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Africa Code Week : plus d’1,3 million de jeunes formés aux bases du code informatique en une semaine

mardi 5 décembre 2017

Formation

L’Africa Code Week franchit une nouvelle étape importante : plus d’1,3 million de jeunes ont été formés aux bases du code informatique en une seule semaine

L’initiative de développement des compétences informatiques à l’échelle du continent africain est en bonne voie pour atteindre l’objectif de 5 millions de jeunes formés avant l’échéance de 2025.

RABAT, Maroc, 05 Décembre 2017, -/African Media Agency (AMA)/- Avec un objectif ambitieux de former un demi-million de jeunes africains entre le 18 et le 25 octobre, l’Africa Code Week a encore dépassé toutes les attentes en initiant 1,3 million de jeunes dans 35 pays. Cela représente également une augmentation de 205% par rapport à l’édition de 2016, qui avait déjà contribué à la formation de près de 427 000 jeunes dans 30 pays africains.

Lancée en 2015 par SAP CSR EMEA en partenariat avec le Cape Town Science Center et le Galway Education Center, Africa Code Week est une initiative plusieurs fois récompensée qui bénéficie du soutien actif de l’UNESCO, de YouthMobile, de Google, du Ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ), de 15 gouvernements africains, et de plus de 100 partenaires et 70 ambassadeurs à travers le continent.
Claire Gillissen-Duval, chef de projet de l’Africa Code Week, a déclaré : « Nous avons initié près de 900 000 jeunes cette année au sein des pays d’Afrique francophone, aidés en cela par 4300 enseignants formés. Nous avons noté une croissance extrêmement encourageante de la participation de cette partie du continent le Maroc, le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Bénin, le Sénégal, le Togo, la République du Congo et le Burkina Faso. »

L’objectif à long terme de l’Africa Code Week est d’autonomiser plus de 200 000 enseignants et d’avoir un impact positif sur la vie de 5 millions d’enfants et de jeunes au cours des 10 prochaines années. En 2017, l’Africa Code Week et son partenaire clé l’UNESCO ont rejoint l’initiative # eSkills4girls lancée par le ministère fédéral allemand de la Coopération économique et du Développement (BMZ). L’objectif de cette initiative est de surmonter la fracture numérique entre les sexes et de contribuer à l’amélioration des compétences en informatique et des perspectives d’emploi des femmes dans les pays émergents et en développement.

« La participation des femmes à l’Africa Code Week est actuellement de 42%, ce qui montre une appétence extrêmement encourageante pour le développement des compétences numériques de la gente féminine en Afrique. La représentation des femmes dans les entreprises africaines dans les domaines liés aux STEM n’étant que de 30%, l’Africa Code Week promet un avenir plus équitable où tous les jeunes auront la possibilité de contribuer au développement économique et à la réussite du continent », a déclaré Claire Gillissen-Duval.

Avec le taux d’engagement le plus élevé de 1 622 jeunes pour 100 000 habitants et un total de plus de 390 000 initiés au code informatique cette année, le Cameroun a détrôné le Maroc en tant que champion de l’Africa Code Week. Alors que l’engagement total du Maroc de 378 000 places est le deuxième pour la participation globale, Maurice affiche le deuxième meilleur taux d’engagement de 1 545 pour 100 000 jeunes engagés. Le Botswana a pris la troisième place avec un ratio d’engagement de 1 168 pour 100 000.

La participation des femmes dépasse 42% L’une des principales forces de l’Africa Code Week est sa focalisation sur la collaboration et le partenariat avec une variété d’acteurs des secteurs public et privé. Partenaire clé, Google soutient l’Africa Code Week dans le cadre de son propre engagement à préparer 10 millions de personnes en Afrique pour des emplois du futur, avec plusieurs Google Grants attribués cette année à des initiatives qui favorisent le développement des compétences de code informatique dans les salles de classe à travers le continent. Les gouvernements ont également vu l’immense potentiel de l’Africa Code Week dans la mobilisation des jeunes et leur initiation aux compétences numériques dont ils auront besoin pour réussir leur carrière.

Au Maroc par exemple, le gouvernement a identifié l’informatique et la technologie comme étant l’un des leviers fondamentaux du développement du Royaume et a lancé depuis plus de 10 ans le programme GENIE de numérisation de l’école, et c’est dans ce cadre-là que s’inscrivent désormais les activités d’initiation au numérique de l’Africa Code Week. Pour Ilham Laaziz, directrice du programme GENIE au Ministère de l’Education, les excellents résultats de l’Africa Code Week 2017 sont la conséquence directe de ce plan de développement des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication dans les établissements scolaires.

L’enseignement de l’informatique au Maroc existe en effet depuis plusieurs années déjà, au collège comme au lycée, et les établissements ont été peu à peu équipés en matériels, tableaux numériques interactifs ou valises multimédia selon les cas. Africa Code Week s’est donc tout naturellement intégrée au sein de ce programme, tel un puissant effet de levier permettant de structurer et d’étendre l’enseignement du code à l’échelle nationale.

Selon Claas Kuehnemann, directeur général par intérim de SAP Africa, le succès de l’Africa Code Week repose ainsi en grande partie sur la force et le soutien de ses partenaires publics et privés et de ses collaborateurs. « Au cours des trois dernières années, l’Africa Code Week est devenue l’une des initiatives de développement des compétences numériques les plus soutenues et les plus ambitieuses du continent africain, avec un large éventail de partenaires : gouvernements, ONG, entreprises privées, éducateurs, étudiants et universitaires qui contribuent tous au développement de l’une des forces vives les plus importantes et les plus jeunes de la planète. Nous exprimons nos vifs remerciements à tous ceux qui ont fait de cette année un tel succès et sommes impatients de le reproduire dans les années à venir. »

(Source : CIO Mag, 5 décembre 2017)

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