mardi 31 août 2010
Devenu un moteur de l’économie africaine, le secteur subit une forte pression fiscale que dénoncent les opérateurs. Mais les autorités, heureuses de trouver des ressources, n’entendent pas céder aussi facilement. Après la lune de miel puis l’entente cordiale, assiste-t-on nous actuellement aux premières tensions au sein du couple que forment les opérateurs de téléphonie et les États africains ? Au cœur de la brouille qui les oppose, les fabuleuses ressources financières générées par les télécoms. Un énorme gâteau qui assurait 7 % des recettes fiscales des pays subsahariens en 2007, ce alors que la participation du secteur au PIB n’atteignait que 4 %. Lire la suite