que d’hommes en ligne », rappelle Aïda Ndiaye, responsable des politiques publiques de Facebook pour l’Afrique francophone. La fracture numérique est donc importante sur ce réseau social fondé par Mark Zuckerberg. Une entreprise, même si elle se targue d’avoir près de 2,7 milliards d’utilisateurs mensuels, ne peut mettre sous le tapis de l’oubli ces chiffres. Ainsi, après avoir diagnostiqué les causes de ce recul des femmes (chantages, arnaques, agressions et autres formes de cybercriminalité), Aïda Ndiaye annonce que Facebook a développé « ce qu’on appelle des standards de la communauté qui sont des politiques d’utilisation de Facebook ».

Tout ce qui est lié au chantage, au harcèlement, au discours haineux, l’appel à la violence est interdit sur la plateforme. La représentante de Facebook au Sénégal lance un appel à ce que « les uns et les autres signalent les contenus (dangereux) en ligne car Facebook a des règles, et si un individu viole ces règles, il faut le dénoncer et Facebook prendra les actions nécessaires pour la sécurité des femmes et des enfants ».

Compter sur les autres, c’est bien. Mais compter sur soi-même, c’est mieux. La multinationale en est convaincue. Ainsi, elle s’est donné les moyens d’assurer la sécurité sur sa plateforme. « Depuis 2018, il y a une hausse considérable des personnes employées (ingénieurs, experts) pour assurer la sécurité de nos utilisateurs, plaide Aïda Ndiaye. « C’est un investissement très conséquent de l’entreprise. En plus de cela, nous avons annoncé en janvier dernier l’ouverture d’un centre d’examen de contenus. Et d’ici la fin de l’année (2019), nous aurons plus d’une centaine de personnes basées à Nairobi qui vont examiner les contenus signalés par nos utilisateurs », souligne-t-elle.
C’est une stratégie qui s’explique par la place importante de l’Afrique au cœur de la politique de développement du réseau social. Il y a 146 millions d’Africains qui utilisent Facebook tous les mois. Ce sont des chiffres en nette croissance parmi les 2,700 milliards d’individus qui utilisent les plateformes de Facebook (WhatsApp, Instagram et Messenger).

Légalement, il faut avoir plus de 13 ans pour disposer d’un compte Facebook, Instagram et Messenger. Pour WhatsApp, la loi est différente car il faut avoir plus de 16 ans. Pour Aïda Ndiaye, « c’est le devoir des parents de guider les enfants dans leur expérience numérique ». Elle annonce la création d’un centre qui sera spécialement dédié aux parents afin qu’ils puissent sensibiliser eux-mêmes leurs enfants.

Moussa Diop

(Source : Le Soleil, 10 août 2019)

Fil d'actu

  • TIC ET AGRICULTURE AU BURKINA FASO Étude sur les pratiques et les usages Burkina NTIC (9 avril 2025)
  • Sortie de promotion DPP 2025 en Afrique de l’Ouest Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Nos étudiant-es DPP cuvée 2024 tous-tes diplomés-es de la Graduate Intitute de Genève Burkina NTIC (12 mars 2025)
  • Retour sur images Yam Pukri en 2023 Burkina NTIC (7 mai 2024)
  • Quelles différences entre un don et un cadeau ? Burkina NTIC (22 avril 2024)

Liens intéressants

  • NIC Sénégal
  • ISOC Sénégal
  • Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP)
  • Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications (FDSUT)
  • Commission de protection des données personnelles (CDP)
  • Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA)
  • Sénégal numérique (SENUM SA)

Navigation par mots clés

  • 2059/2254 Régulation des télécoms
  • 174/2254 Télécentres/Cybercentres
  • 1562/2254 Economie numérique
  • 818/2254 Politique nationale
  • 2254/2254 Fintech
  • 254/2254 Noms de domaine
  • 814/2254 Produits et services
  • 707/2254 Faits divers/Contentieux
  • 374/2254 Nouveau site web
  • 2164/2254 Infrastructures
  • 823/2254 TIC pour l’éducation
  • 90/2254 Recherche
  • 121/2254 Projet
  • 1402/2254 Cybersécurité/Cybercriminalité
  • 874/2254 Sonatel/Orange
  • 821/2254 Licences de télécommunications
  • 134/2254 Sudatel/Expresso
  • 462/2254 Régulation des médias
  • 600/2254 Applications
  • 494/2254 Mouvements sociaux
  • 762/2254 Données personnelles
  • 63/2254 Big Data/Données ouvertes
  • 296/2254 Mouvement consumériste
  • 179/2254 Médias
  • 322/2254 Appels internationaux entrants
  • 691/2254 Formation
  • 45/2254 Logiciel libre
  • 840/2254 Politiques africaines
  • 408/2254 Fiscalité
  • 83/2254 Art et culture
  • 285/2254 Genre
  • 781/2254 Point de vue
  • 482/2254 Commerce électronique
  • 702/2254 Manifestation
  • 156/2254 Presse en ligne
  • 62/2254 Piratage
  • 102/2254 Téléservices
  • 437/2254 Biométrie/Identité numérique
  • 150/2254 Environnement/Santé
  • 157/2254 Législation/Réglementation
  • 167/2254 Gouvernance
  • 839/2254 Portrait/Entretien
  • 73/2254 Radio
  • 351/2254 TIC pour la santé
  • 133/2254 Propriété intellectuelle
  • 29/2254 Langues/Localisation
  • 503/2254 Médias/Réseaux sociaux
  • 917/2254 Téléphonie
  • 97/2254 Désengagement de l’Etat
  • 492/2254 Internet
  • 57/2254 Collectivités locales
  • 188/2254 Dédouanement électronique
  • 499/2254 Usages et comportements
  • 513/2254 Télévision/Radio numérique terrestre
  • 275/2254 Audiovisuel
  • 1354/2254 Transformation digitale
  • 191/2254 Affaire Global Voice
  • 75/2254 Géomatique/Géolocalisation
  • 146/2254 Service universel
  • 332/2254 Sentel/Tigo
  • 87/2254 Vie politique
  • 726/2254 Distinction/Nomination
  • 17/2254 Handicapés
  • 337/2254 Enseignement à distance
  • 319/2254 Contenus numériques
  • 293/2254 Gestion de l’ARTP
  • 89/2254 Radios communautaires
  • 807/2254 Qualité de service
  • 212/2254 Privatisation/Libéralisation
  • 66/2254 SMSI
  • 224/2254 Fracture numérique/Solidarité numérique
  • 1274/2254 Innovation/Entreprenariat
  • 653/2254 Liberté d’expression/Censure de l’Internet
  • 23/2254 Internet des objets
  • 85/2254 Free Sénégal
  • 166/2254 Intelligence artificielle
  • 97/2254 Editorial
  • 9/2254 Yas

2025 OSIRIS
Plan du site - Archives (Batik)

Suivez-vous